
 
		11 faut être muçLen outre d’une boîte à amorces viv,çsy-dej'ggt1î-1Sîip,©Sçson,s, d’une  
 aiguille à amorcer et enferrer les  petits poissons,comme nous le disons,,>,en ckoisiâj-  
 sant la méthode  qui semble la^plus expédiif^e  et la. plu§.aomm©de..  c 
 La ligne  à  Brochet ^est  d’ailleurs,décrite  en  détail-  ]j$. p$sbe-' î|u,|ftw^#£§iSL  
 ” elle-même n’est pas diffipilç,, g.ar^jvl9ɧfi@? hè brille pi par  su défiâmesç*nijpafi ses  
 ruses.  Confiant'dans  seg^re,^ ^ t   poussé  par, spn  insatiable j,-glg>uit®n-nérië,s^lfS&és  
 lance,  pour  ainsi  di^e,vsans,regarder,,.^ j.a;p-rpie'>qui ^-.semble à s&pçrtéeuCüest  
 surtout  dansj].e^endroits  tranquilles,  près  desremçnis iparessaû-Xÿ de§^eaux amorties, 
   autour  des  grandes  toufïes  de  roseaux et desjjherbes  qu’il  rôde l^p|eme®4v  
 s’élançant comme une flèche quand# voip-QCûd#anûgvorab 1 e.  Il s’ornhusquè également  
 sous-les racirj.es de§Jaords profonds, sparrni-le^cheYelu de&&epfceiS"pendantes  
 sur la rivierC;.Si,|?ie là, il aperça iti’amorce vivante dont||e^ allures4ujvjs,0mblemt>i§iQ£i  
 travées  et par conséquent offrant u ^ p ro ie  faeilef.eh incapable  d’une fuite sérieuses,  
 il hondira,  et  d’tupseul  coup  engloutira d’amorce,„rh^meçon etM ^ '^ toO ’îjtOasà'  
 0“, lSj.de. l’empile.  C’e$t  alors  qu’il  faut §ô'd|Sliciter -d’avoir “emplqj,é-éÀsp.deLii^^;  
 et .de tenir en main une ggBdeeS^^,etrjr0.g Jggmg^ési&tante,  car h u b a^ ^^^rjeûne  
 commence, mais cette f^.enÈ rç   Lç pécheur' et le  B#a%|t^Â-veg |dçi gpu d’adresso"  
 elle se termine tôûjopGs par une victoire pour-JÇfgèojheqr  dUBrochût 
 CSt brutale, furieuse,  aveugle,  ma^rtjf^opgue :  îl-e stfa c ilem g p ^ ^ iA e t n e r1^   
 jamais. Agissez  done en connaissance  de, eguse,.  ■-[ 
 Le  Brochet chasse généralement le  et vers .lp-soir  :  
 il faut allççle pêcher. Dansjl|4l4h# n^piord guère,  etg^&eHajje»iw:i1 ant^ 'o il>&  
 se  chauffer ou A dormir; L’abondance des petits passons qu’il huçne ëg^passantafaif  
 ..qu’il dédaigne ceusqu’on serait tenté de  lui oihir  a\ÿÿ  un  hau^tqnp.ortira p a re il  
 ment,,  aussLle pêcheur ^^ngeqtjiJ de tactique  dan^lesg^aaggtj ours ’.'de ia£||inicuj||§£  
 ILpêehe, alorsde ^Brochet au collet.,,Comprend,,;pourjj^a’, -une  
 légér,  de  3 -m^de longueur y on attache à.'^extrémité  un  cùi-lçl  de^Bjuadt^hHval.  
 en six doubles,  pu umçollçt .ehfil  de  laiton. Oe  J n n safrrëfa Æmâi.p 
 et non. en travers,^ ■ 
 le temps  est  beau  et limp.de,  on se-promène  le  eH ’SÏFi 
 voit kWjrochet qui dort. On s’en approche alors em-sjlepje^pour  évi  il - 
 S i   io n  p|Httljqpprocherr presque toujours,  à,létoucheRavefUtWpinVtoj^Oiiia^iiton  
 estrhien placerQh passe adroitement le, eoIiçtjbt;na;Lt iupud copiqq^&ii». lc^pa-jwit»  
 sans  le  toucher  autant qu&jpâ^sibLe,  on  s’arrête  un  peu ,iu  dek/dt-n  ouïes  vei^rig1  
 point  d’é(|inlibre  du  eorp-entier,  et d»tïçjtLuup?.ee eu  rel'éffanl; on  «âb«< 
 coup hors de.l^gau pour le l^ ç e r  sdêq^pg^o^qr là.prairie. 
 Le Brochet ne  s^échappe  pas  quand on le teufhe,,|||à.e fuit qgfgp  
 tain.^pê^heqrs-même sont tellement adgoits,  qu’en- touchant,légèfeçiignt,Jg/ppigson  
 à  certaines parties diq^orps, ils le font tourner juscgiîàjçe qu’-il soit conveEkablgm’^fe   
 placé pqur,passe^lç.c0llet.  Cette gêche^e- fait depuis  Ig^mpi« '^ fé v rie r jusqu’fsjg  
 mois d’aoû-L;  | 
 |   Pèche du Brochet auæ-brieolesJ |liC e  genre de pêche, extrêmement intéressant,  
 se. fait  dcqdnsieurs, manjères  <et  procure-'la-.ea^ÿ'ge  plus.;gs®ssasipiè®es .des  
 étangs et des rivières.  Bricoles âr, 
 ■  Pèche  à  la  ligne tWhmtq,  —  A  une  grande, gaoile-rde  4  à 5 m-.. on  aBlieîitq  
 une ficelle ve|Mpj3ailieu de la  longueur eh<>a enroule cette Mgnq 4utour, de la canne  
 jusqu’à son extrémité. Le fil qui resteHeit encor&a-toir  au moins 5 m. d§ longueur.  
 On attache,  au bout,  la bricoJte portant l’appât ; pour CTiift-its^B^^^nÉre  dânal’câUj 
 on mçt de  distance -en di|- |^ oel|[eM loM|6y.^fail|iupe^ On  lance-alors celle-ci avec  
 fçjfp.e  1e|jj1pji^a,,pEomèn^,jl^p^^gi^fa'ipaim|^te,îs,J^?^®E#  4e  l’-eau  en  agitant  de  
 temps  e,g£temps la canne pour fairq ^ m u cB^^^ie sq^Qmim.e #1® était vivant. 
 ,  i l  faut, j^pEsae^ap^  auto,gst1mi)éjljila,deg.iidie| pécher, h • ^B^iqhcl ^Msiëf j-hfilui-iS--  
 Ig, temps.d’snga;m<mer B^mifgei';èli,ne pas ffr-ijer dèÉj®®ÿladiç>ucl];e,  
 m f f i f à l e . ||] 3 f ; f i o ^ U i t i ,  heure, mais il vaut mieux  s’y  îg^rdeiB^iP)  un  
 i  A® iÇ.Wëh-C1, du nd'ÿl;; ;Çÿde ■ matin,  2 Ji atoe^aigSè sj^on  „ - 
 Pêche à  la  ^TuvhUfy.iu^r, QuaiiAalrt a préparé  sa  de  la 
 main- gauchej^lidp^a_mairii’droitesle, j>aqiîet,.de^fifeeRè^Venken-fdéviMantautant qu’il 
 laisMtMjerf’-amHfe^pi fond  
 et  pn...fait.  le  poisson  le  retirant  par  saccades au moyen  de la  corde. 
 Quand  le.,Brochet.,sl41^cprqj^r..L’ainMMQi^MimJià'ÆgÊyde la  JÇ^®e^|xsqu’a'  
 rm ’.il îsoât a^afthmfeê^l--|.i,âIaissaM l^ ‘^ ^ di€Eva|ÿ^it^ y )U .ion.  puis ,0m  l ^ » f e a   
 en retirant l^feiifig,  defla /tûâiî)' diseite. 
 ..  H ç std ^q ^ ÿ an d  ou se.ut.q^ l f iA ^ ^ ^ n ^ iàpr.dn. d^-’(&ûtomM'felp^Sm--sacc5a:de  
 à la Ijgne p q m > ' n l m i ^ î j p m v l i ffîfâ  
 forte  pour  ne  rien  craindre tej$ si  l’on voit que  le poiasomtèatrbieh^o^ ^ M ^ p ^ é i  
 jette hors de l’eau ; mais,  dans ,tasis.l&s,.<aiâ  innuéeîiaib 
 y ^ ourir- à,-}-’j4ï®tigÛ%é 
 b r o c h e t o n ,  — Petit BrocA&udfflf>m< m i m.oit^|qa 
 B R O Q U E R .  —*QkstjgqiSL^ u n j^ s s o n   su&, up^h-SWîCÇqiit  p-u  
 Enferrek un  poisson vif, Bbku  
 , B R O U C H E T   $ 
 B U C H O T . — Dénomination rjaaüBguànidei^ M ^ ^ ^ ^ f e   petit boutèux  dont la  
 ‘pegjbîfia.ft,s^fa.ite  em.^p-ftc.e.dpi p ^ ^ iaM.l.esàri'ônr., et m^ f e rt  . 
 H S m B ouTBuaè^^ ^ ^  Parcs.) 
 B H H A U T IE R .   —   I>('11 I I P U   1 >Itajÿffm.v&m  
 (Yoy.  Bouti ux.) 
 B T J'IRO N .  ^,^[o®^Eg^eaeal*Jde J asMorSéeW^ie A-n  Môstée .■) ■ 
 B U R R A T S C H E L . —  Nom  \ u k a y e ^  (îri  
 CARASSIN.) 
 H 
 c a b l i è r e s .  Op^don ne ,leiriio«i>de,  
 qui se'qKf.Hl^à.jpatg^  au' fond, de.,laüqapü&4f^^-Q^d^'G,  ou ap.r;«  
 pclets,  au  m%ent desq^^^%,, -fait  la  pêche.  Ces  mêmes  
 câblières  s’emploient pour la .pêchp,j&p^flijj^upg^fef&|grCPi  
 à  retenir,  au  fond  des  fleuvfeSjSfet.-,de&i#Mè]lC&,  les  cordes  
 ou ligM^J.qttfond-q-u’on j  tend ; - elles portent alors  le nom  de 
 Dans  l’un  comme 
 toujours  mieux,  quand  on  ne  regarde pas à un  peu  de  dé-  ^ 
 pen'-e  (< mp]  ^pi^rres pdgidjv-qilomhs.-As^wlisi  -g’ÿdyD.dKiiinyaOTiwiiseur  
 et disposés  ainsi