
 
		Lorsque la 'Carpe se sèri.1 pr&è et qa’ gtfoSséy^etl'e -ffl)R.';t&MîsÛïf pMsible  
 pour casser4a-Bgûe-;%^remédië-^lfj#ffil#5SS'eiQployan.t unTmdÉË®èLiifewevlequrf.;«St  
 etitortiliR  d’assez de Jl^aèï.|i’ou^  êttfô-iW&p d’enfe^SÈÔî  à  ïàhSappe  autaKfo qîJ-’elleAen  
 demandera ;  ^felqdefcàs,' on -’emiotilê fa?f®gæoesÀatour  deda eanne  et-on'-la laisâejSfe  
 dérouler à mësuie qi^lë'pdiââbâ4 la tire,  t e a ^ l^ ftrôq|®n''ëst-'.pé!0?,îSÊ|f ;  la d ite -d u   
 ijfeîsaolî b§t téfièment rapide qü’ÏRaura tout’brisé avant que le’pêcheur  aLp.éîen''pù  
 tourner.  V 
 » ' Quand lé» temps1! est couvert ehfqu’il tomhe''uai;:piBe lê@àfe01aiCoe-pe,  surtout  
 R&isSiès étangs, ^e*pi%^8& au fond dè I '^ èu' et mord parfaitement a u r  ©sêb?e&q,iateto  
 lui présente. 
 C’est—uoè^îliusibn  de_'pêcheur-n®vjee  -de. -Croire, que la ‘^aK|>e,»v&ë~ prentfeâ'fe,  
 mouche et surtout à -la-mouche artiS^eRh. • Quand  un mareMùit^ons-ftn gfreq^ibïjâ  
 i ’p iquetéeSiains^ïïh^Miàîdiment  au nfezv ph^eRe ' quelque s rares ejcemples-de  
 pêchêurs qui,  à- lâ'pêcke à  la  surprise,  h am e ^ h ^ û t^ 'd tu n ^ ^ dM r^ c om - 
 mme naf«/,rf/e,-hnrétédôht«fet6®dés>de prendre ufifeSâdpdttg^ui  voulait  gÆ^^rlofet  
 objet sautillant. 
 La  Port ho, elle  aussi,  si* ‘jStssc’-ccs  fantaisies,  q u e lq u e iru sa q l^ d ^ l^ ^ ^ sê te   
 de  qufserait 'déshonorant pour saéformidablè armure 
 iaè’eh^^afqrfp^t cependant personne ne s’est avisérd‘eMÜré.-que la Dérobé- ^ ^ ^ tS l t   
 à  la-mouche artificielle. Lddîardomde Jond^^u Gwdom^€aæpig^&$ffl®û& bien, lui,  à.  
 la rntmêhé1; or,;sa f&rmé, ,qes^moeu^~fet son habitat, S |oe & u x   C a jp ^ âk ^ tâ ,  
 sans  doute,  sont venus  la-'confusion.et le  préjugé  qpfe'ÿ|éri(%ipiei'^ie  iffiqnait  à  la  
 mouche.  " 
 __C A R P E A U  D E  L A   SA O N E .  -1   Cés'jpûjsson ^est^cmTCEll ^  f j f f lm s  A ^ q jR p f t 
 quant  lar-bimche,  aux  appendices',^aux ^ageQiACfeii la?#@Éme  de  la 
 quÉaJgy^c.j ■  îTën diffërq,par un .aplalisserçem^e’màrqpàblp^^g^ljdonien. r 
 On  présume  qn§J^  C ^ p Æ ^ ^ s t   qu’une "Carpe mile  sujette  
 d’avorf em^oi naturel deiSls  organes cafacténs^fffi^rpravoqiSwÿda'nâWV des  
 èatra ^ '.oe ||v i.t.JL a   cause .de, q^p^éi^HEtèüe $st  enporp inexpliquéuwmad.®j|feriàls  
 les .Carpeaux ne présentent ni laite ni oeufs. Les oqgajxes  q u ftdon en,t ienj fitri eflees  
 matièÿe^ mqnqueat, complètement ;  il  en est de'iMmë  du  egriaî afferaiÆ leurs^Si-  
 duits au dehors. 
 -V<Mb poisson  serait  donc une  variété accidentelle  dugenre  Ca rpe,||l|ltMê  qyi  
 Rhône5 e t  sur tout à la'Saône, oinèRe -semble prendre mafeskfifce.On én-rbtfoontre ce7  
 pendant aussi-^ansîes  étangs de  la partië delà Francequ'avoisine c&fctoraèlnlèr$-  
 rivièrepet qu’on appelle là Bresse- 
 On en a pêché également dans le  Dauphiné,  dans  le  lae  de  Nantua  et  dans  
 étfiui ’dû Bourget. Les'plus grdsd^àsàéttf rarement en poids de4 kîlogvqleu-r chair 
 'CfehÉ^d-û R’hfôéû&cM 
 plus durs et leur chair est plus maigre, 
 “Ces remarques s’accordent très-bien’ avècee que produiraitpne castratron naturelle  
 cto artificielle de lajlarpe,  et Sont tout à fait sitdi'Mres Séeelfes gui sont ®ÉÉ&-  
 tatées quand on a pratiqué édite opération sUr des individus choisis dans  un étang. 
 Les moyens employés^ pour  prendre'la; Carpe  ôrdinaîrè s’appliquent  au Carpeau. 
 C A R P IO   (Cyprinus). —T'Vbÿ.  Càr'f e '¥bï4Gaihb.) 
 C A R R A S S IN   [Carpe]  iCyprinus  carrassiu s, Efe.jpwMalitôqpt.  abd.'  Cyprin. Long,  tnax.  
 =  0“,28 à O«1,30  haüï. '= 
 Syn»-. s  Crucion earp,  angl.  —»• Brascen  Korousche,  ali,  —, Buda,  suéd. ;  —  Hamburger,  boll. 
 La  structure de es  poissou esl  la  même que  celle de  la  Carpe  vulgaire (Cyprinus carpio),  avec  
 cette différence  qu’il  a  un  corps  très-élevé,  à  ligne latérale droits,  à  tête petite,  à caudale, coupée  
 carrément.  11 manque  de;l>çijgll0BS» Son  museau  est  arrondi,  le  dos  est  brun  foncé,  olive  sur  la  
 tête,  courbé en  are de  cercle,  côtes  verdâtres  en haut, jaunâtres en bas. Ventre blanc mêlé  de rouge,  
 son  canal  intestinal  présente  cinq  sinuosités.  L’épine  dorsale  de  30  vertèbres  est  soutenue  par  
 25  côtes  de  chaque  côté. Pectorales violettes de  13 rayons,  caudale  de 21,  jaunâtre,  bordée  de  gris,  
 ainsL. que toutes .les  autres. nageoires. 
 Le Carrassin  est rare  dans  les  environs  de Paris, mais  très-rcommun  dans  le  nord 
 Il  aime  les  fonds marneux  et  glaiseux  des lacs  et  des  étangs, sans  y contracter le  goût de  la  
 vase ;  il  à'là. vtè dure  et  ne'méUrt pas'vite hors de l’eau’. 
 Il se  nourrit  comme la  Carpe,  de vers,  de  végétaux,  de  débris  de  substances  organisées  qu’il  
 ramasse  dans  la, vase,  H. croît  lentement,  et  son_pqids  n’excède  guère  500  grammes- On peut le   
 pourrie.cfijne, la  Carpe, .il-aime, les mêmes'amorces  de  fond.  . 
 Sa chair est blanche,  teqdre  et très-délicate. 
 Dans  certains.paÿs, on attribué des qualités  vénéneuses  à la Carpe  carrassin,  que l’on nomme  
 Carpe à  la lune ;  il  parait  que  le  principe  toxique  réside  seulement  dans les écailles  qu’il faut en-  
 lever avec  soin.  On  en  pèche  beaucoup en Lorraine-  { 
 CARRASSIN  [Carpe]-. ^ E é  pojSfeon peat jmAr§etRômen.t habiter tous les fonds  
 qu’hahitq . huCacpe  vulgaire,  mais  encore de [plus mauvaises .eaux.  Il  se nourrit de  
 la même manière  qu’elle ; par  conséquent tous les modes  de pêche bons  pour l’une  
 ^epfeptrêtre  employés pour l ’autre. .Seulement le Carrassin m ord beaucoup moins  
 volontiers; aux  esches que  la Carpe,  et  si,  sous  ce  rapport,  il  offre encore plus  de  
 difficulté  qu’elle  au  pêcheur,  en revanche il  présente  au propriétaire une  grande  
 sécurité’ contre le braconnage  à la ligne.  Aussi peut-on se  servir de  ce poisson pour  
 empoissonner les mares  et  trous  de tourbière  ou  d’exploitation quelconque,  élc>i-  
 ^ é s 'd e . to®|e- babrlation,  e t que,  éependant,  oa ne veut pas laisser  stériles, Il sufflt  
 d’y  planter  des pieux  garnis  de clous; coupés au-dessous  du  niveau de l’eau et empêchant, 
   dans la mare ouïe trou,  l’usage de toute espèce de filet. Lorsque l’ondéci-  
 dera la pêche du réservoir, ou eu-sera. quitte pour se munir des appareils nécessaires  
 et commencer par arracher les pieux, travail  que les braconniers n’auront  eu ni  les  
 mOyehs^aü le~ loisir d ’entreprendre;  . • 
 CARRASSIUS (Cypriitas). — (Voy. CAbrassis, Cabpe.) 
 c a r r é . — Hôïn donné aû  Carrelet (filet),  dans  quelques éhSiûïtS*tw:î 
 CARREAU. —On.doinie le  nom de Garreau au Lançon,  au Brocfiet adulte et  à  
 la Carpe carrassin. {Yoyt\€fçs m û t s . r ^ 
 Les pêcheurs  de l’étang  de Saint-Gratien, vallée  de Montmorency près  Paris,  
 désignent sous .le nom de Carreau la Carpe de Kollar ou  Cyprin strié qu’ils trouvent  
 méÏJffig&êi;ài  0mmune.  (Yoy.  cès'mots;) 
 CARRELET. — On donne le  nom de Carrelet aux ‘jeunes  Plies  qui. remontent les  fleuves  et  
 rivières;  On  ën  prend  peu  qui dépassent 0m,25  de longueur,  et on en  prend  toute  l ’année dans les  
 cours d’eau à fond sablonneux,  entre  autres la Loire  et la Garonne.  Il  est difficile de  croire  que  ces  
 poissons soient: .attirés  là par le besoin de frayer ;  car, dans  ce  cas,  on n’y prendrait  que des individus  
 parvenus  à toute leur  croissance. 
 On remarque^ au  contraire, que  ces’Carrelets  ont  les  taches du  corps  beaucoup moins visibles  
 que  lés  grosses Pliés  prises  en mer ;  le  côté  supérieur  du  corps  est  presque entièrement brun,  et  
 les  tubercules  .saillants  de la  ligne  latérale  et  de  la  tête,:  entre  les  yeux;  sont  très-peu proéminents 
 . Ces  observations  tendraient à  fane  croire,  ou  que  le Carrelet est une  variété d’eaui  douce de la  
 Plie franche,  ou  que-les jeunes  de  cette  espèce, nés dans  la mer,  remontent  dans  l ’eau douce  pour  
 y passer un certain temps,  jusqu’à uh-accroissement  suffisant  après  lequel ils  regagnent la mer. 
 On prend  dé très -petits individus de cette espèce à une grande distance de  la mer,  dans des  étangs  
 d’eau douce oùüls  ont remonté par les  cous® d’eau  qui s’y  déversent 
 De môme  que la Plie  franche, ils  ont  sur  les mâchoires une  seule  rangée  de. dents tranchantes,