E R R A T A .
pA-oe jO, ligne ló; micaiTé, Ayt^, micacé.
Pag. J4, ligne 15 j Dell'annunziala,/'/e^, dell'Annuiuìita.
Page 64, avanc-derniere ligne i après U PhUofophe Napolitain, òtei le point qui coupe le ftns, fc mettez une vìrgultt
Pag. 186, ligne pénultieme 5 décaedre, iifii, dodccaedre.
Pag. 187 .•ligne premiere } grenat k prifine quadrilatere, /¡[/«j, hyacinthe couleur de grenat àprifme quadtilitere.
Uid. ligne 115 ce qui forme un grenat, tifei, ce qui forme une hyacinthe grenat.
JA/rf. ligne Ili & fe rapprochant de l'hyacinthe j ayouti^, ou plutôt qui n'en différent que par U couleur, n'y ayant
ici de vrai grenat que le n". m.
16iJ. ligne }i 5 après du Puy, ajouux, quoique les numéros U} , U4, iij, 116 Se iiy ci-dsiTous ayent la couleur
du grenat, <e font, quant à h forme, de véritables hyacinthes.
Pag. A19, ligne 18 5 doit être, i'fiX' doivent être.
Pag. Î13, ligne 3} 5 déplogiftique, , déphlogiftique.
Pïg- i}} > l'S"® > valcanifces, /i/ê j , volcanifées,
Pag. }oo, ligne 15 j de granit en chryfolite, lifii, de granit ou de chryfolite.
Pag. } j6 j ligne 45 ; Scipioni a donné, ¿¡fii, Simeoni a donné.
Pag. 456 , premiere ligne de la lettre de M. Bernard j des granits, lifii. des engrais. Cette faute ne fubiîfte que
deiTus la moitié de l'édition à peu-près.
Pag. 44«, ligne premiere i des pierres noires augmenta, Hfii, des pierres noires augmente.
, liid. ligne }i i 4 qua très lieues au-delTous, /»y«?;, à quatre lieues au-deffus.
Jbid. à la date delà feconde lettre 5 Lisbonne 6 Janvier,//y« j , Lisbonne 6 Avril.
Pag. 444, ligne 46 j on poutroit faire accorder ce fait,/(Tq;, on pourvoit, pour faire accorder ce fait, &C.
Pag. 44-f, ligne 8} nous difcuterons foit au long fur la matiere, ¿¡fil, nous difeuterons fort au long fur la namce. 1
page 1
85
109
T A B L E DES SOMMAIRES.
D s SCOORS furies Folcans brûlons ,
Mémoire fur les Schorlsj
De la Zéolice,
Mémoire Jjtr la Zéolice , par M. Pa^umoc ,
Mémoire fur la Zéolite , de l'Auteur, » » /
Mémoire fur le Bafalte , 154
Lettre à Milord Hamilton ¡fur la décompojttion des Laves , 189
Recherck esfurlaPoui^-^o lane , i 01
Examen de quelques fubfiances quife trouvent engagées dans la matîeres volcaniques j avec l'explication de
plujîeurs termes ufités en Hifloire Naturelle j qui peuvent feryir à l'intelligence de la defcription des Fol-'
' cans éteints du Vivarah Sf du Velay, 245
Volcans éteints du Fivarais^ it f j
Lettre à M. le Comte de Buffon fur des Courons de Laves que l'on trouve dans l'intérieur des rochers calcai-
.res, 317.
Volcans éteints du Velay. 3 37
Lettres de M. l'Abbé de Mortefagne fur les Volcans du haut Vivarais j
Mémoire fur un monument très-ancien de Téglife Cathédrale du Puy. 417,
Lettres de plujîeurs Savons, écrites à l'Auteur fur différentef maiiereSj & panlcuUtrtmentfur les Volcans
éteints du Forent dt la Provence j de Lifbonne, 4^9,
DISCOURS
D I S C O U R S
S U R
LES VOLCANS BRULANS-
; L eil néceiiàire d'entrer dans quelques de'tails furleS
volcans brûlans qui nous font connus, & fur ceux qui,
; ceflans par intervalle de jeter des flammes, reparoi&
'j. fent de temps à autre. Les perfonnes qui cherchent à
^ s'inftruire dans cette belle partie del'hiftoire naturelle,
J & qui ne font pas à portée de fe tranfporter fur les
lieux, pourront fe former par-là une idée de ces terribles
bouches de feu, dont les explofions inconcevables ébranlent au loin
la terre, & renverfent même les montagnes les plus folides ; tandis que
les naturaliftes , verfés dans la connoiflance de ces matieres , auront la
facilité de trouver dans ce difcours , fous un même point de vue , les détails
les plus importans , analogues à ces mêmes objets.
Je ne dois m'attacher qu'à donner la notice de la plupart des volcans
brulans , qu'à faire mention de leur ancienneté connue , de leurs éruptions
les plus remarquables, des différentes matieres qu'ils vomifliînt.
J'aurai attention de citer les auteurs qui m'ont fervi de guide. Ce premier
mémoire, peu fufceptible d'agrément parla fécherefl'e des détails ,
eft entièrement confacré à l'inftruftion. J'ai dû , en écarter tous les faits
qui ne porteroient que fur des objets de pure curiofité , 8c qui s'écarteroient
du but que je me propofe.
Je me fuis étendu à la vérité fort au long fur le Vefuve & fur VEtna,
parce que ces deux volcans , mieux obfervés &. mieux connus que tous
les autres , méritoient une analyfe d'autant plus détaillée , que j'ai été
dans la néceffité de relever quelques erreurs dans lefquelles étoient tombés
quelques auteurs, au fujet des matieres que vomifl'ent ces deux bouches
enflammés, & que d'ailleurs leurs éruptions , fuivies par un plus
grand nombre de naturaliftes, devenoient néceifaires &. applicables à la
théorie des volcans éteints.
H ;