cailles à sa base. L’anale, les 'ventrales et les pectoralès presque jaune*pniUeï vLa dorsale yert
gai. La forine de ce paisgeifcflst cylindrique.
Fraye en juin. Chair blanche, mais un peu. molle..
SAUMON h e u s c h . — Dams les affluents du Danube, où lé'Sauiubn hèusçîfse
retire pour frayer,, les propriétaires riverainsje pêchent au {rident^ (fig. 945) ou
au lacet. Mais on emploie plus communément le mode de pêche syûyant. On prend
une perche de 8 à 40 mètres de lqpgùeùr,. très-mince1 et très-légère, de rnahièfe
B
à ce qu’un homme puisse la lancer d’ùne main. Au b o u t mincg, Æê
Icette perche est adaptée imé corde de 1 mètre portant un petit filet de
3 mètres de large sur 1, mètre de haut (|ÿ . 945). '
L’autre extrémité du filet, est. munie d’un^ seconde corde,de 8 à 10
mètres def,longueur. Le pêcheur s’assure d’abord descendants offTe Saumon
„vient frayer, et quand il a .^couvert une frayèrej il la .surveillé
jusqu’au moment où il apercpii le poisson place aessug. .Alors^ne la
Vnaïn droite il saisit la perche^ tandisfque, de la, main gaprpne, îLtiêmt
üe. bout libre de,la corde ; puis il lance vivement la perche perpendiculairement
à la direction du courant dans, l’e^ù, .sans cepenLaant le
lâcher complètement. Le petit filet .est“" entraîné ayenung partie S é i a
[cordé, dont l’extrémité est maintenue dans, la main gauche du 'p(êcheujv
Quand le filet se trouve toutpfès de lafrayère, le pêcheur reffie h ra sm eg
Fig. 945.
Trident à
Saumon.
ment la perche en la laissant glisser dans saTmain, tirp ln filet- A lui au nMBaa| | ,
deux cordes attachées à ses extrémités, et ramène ainsi le p!u^)M@ffle| Saumon
entortillé dans les mailles ou entraînéjlans la petite poche,que forme lefilét.
Fig. 946. — Pêche: du Saumon Heusch..
Ce filet est toujours lancé à Vamont de la frayère depuis le bord de la rivièrë
ou du cours d’eau, de inanièrè à ce que lé‘courant en entraînant le filet lui fasse
décrire une poche qui, arrivée près .du poisson, est tirée vivement sur la frâÿëïte
et de là au bord. Ce mode de pêche demande beaucoup d’adresse et de force. On
le pratique aussi la nuit au moyen d’une torche allumée qui permet de- -recon-
naître la place où se trouvent les poissons. C’est surtout le long dusAgeA.ôt d& V'IlL
f c , en BavièrapfueiGefte pêche sle ffe c te i^ ^ l^ ^ lfeM éd if^ ë t lrun'e%és plus ctt-
rieuses^ettfd^fltrs diffictêV que?je'cqniÉ iÉ^B^jet j ^ ^ M 1 fantastique dépasse
enîhrl^cùlfëW^mi épervièblfdu ^
S A U M O N SA L V E L IN (Salmo salvelinus, BL).— Malaoopt. t$€:jsàlriîanes. Long.' max.
gjj’0^',3^}i,haut. == 0»',-j 4.
Syn. : Bay. — .Sjzbojirg. — P iros'w/
fptyan!/, hoijgr.. —
| y }Dt)8 brun, côté bhin^, ije lm 'n jm u e rc iK a ire , ti ailles trè s-o tite s, yeÿirale S i m ! blanc,
caudate m uge. (Voy. -Tptfs ms pS lK f’ *,
* Chair exquise' trè's^pb&reb.eê, se frouyfcdans Le nord d® j&SFrance ej, efipelgitpfeitMTOÉ’a
Quelqu s au.fejU"S'te toufehiteiit 1> i ilur il loityiiwio» lanhlr Aunt il serait
WM ,dehp^napon^diifërjptéi; peut-être ti'ffisytenoinîiiation^^S^fegt-eHes un seul et
ifi^ihp pnj-«. lî^ct^s difreiuKP'i que Fên^^^rque dins tepi^ps.d^fratjefües rfeeurs, tisibà^Ê#
i B s à la différefi^Flf^pdfaturn djas tffiîgta (?)
S A U M O N U M B L E ou O M B L E (Salmo umbla, LiitÉjp— Malacopt. Ibd fi^Sonl^^ng.
max. =iffe.4 0 . Sgi
Syn. : Chqrÿÿmgl. :
H E g B g j JyèsgpetjJesjMcr^|fjuan tachetëfifors^efcle l-k-raTOp; anafëîdj!%flHL enLti grands.
B *■> , fijjSOS-=cTmjnïfnîJW?'It^ ja'éwun^'nioiit.iunes i es PflfiiMliiBB afr ufinïtrIB unun da in?*tes
rivières Y femix1 qnefl^nfpr ençjdhj lrMim*fe Jicrnq i ,
à la Truite. Côbendanîfîb^yÔfcajrres^oum^jiïngfa'isi'wfe Saumon. (Toy. S. ifâ,-
VEJ.IN.)
SA U M O N E A U (Salmnlus, V i l l j B Matencrot.habd. ,sabpGjLeMjs?l
H H ^ B ^ Ou reconnaît pacfaiteigent ici la livréSdu Pu«’. (Voy. Salmulus..) C’e a t& & i^ o n ié -
■ ■ ^^hl^feuconn^de ,^Ôàas|<in5-.owe^ lieu. On i&lr&àÿe géfr$cJ|g5fenf. d telr am lrl«
^rivie^es fondantes en individus du gekrè Salpiope, Truit^jgunsàiiifan i»les-u.nsè)j^^»ÏÏy voir
un jeune frai de Saumon, les autres une petite espèce particulière : pour nous B H B H M B B i
Enftaon. ■
hafis; plytstei^s’.rlyjères,,-des fodw e s’^ ^ S ^ f c - d a n s te Rh’in‘; &L
t< i r i , <-uU‘> in di ^ahaU t.
grande caidaj tau s lesl^gjèiQheB quand ils sont jeunes aurapans'-auodn doute
J^pêchë -de- difijango^^sîiîiaraètèn^.particul^r^à oh aqu^ ^ fi^ i^ ^
B ^ ^ 5hà^leq|s&l^gr§^^n^.ersales qu’ils, doryeni-,en-Angi^Wre^Æo& de-.-flmndàn^ et de
facjivehng'do^ljjg^ayait CaBCgOeithdete,. espèces particulMySf ;et/mie. l’on^on frinw généralement
aujourd’h u i Parr. Le Parr lui-même n ’est' rien' autre é S w q ÿ ’ê-îeÇa^n/el ou
Saumoneau ou /e««e Saumon com ?m m (y o y . ce mot), n’ayant pas encore alLeint sa deuxième année-
| è p.t.nMrfAfe
ecrmme-l’Ablette qrateairein^^tt'ayoâs’pris dans la-XqiSe-à la msadheisglmelle.
îfcio»r^ffijna^^]^ay(>nsaajss^sui^j^Lcet artlcle.,^s|,.enh.èremeat- ur la ærimiaedité de
P -É S ÿ 1«/,68 Pêchei^f^itués à çe nom, et à la^ichqj-ftghle^ie ^anmnn, leur.prcêdre.v*-
SA U M O N E L L E . Me ^ÇS e t Bla-H-CHAILEB.)^]/)
s a um o n iè r è . - ^ a y nonyme dkgAUMiERiV !..!,
S A U P E (Sparus salpa, Lin!). — A.cahtho|t'/^ ^ t’jE ^ o ^ i i ^ ^ ^ ^ } à , 35, or((( qi“,'l5.
Syn. : S a lp s e e b ra s s è , cillem. — P am p a n d ^ espag,
1 r P°iasQa,<out „à fait # | j n du Bogue, dont le corps-ieàt teilg;,fébf®î)rimér; les éoaiUes -g ra te s .
Chaque mAPhohe, J>èu extensible pou» la famille à laquêlle il appartient^ poÿfhiuh.e langée de dents
«Wtehantes. Son corps^présente^ dans toute SaddngûeujEÎùneytaie droite, noire de chaque c ô té ,» t
des bandes jaune doré ,parallèles au dos*, qui au nombre dé M ï lS vM n f , tandisIqii^fe;
Bogu,e n .eh :a: que 8 ou 4. ■ ■ -; ;
s,t nageoire <îoîsatevgsàitd^î&4Sî^^8ns‘poin%üè';'‘lna^i/^f§f®i^^s!ïra|ÿ^li^t4és'2p'»-
mleïs forts et.piquants. Caudate'fO'®cphuht-i:<
sa u p e . — On rïehcontresurtout eèîpoetegqn sur Iës>côtes delà mer Méditè’r-
.ranééHlte f.êche comme la' Dauradé'.M^aux mêâ^j-lteux qu’elle, f^meeurs,
sa nQumtûïe, sont semblables, g l^|qient sa cïai^tstVoins estim ^ à st