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passages de ee cJiapitre qui ont trait à l’absence des cartes et de
la narration du voyage des Américains, et qui aujourd’hui sont
sans objet; mais je dois ajouter que la lecture de cet ouvrage, écrit
par le lieutenant Wilkes lui-même, n’a pu en rien changer l’opinion
que j’ai manifestée. La position assignée par le capitaine
Balleny à la terre Sabrina tombe précisément sur un des points
où le lieutenant Wilkes aurait vu des montagnes. Dans l’e s t , les
premières découvertes de l’escadre américaine sont placées très-
près des iles Balleny, et sont, du reste, contestées par le capitaine
Boss. Enfin, il est certain que le lieutenant Wilkes, de son aveu,
n’a vu la teri e Adélie, et n’a constaté son existence d’une manière
irrécusable, que plusieurs jours après nous; il est donc difficile
de comprendi'e qu’il puisse sérieusement réclamer en sa faveur
f honneur de la première découverte du continent austral, sur le-
ipiel nous sommes les premiers qui avons débarqué.
( lo juillet 1845 .) NOTES.
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