branchette, up petite arrêt quelconque: pour, quelle ne -glfsSL .pasïinSn forihê, en
tirant, un léger eoup|sèc/et la branche tombe coupée», b
Il faut évîtqg que lasgrpette ne; glissa-sur la, branche fleaSMe parêé-ifiïtelte
> pourrait, eiL passant, %aiîper - ligftigne.
_ J l j ^ 961. — Serpette fermante arec imècrpci '
pour arracher les herbes et une fourche
. à canne.
1 On ne peut sîipmgiàer le- nombre' dc+lf-:.
gués pp^pjeugeSivque 'le pêcheur* sau^e au
-moyen de+etinstrumêtit. qu’il renferme dans;
un petit, sac. da -peau, afin que l’humidité
■ .^altère p # É i p«igtSii®ltEan«i -
. pefcte droite,
brochet.
chant-,•Ge-;quKèstMneé'®EL#f on
essentielle de réussite. : | .
-•* La, .*ft^üiiplSfâs|É®®ite!
üne.sérpette'én forme de lame *
| ©h'Kque. - destiné
so ifû:^'»tÉ#»tes3précéd'eMék.
Ellk^est ncderiapa^ifiei d’un-
fëSroc’, pôinfe' trèsyc^SïïÉêPei
pour amener une branche trop
tig r e sse , .peuR' ê tr etîehiüipéfe^ i?àn?
* pour a a ^ f l É N ^L ê ^ ^ tt^ o u '
H une racine dans laquelle l’hameçon
est 'atftêtéS&ll1
- L a ^ ïu e tte B ($ÿj96f ) inventée par M. id^^s^^iS^^h'feîiîfsiqroÆïneKfe^aussi,!
Eue se ferme sur de -mànehéjR,'en fèr*; ainsi que» feserac* A„%®nldernier' ^cdsiffite
le même emploi quemelui dont nous venons de parler (fîg. 962), mais, de plus, il
'est barbelé ettppùt &tre utile,-en le passant dans^Fouïe •^u^fôr-t,p®i^Èit^phuri‘a-
m e n e # é e® \ê ^ s ^ ft^ ji’^ g e . Le. manche de fer R setenrnHeS^B^paE-une'jo^eîfe»
àcanne. - (Toÿ^femofe) —
SERPOLET (Thymus serpillum,- LinS'jfS- Le Serpolet est fiMihjiffsâôyàg'', uirpeuBm»^!
aromatique que le thym, cultivé, qui, pour les usages de la pèche, peut le s^f^^^tjS^^nêajitertej
. pas Iftinême parfum. *
Cette'petite plante-est commune sur les coteaux ÀBIeüLguJes pm é s (xposis aujmdL Ujfïti ,
, reconnaît à ses tiges nombreuses et étalées à tercet diviséeswn*ponts rameaux q,ius ^ ^ ^ ^ e ïr r
poùr former?deÿtôûSes!;âe &mftfâ à 0m,i0 dé hauteur au plus, quelquefois mêmé restent étalées, f
Les feuilles, sessjleg>+etites,'ovales, i^trëeies en. .nu: courtvpeS0ie r,glal)res-'ou vâtiefl’îs:§S§3Ü -
vent ciliées!sut lesto rd s. Les fleurs_sçmtr purpurines, disposées en-épi^ohlongs.au rapprochées,
en tête h l’èxtrêimfé des hameaux. Calice stné;:-fermé parues soies pendant la mStïïrité, 2 MgÉô&j
süpërieure'-à'i5'deufë, inféEfâireJjiûde. Corolle à 2 lèvres, supérieure plate et é(hancréerinf|mu rc
à 3. lobeéjï celui?du milieu plus lérgèl (Labtées.l^ '
SERR A N [G’e&e], (Serrauus, CSrsfî‘^ ’Acantlfopti' percoïd.
Ce genre a les ventrales sous leS^peotoralès et une-dolsale unique. Les Serrans ont les canines
longues é ï aiguës, mêlées à des dents en velours. Leur préoper.cule est dentelé, L’apereuleVet-, le
cr&né couverts -d’écailles, et le bord postérieurAu premier, porte.ûue ou plusieurs polntes.qtil 5®*
été’f origine du nom, Serra, gfjgr^ y
Cinq ou six espèces dan®’nos mers et surtout dans la Méditerranée.
SERRAN B R U N . MÉaoiW;.^
SERRAN PROPREMENT DIT (Perça cabrilla, Lin.)! — Acanthopt. percdld. Long.
ma&'^=rOT',30\ 1 ‘
Syn.: TKè smooth'serranvs,’hngL K"'
Le Serran esfi d’un grisjaunâtre avecrdes-tieftete Meus, à corps comprimé. Il n’a pat 4 é trait*
çnr ia»tête, ce qui le, distingue du Serran écriture (Perçu scHba, Lin.). 11 porte#3<ou 4 bandes horizontales
d’u n ,roux foncé' sur la, johe ,et ropeNn|e,_ et 9,ou 10 bandes verticales sur le corps, en
meme temps qpè ’q.tiélqiies autres longit'udinales de la tête5à la quepe, Æi
L’iris de l’oeil est jaune; t Igg n u ’oi l-, i<ix -, )on»itinflnTgm ®l deîæouge et de jaune. La
ddfksls' rayons, les pectorales H-.l+etrl'es ventrales 1 -H-5, l’aiîé|e 3 + 8 et là causa
le 17.
f e ;';6ette espèce, très^conapu^ej-h^^-J'^J.e+assifltd^la Méditerranée et remontp.dans l’Océan
jusqu’aux, côtes de l’Angleterre: Il se prend, à Nice, en mal et septembre,;, la femelle approche du rivage
en août, pour déposer ses' oeuis; îf se nourrit de'petits Crabes g|;iïïreYew.§?r
BmRn4hniié/.aussi, en Provence, le ’ nom de Serran1 {•Duhanîëly’à^iln'autre‘poisson dé'lâvmfme fa-
SER R A N .— Le Serran, que^on nomme, à- Brest, Foudre, se noùrriîjid'e proie,
quffl-qu’il mapge en même tèmpsfâésàfirfe'es marines.
On le prend anx-^h^r-ons des- rochers, et jamais tpèsdoin do^terLe^:®: reste
pfpîjes, sa mord dans un état dArigidit#!singulier, les nageoires adressées ettie- corps
?C®hS®uiné'T ï
S i ( p a s s o n s - à laiseôosçcle4esp|fie de Serran, nous savôhsteg’alement qufà|:se
-nourrit d’herbes marinesfqji<elqnefois,m.ajJ surtout de proie : les Moules dégarnies de
l,eu#( daMaille Sfâhtlbôïiries'pour amGrcemlé^hanSeçf^a«c^e||^'l%on!l'ejpêehe : des
^|^e.e%iac&dLPagre,, o m e,ahx ^j.ïAa;iT coupée sur les-.côtes
Hal)r]Vfe.'qt^isaiUÆ son%Qei(cp.’;ii«yf a - (f eB ^ « g îij '.® qm + ,ê c h ^ .c e ,
IL. (A^ikqiriva'dlgt l’mfa*Ae».des riv l^ s d’eau, _ 4 ® Ç 1 r t^teate un peu^ dans le
mêÉfli&ïtemps que SaiÉf^fe^S)®s l’automne ou te c o rn m en cérn e
SERRAN ÉCRITURE (Perça scriba, Làn.^ + 'AcanthgpL-iÇfei-eoîdéa .A'°ng.’jôax. =
«,2.5.
, Syn. : i&sgag-— Chassin, Turq.
Ç ^ â e noffton^ B I tfc JJ^l'urrlni-orfginal et trte-bel hôte de la Méditerranée. Les traits bleui 'qui
jpmSTre'ft:s?tutc,''>u^]om‘'i; son museaS'fout l’air du caractères bizarres tracés au pinceau Le dos est
§jpuge vif bandé de^plaqp.es sombres comme cellw'de la Perche* 0010111^ ® ; le ventre est jaune.uh
^iÿ'SÊK- -7 .Serran écriture: OEcrcà scriba, Sriiû^
peu argenté sous la poitrthe. La queifl "eït éarfêê et toutes îioia^èicës;îShne-roux et sont émail-
lées de taches rdugés,'jaûîfél|' noirès, brùhés en pointillé r é g ^ é ’fr-'Coùl'eurs fugaceVajwîs ïa mort.
^gf©êntsven:velours aux- qe|®rqûâoîmires. D = . 1-0 ÉHrAL
C = 17. Ligne latérale paralWsafrdôsi.^
SERRAN ÉCRITURE. —« ssciû.1 qui n’est jamais hienAÿoiAe trouve
^rès-abondammept.sur'to^^^^irnarGhés(iha midi^ffila France,': oruen^aime,'beau-
boup la ohaif. Il se tient sur -tesi(tep.d^cgjjS^fes;i(ou on 1e. prea^ t o u t e i& née.
Il vit, de p^li-tSj-.Grahes,, C^§^t6g:marlfi^M^ ^ te .sf p ^ se ^ ^Q a ro lin i ^as^are qu’il