solide, il faut flotte limer 'UMEpseaii- poui*'te4ô,t3ÿid'i‘fï eylinc^duej;.et alors il s’en-
mapche-de travers. -Il •'vaul^îeuSpreicU r êLèiafaobetÿïF 'UitUyiU . o-’eA ^ l i j s
simpl$&fc%
Toutes liés cfèùx owtr©®’ Kgâtra?e^Soâ_pas^E^f^^^^Bi®aiEïeaUr^ü quand on
, ain\or.i au seisn» on le fera comme nous l’indiquerons à son article. (Voy. Scion.
i|K^tî^E^aleme^ti4 a « u n i^ a canné td3u3îi§Jl^ ^ ^Aag
i On y monte un etfL g n . . e x n&l.tent. .1 p^A™p.f£t,.,-rle
pèche, d,ont|^ p |pjgijPt;Eépa|per auf^sdim'Jôutess-fe parti es; ^ -can il g^t;jp5?fesque
pas de village où l’on ne trouve des cannes en roseau,
j 1 Lés^ ÿga|®BQSj,|»euvent ^^^Ser^égadfem^t en foueld>Æi^ ^fiÇdé'Ghtuiv^^en
* EetQèégJtet m^àe^a^eaËfefil 4 e 0®®^^t^defcfer;(niS'tó, dans;têe>ea^^'®ir®d#âi’arrêt
' est diffiêreÉt^-Ysl
à-eïLéS qualrefOu^ci-nq compaÉfciiiasSa^~qviipfnrm ent. 'la catujfi rkn'vefiOfetefe^t^aij.nn.rs
f^tófi^^?ös>uiuéftui d ^ |Æ te |^ ^ ^ c a rÔ ^ "ô n jjeûsl? p y WleaM é i y h in n nifti?
dédxîs'èi'éükide le man@hót de ~ F êpuisêtte_ efe’aéjto^dir pâyf» àj-papil§ôïis
t Moyenüa^^lgt^préekutiàï? ô^âdfâppe au risque de Mfiglk. foT*â$ùitp.
utfe^:% i ^ | i ¥ s J4Mtóa^f:ci^®krit]Q ent ■ i n É ^ S i ^ î e i >
^tfp* Eanne en'baBâbou H^ajp&botfEQjh Jy
S^te f^ânnes, au^Ê^.îës?>e®- 'd o nneuùè te s-'Td^l^l^ïeW'éàf»|j.$.qu’à celles
èn¥esêaUï0^t^ûs*']!^pÉ^ ^&ecelig™Hham]|»ïfluMffil iSffp.Sra^CTKt.^&i An me
êl%4& ö ^ ö 0^ e d ( ^ e ^ ® s m t les mt#iét*«&feï«t$ion
i,vé&nrs iHlvÈè^bEj^p^'
quêïPSêtyji‘ép $eau$3$é-l!air et du.sql^gîîia^^iââ' de prisé ^ ^ ^ ^ â â ^ * p ë s |s ‘feènt
v&tGRi rarement, Uni qnîï]S|H|j| iouI pas aHégé'S'spar jÈtetér^^,J='iu<i^‘,qii.in(®^[0<!
opération iJ^endBEt ^aussï.,
• ' ô é s j qu’M^èn^oit/pour k s î ^ ’âe4tiesMtèe^^®Sfé^f e^ aU ^ e ’oi?rJli,c'Ç^^'“!?'ti (a
nfetfei ef puf^ftilbinV t /è1S<‘,est en eflWdèeJh^n^yTH^ i Tsivjot ,x t r
»g^i^lfÿ^faissant hif ^ ê LÆajnhjgu'^ahpeut l6rec.uteMèr^^^^^;iii'i^m53$t^vemènt
très-fittisc^^la ôtaiiAtfeBS^eiàs, quoique d ’ ute^gr^pgëyfdr^ ^ 1 -faiiLsùy t.nn Pm^ j ag
’ ®e, servir dp la pointe des' bambous, quiieki c ^ s a n t e ^ x é f t p l y è a ÿ ë . -
Cétfëlté^sum'â taîçôûrs .ie^ tl^ ^ id ^ ^ iF ^È ^ ^h ili^ü g 'Cte
ê y é ïita in êp 0w ié ‘gêcéé^ et sourehtçau^plmi endïgîtd quand- m%mei1 bn^urt|atf
évité cetaccident.
9° Cannes à, pêche en fàeme de Cannes de promenade.
■%'B(^ïge[tóeg&ie^^;ïÉtst'p'a^setiI@M|nt. r'afeÈrfês^^.|^lé^§rA^ifeb.x, ellW®
qnrelquëfîMsïutile qstpÉpon véu#tfai^*Etr,eiv daPs-mSfe^lfp ^ ||^ ^ # ¥ f e tc a iîn 'e à
péchs-qui ^pis^^forictifÿîser’à= |^4 a*M t% e '|S r^ p |||i^ jp ô lft peu q i |p e ait une
certaineJoi^teur to ta le |^ '-e t ,<jjers-; :IenKjudferpiîe$c4?Qû|srstippl^è‘^|4-longue#’ çlô'
èhaqii^Tffëlie d^iê|ri'3 akssi' volumineuse' qu’une dekfeânnes d e s .ü ^ dli '8'dans
sOTt'éftiiJ h
Somme tes-fiannes 'sont coiùpdsée^ d’ture-suite de morceaux creusés^ -féntrââi?
ipSùüs dans lé^utröe, :elte&’d©ivei$-êtaéétablies aü^mo^ëô^dêcrutils et d’ouvriers
spéciaux.'.'"
lltesde^ontidid reste Atrès-bomlmarché ; Ie cômifoi^e''éB-foürnit de' à - - '
Abouts qui dàt, déplôyéespk longueur de ‘ 1“,95 '
3 WÊÈmM — ■ 55
4 3 40
H — — • 4 25
A« É t o rnières ferméqs^.on les croirait d’une longueur énorme; tant s’en
faut^et, elles ne ^ ® R |S !É!Mf#ives comme canne de promenade, car elles ressemblent
àÆ^^aplui,P,|frHté, v .
Une TK>mme^isÆ ^ & Bi.Bout et unç vi-rpM- de métal à l’autre, complètent
l’anji^fâSqTsi permet au n^ehçni’ timide de satisfaire sa passion sans dénoncer aux
g^s^nte^ei^^gj^.h^tile^^tXjpoisécfflgv II aTair de sorUr pour une promenade :
sa, canne est hélj^s ^ n r t s k llfl^^i s ^ vraL e^le neA ess^ n b le pas plus à une canne
qu’^flpp^/bpguette^ c;e s t ^Æ j à f t car personne n ’imagine qu’on puisse s'appuyer\
sur un^ , s ^ u à..pêelmï..—^ çaais enfin nfeûrepx,- il1 cache soîi jeu ! Aussi, que
mjdrpit jejol, _ entre les saules^Soptre homme fera comme le
ifmaç^n qui sojttags c^gne^s, il(all^ngera furtivement sa canné et......en fera un'e’
nm^Msesm a r in e à ^ a k eU
Tant mieux ! Qu’elle lui apporte tous les désagréments qu’elle ne ménage pas
fi’aura qu,u.cie qu’il mérite.- Ce pêcheur ’me représente
un chasseur qui ferait enfermer son fusil dans une canne et se munirait seulement
de pistolets dans ses poches, il rentrerait bredouille et n’aurait que ce qu’il mérite-
TMt^^jh^qunjdoit.agoir la responsabilité de ses goûts e t de sps actes ! Eh bien, si le
pêch^mF^a(Æqur,_.Kjù^ljgit puni, et il le sera par où il a.,péché (sans-caîëmbour, je
yqus prip-)i. En effet, pour n’|^®ir pas su mépriser les fades moqueries des passants
qui, sur la foi d- épigrammes surannées, raillent un goût dont ils ne soupçonnent ni le
efeym é ffiy tejs jouissances, il emploie une canne sans_ force, sans ligatures qui ré-
parent la.perle ,dola substance intérieure, sans anneaux possibles, à laquelle il ne
peut-aftac4l% de;moulin<ÿ, et dont il ne peut se servir en cachette que pow ecûtever
quelques maigres Ablettes ou quelques Goujons imprudents à venir si près du bord !
r -, Lps.^sjiççès.j-de la, pêche sont, comme ceux de la chasse, imprévus eo'mme
toute chance e 1. -aicatoi i;es . co n î n î <; le hasard : c’est au moment où il tendra
une amorce au Goujon qu’une grosse Carpe, en train de s’amuser, lui emportera
la ligneçt une partie de la canne, en ayant soin de lui montrer coquettement.
s o iS s 'p o u r qu’il n’ignore pas à qui il a eu affaire et quelle aubaine lui échappe.
En résumé, ciest la plus mauvaise - de touies^es..cannes, elle n’est pas même
bonne; ;ppûr .Iq^^ifàntsaju’elle rapproche trop du danger.
Yous tous qui pêchez ou'-voulez pêcher, confessez hardiment la foi. du pêcheur
et, en fussiez-vous martyr, un moment,- étudiez, et vous réduirez bientôt par
vos succès vos détracteurs au silence. Alors vous les dédaignerez- en savourant deux
jouissances exquises .: la pèche et la vengeance.r (Yoy. Perche ou Canne a pêche.)
CANNE FIXE (Pêche à la). — La pêché à la canne fixe ou à ligne dormante,
car elle porté ce,s deux noms, s’emploie aussi bien en mer qu’en eau douce ; e|Ie
demande un attfailiY^-pêa'.^GéndJxraBfj i^% frtle rap- ■
porte généralement du poisson de forte teille, car elle s’adresse
àl.a>,çlasseêtes;poissons de fond....
i e s meilleurs endroits, en eau doqce,. sont les graiidsJ
foiîds d’eau tranquil^; en. mer, çe sont les passages d’étangs
salés, lékentre-deux dé rochers et autres endroits qùsj
dieau pst .profonde, près, du rivage.
Il est bbHde-se munir d’un panier (fia. 119) ou d’un , , ; U '' 1 , u J \ : , Fig. 119. — Panier de pèche. sac de pêoheur (fig. 120), pour mettre non-seulement -les
•engins, mais,encore des provisions pour la journée, car, une fois qu’on a choisi
une place, il faut la garder, l’amorcer, et la rendre le meilleur possible en y fai-
10