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 vouloir nous  appesantit’ ici  sur  fcs* grandes pêches«maritirnesqui  
 forment  les marins et  les  navigateurs  des  natioisj -et  dont l’étulè  
 remplira  la sê'eênde  partie  'de  cet  ouvrage^ nodsMpod$$ui«< remarque 
 ® que la peche la  plus  atÿiliîsne* de  totjtês/-et' celle  qüp#®dirfl  
 partout  en  tous temps,- est 1&- pèëhê^à  lal-ig*®!#^ 
 Faite en mer-sur  une grand® éfehéiïey c^est^elle  qui  foùiiiîf-ôés  
 tables des  poissons  lesipuSî4'ëîeb;erch|ési; paree  que  les  filets nJltfet*  
 peuvenf Enlever des endroits  où  ils  h a b ite n P ^ ’est^ëlle  qui  ÉBfep'  
 apporte toutes les.espèces fraîches} "non  oyêès',  et-assëz bië^êé®.se'f-  
 véespour subir les transports  a  l’intérieur, oi$®è;s produits viennent  
 varier  la  nourriture  des  homiifeS' e t  concourir  à  1 arsénié  e t au  
 bien-être  de la  population. 
 La Franjs®|  il  faut  lë’ dire|*îest  plus  en  arrière  que  les natiiÉil,  
 du Nord  d®ns tp«Fee  qui tient a_l£ grande  la petite péch<4 
 Qu’elle  délaisse tes  grathdes  expéditions,-  <f est - fine  >qlugstL©n pol^  
 tique  qui ne nous regarde point;-4- elfe los*iédi'daihV*e;î>  huugtemp^  
 maintenant elle les encourage, c’est boniîSëst mieux ; —  
 est déplorable^ c’est  de vcÉP'lesîpêches  du  littoral  qégligiés|Ét[induites  
 sans  ordre  et  sans  les ménagements uéces'sfflFe's.. LesiptfÉfl  
 dations maritimes,  au  "lieu- de  s’occuper netteUiesi^et' # l^ l^ ltè   de  
 ces récoltes, semblent se complaire à uneincurie^è un  laisser  aller  
 déplorable.  Les  méthodes sont  eficorê  ce  qu’elles  étaient dlLf~  a.  
 cent  ;ans,' il  y  a  mille  ans pféependant  lâ^^eieiïce ^  marché, f f e   
 perfectionnements  ont  -sar^V...  Rien  n ’«yp'énéii&  là  où  devait  
 arriver  le  progrès ! 
 C’est pourquoi  ce  livre  est  fait. 
 Il  est fait  pour  essayer  d’amener  le  progrès  dans  les méthodes  
 de la pèche  à la ligne  et  aux  filets  employées  sur des-côtès  de  la  
 mer  et- sur  celles  des  rivières  de  notre  pâys»^ 
 Nous  avons,  en  ces  matières,  à recevoir  un assez grand nombre  
 de  leçons des peuples voisins ; il nous sera sur finit bon d’apprendre  
 que  jeter  le  ridicule  sur  le  pêcheur est un  fait  aussi inepte,  aussi  
 maladroit  que  de  le  verser  sur  le  laboureur. L’un fait  produire 
 a y a n t - p r o p o s . IX 
 les mers, l’autre la terre : en  quai valent-ils ilieux ou moins l un  
 que  l’autre"?fArrière  donc  »sottesf-pointes  des  loustics  de  nos  
 petites« villes*. Animas  a#-pieds  le  ridicule quand  la  cause  que  
 n o u s ï i û t e n o n s h o m m e s  decoeur !... Pêchons !..  
 ;avt0  soin,  talent  i ^ Ü è ,   paêpé  I   ïa l ig n a i  car  nous  suivons  
 .ainsi  la  grand%Ka!rche  destfÉiaps m o d é à § |  le  perfectionnement  
 p i  l’humanité!