Les règlements de la police maritime: et de la pêche règlent d’ailieuÿs l|B
dimensions de toutes les parties dès parcs, dimensions qui varient suivant lés quartiers
où'ils sont1 établis.
Parcs naturels (fig. 790). — On trouve quelquefois sur les côtqs,rocheuses p
unpeu basses.soitdèsen-
droits où Peau |iéjfurne
naturellement, 'Mit* des
Lpôceintes iùaotqpiè-tès &
roches dans lesquelles il
I seScSè facile ^dô ,1a-■ faire
Fs'ÿdùtnër. Ori ferme alors
les endroits
fàmÿq£5&e&' des
L iolavoneagèS', rtfes feues
I de pierre; oufSwpffiment
'pu de
Fig* .79%. — Ig&è naturel. |% b le . I— au lieu
de fermer: ces guides naturels, on .y tend des guideaux, de^vervemx °v 41|p&sses-
P arcs de pierre. —‘Ce sont des enceintes construite ssuÉfeg^eseS;, .(^w79pl).soi L
en petits fetos «É ie rre s
LsWbesr'isoit ^errj ^ ^ t gées
de2pifeEe|f»d.e^out, ||u n e
PhMito^ ùui n^ ^ ^ sse gé-
nérâlementfpâs>î08’,6Ô‘. Les
^ ^ U ^ ^^JemfeiA^Jaéterm i -
rf^'s^puT des,, irjêtépspé-
[ciaux. La.formeidesgpaifcs
P
pîa'e^^te%dMa4^f-S^iipt »
Fig. 791. — Parcs de pierre. I tra-ditions“ âe^]fâÿs M p s
dérivent d^dne formé primitive' et gém&âle^dlfe ijfiit fecfEseàwval'^'oâf llnoiJ
vexité est tournée vers damer, et ife'deux pointés reïie®n'e&Lvè|_| Ip eitf er ,
D - a p r éM lX r t- 1Q du
^33çb^ * - s£ : * - idéorélf dmgt@ mai >1862, il
n f ^ p l a f e t a i b l ^ ^ s i h e pê-
cW&i^pâros^ -e i^ ie rre ,
naturels, ou sur gpdpts)^à
poisson®', 'Scdt sur-lés domaines
maritimes, .soit sur
une propriété privé»! 1®
pi us,‘les détenteurs de pêcheries
actuellement existantes
son>t-teBUS,<lùrsquls
sont requis, *et. dans dés
délais détérnjmés/ <^e-jéts-i
ïS S ^ iiÉ ê
Fig. 79%. — Parc sur pâlots. Gors eu clajpnnage muni de s» bire.
tifier âèM leurs titres .de propriété ou des àctës:idXutorisation. Cette prescription
était indispensable pour sauvegarder l’intérêt général, en empêchant la destruction
continuelle de ,1’afevin qui se faisait à chaque marée, dans ces parcs, sans profit
pour personne. (Ypy.- Réservoirs a poisson.)
Parcs sur pâlots (fig. 792). — Lorsqu’on manque de pierres, pn construit
Fig, 7y3. — Parc surJ fêors ;€âi clayonnage et*filet, terminés j>arlëur nasse.
cMp/jj^ï.fmj.piepXjOu pâlots, plus pu moins rapprochés'les uns des autres et le
plj^^guVent maintenus,par un clayonnageJait entré eux. On leur donne quelque-
f® |aifôr-me des .gprs, et l’on établit une nasse ou bire, à leur extrémité vers la
appelle ansgi bouchots ou Suckots. (Même prohibition que ci-d^sus»)'
Parcs su r filets (^gr, 794 et-7^||i^S,Ok remplace quelquefois les, clayon-
nages dont nous venons H
de^SSâc^par des filets end
nappés&«fem tramaux de
différentes grandeurs suivant
leÿpoisson que l’on
e s p i^ ^ e n d r e . D’après
1 adonne qu^onJeur donne,]
aPPfille , jcourtine,]
tournée, venets, etc.
Parcs fermés.—-Les
parcs fermés présentent
gpceintejjîplpse de]
t6ÿes-;parts, excepté par
U9X Petite tayerture tour,- Fig' n \ ~ Parc J ® Bas Pari\
nsld^Ù«Êïèté de la terre-.- Du milieu de cette petite ouverture part une ligne de filet,
uw>alissades ou de murs qui remonte perpendiculairement sur la côte et qu’on
aPB§lle< chasse^ ou casse. Les»ppfespns nageant parallèlement à la côte, rencontrent
c^jpte chasse qui leur barre le.passage, . Ils la suivent du côté, deda mer, puisque
de: 1 auti'e côté elle les mènerait à sec et rencontrent ainsi la petite ouverture du
P fc dans laquelle ils s’engagent. Lespêeheurs dès c.ôtes de la Méditerranée ont