
 
		Béütis  arftérieures  pètiTes  et  nombreuses sur  plusieurs  rangs, rëxtérieUÿ%tnJ)(Jë ‘de  20 l &ija  
 plus longues et plus cr'oehtfes que les autres rangs, molaires  larges clispéséeU‘dur afqra  à chaqi|oftm à-  
 cheiref.  R  *  , 
 L’oeil  est grand, blanc,  un peu jaune ; iris ■noiPÿ. irrégul|è® échancré en  avant, .-©percule pojntu  
 en arrière,  ligne dupréopercule marquée  6n;.vielet pè.le. 
 D=*12  A =5  3 +   10.  V *= 1  +  5, G^'^ -'x^ 
 De fines  écailles,cqpf§nt l e  mëtnbrane entré les  rayons-doIg  cqudah}  ainsi quelles deux  de|<»  
 niqrs rayons  de la dorsale et--do l’anale. 
 PAGEL ACARNE.^Cè'+ôi's^on.sevprpriii  à i ’haimëÇQn aussi facilement que  
 tous ;ltes  autres  sparoideiOa aux mêmes lieu»  : mous  re^mjpn+ffonG  aux articles  
 qui -concernent le Pàgsf, d dénis  aiguës,  le-Pagre;-le Sargyïe,  afer^V 
 PAGE!. BOGUERAVEL (Pagéllus  bogaravéo,  CÛv.b£+l  AcantKbpt.  ffîafpïd. Kong,  
 max.  =  O®,2a.  ~v 
 Syn. : Pitono, Piltmeau,slà?%iv '■ 'f' 
 Le  BogueraveljoÿfïPll®ïo  (/îÿ.  766): aJa  forme  bien  caraetefitstiquèc des  Pagfels-,  lesrplus jolis  
 et les "plus gracieux des^poissons-argentés de  la~mer.  Rarement;ji|^âéi[a^S8  laps.  La 
 Pagel boguerà-.el vu Pilono (Pageilus  bogaravéo,  Cuv.). 
 couleur générale  est  blanehejiacrée  et non  rose ;  le  dos, quand  on  tire le poisson  de  1 eau, pai i 1  
 brun rouge  à  la  lumière réfléchie, jusqu’à la  ligne  laterale, qui  sepa're  les  . de Blets 
 changeants  et  azurés« - Les ■ écaillés- affectent  la  forme  de  rangées  longitudinales  brillantes,  mais  
 moins  vives que  dans  le^floussem«  ou Pagel  acarne. 
 La  ligne  latérale  est  bien marquée  ét  semble  double  de près ;  elle  est  jaune  terne  et îBÉffi.  
 moins arquée que'la courbe du  dôs3ô 
 ■ H H I H R i n m  î w y g   I 
 La.-cWrSBÄe^S"1 cdü^ f f i et les;vp éctq r|Âsont  à,'pej'ne3:dlutées cjea-psitre.  Le ra^Sgrcpla  JE  
 arrière  n’est pas  pointu,  la peau  dessine  seule  une  espèce  de  petite  avancée  molle  el indécise.  <j|  
 qui caractérise  parfaitement ilc  iMôiîqrii’est sa tète.  L’oeil  est  grand. blanc,  l’irls+^ur, Sjû.lld,  non  
 échangé fss  avagf.  Aulaûf-jle J.’eeff;  en avançant sur le e f té  du museau, _ dekdêïfe j||® E 0ule et sur  
 la nuque,  se montrent,"en "deux chevrons  irréguliers,  des  parties  nacrées; brillantes  et pissées  ou  
 striées,  d’une forme tout à fait  reconnaissable.  Vus par-dessus  la  tète,  ces deux  chevrons  semblent  
 brun., foncé. 
 La  bo nebelest armée d ’une seule  rangée  de molaires qn b lü h e t  en bas.  La jptriggf ep | r f |£ r  fl  
 _de-i’oeil,  un V©n|pi&neee)  ce  qui  fait  p a fa itrë j te  héz bossuzet' tronqué’ brudquement  àpsffrtir dM.  
 naripes1.  Les  côràinïssui/és‘'â^lCTfe^SSnt' égalèmèSt îffléfées d$  'châquêfcôtët *• 
 p a g e l  BOGUERAVEL. — Dire  afS^quelle- amör(f#Jöfi''prend  le Mloiio  est 
 F a P B R f î «