II. — EAU DE MER.
p a°VE^H,E 1
A ) P ê c h e à l a m o u c h e : ' ~ deTa came ï
Saumon à 1 embouchure des fleuves, e£c...: forte" jL ^ J û u
en hambou et hieory.........................
Dorades, -en bateau..........H H H N lM è t r e s . '
JB) Pêchç s é d e n t a i r e :
Sur les rochers, à la canne f i x e . . ....... ! 'fs1! 9 mètres:"4**
~.,,ff) Pêche e n b a t e a u :
Canna pour les Maquereaux et autres- ùâisK'ans-j, ,,, ? ,,
fie> surface.. . . . . . . . . . . . . . . . . ; . , mèt'res'o(.0i“ yy
t e tableau de corapo'&ti$n de ceçTôngueurs aû<moyeh des dïfférë®èomparti-
ments des cannes, permet de serrendi%'^$Pfac11ement con^fÿdd ce mïèYow^ît
acheter ou co nstruiréJirmêrne, en vùe'de la pêche à la q h f tff ri veul ÜBWc-.-
Quel que soit le genfele'pèehe choisi, - même f f i t - c e ^ f ^ r e n ^ f ^ f e 1 aKlttes ;
-.^ q uelle que soit lâeanne employée, jamais un pécherai sériei3Éç ne s’en servir
moulinet j^cîest'au mpmént où il s"’y attend lë-mmu-, qi$ cet insflw y n 7 $ n i
« ^ h n fournira qfie capture'-aussi belle q d Jina tfèhdÿe/L e'^^^h^qu^SrUit^le
pouvoir de toujours posséder une bàlTéT dans un'^îé^âhon-. dé
fou de nepasién^pièfiter j 'c ^ 'i ln ’est pas ^ v i e de ckiUeui r o û ÿ j f T 'M B ^ L
fiquqp été renÿoyée^gar lui, avep„uhe’.èÉar’ge^ de petit plomb rdâtN M H H H
parties charnues. L e ^^d in e 'td u - p êcheur, c’ffiât'îcu feillèTei\oimifeïï■, <
cette différence^jFjès^epjia faveur, qu^lh ,nlempê<Jn «y i .y iW ^ î ^ l * '1 ■
de petit plombj^-e^est mieux ‘bjrFéfle*^/là'fMHr^-.^^mS(f^qn,vliii*l
balle sur un animal, gardant Une roï^^suffi
pieds.
CANNES A PÊCHE [Confection des;]. — Lès p rem iè ^ÿ ^ a ^ b l à pêcilë- que '
Tes hommes ont inveittée^ftaient tout^ÿpleS^&tune^gaüle efttp^iiiî^i^t^j^l'é-jiée
la plus voisine, et cet instrument, si simple e t à la,porféel(f(’ï t o i ^ ( ^ e^ft^^®j||ipM'.
-usité dans les campagnes et dans lêsj- p e trtsP â tre s de p o p u f a t ü e u - ' l ^ r l f e
construction prâmitive, qui consistait à BégrogsirVÈmd^Snple baguottej||fa*privarrit
de ses »®|®sjêt, de. ses branches, fournissait une cam k* .WBJi flc* ‘J" elle était nj j p i *
longue, et,peu élastique si elle était courte.-. .
Qr, -ayant tpiït.aussi bien, alors q û fi^ ^ ird ’hui7'b esoin-'tpjls ^souvejg^pÿfldfeper
son hameçôn dm bord ôùt-lè poisson-voit trop bien et se méfie, 1er pêdhéucj|^^éhia
de toutes Jes -fe^ons. ^augmenter les deux qualités qui manquaient^ saç gaule, %
légèreté et la souplesse.
( _, J=|esPrit humain procédant_du simple au composé, l^ p ^ ^ e u r gqnsa> à/m@,difteir
l'instrument qu’il’Avait en main avant de songer,-,à en'- créér un a iX ^ f e a p è r ç u t
que, sèche, cette gaule était plus ■Tégèïe' et-'fftfe élâstrquë, il Ê"Wdb^|esig4#es
au four après le pain retiré ; c'est! qneore1 ainsi que se font les cannes à- pêche-dans
les campagnes. La différende du poids vert au poids desSé&hé nf étant-pa* trè^oolr^
sidérable pour une gaule d’une,-certaine longueur, .le- pécheur dut chercher si, éffl.
ajustant les unes au‘beitt'desautres plusieurs gauletteplus .fines, il n’arriverait pas
à un résultât plus satisfaisant, la création., du sçjiinji qui constata ce^pas
fait dans le progrès. .Oh peut dire, qu’àuee moment feWnne.à pêdhgjriviMs^ était
gjjvleÿée car, en modifianhtSeffitejheEtfcâl^cihoi^ijies>malii^,es^ on -arrive à la^canne
la I mieux ÉonAaff^w^os jours. ,
L a,( p lig a tu re s a dû avoi'ysdiapé'H’gi'de^d’ appr enfos âge, ,de progrès ef
4e 'perfection, .j;nsqu’à^fiq|i?^|^®t^digato.efit0nî,dùré1fra’^l^et diffiejlestâiifaire^
fût pârM^s■J..é%i3gil^dimpltps et do,ifb]|e%41i^ per topent rinven-tionjdés
o an a ^ â i c Qihp a>r tim en^f,-à|
R,estait<-la q-nes ^ jS ^ îe, m*aMèiië>Mpjntia)
vite ap&çujiFque,«parmi eux.MfiM f a efciaiÆemb'ne tgépa&feifes^aux]
deux talèachilf s ï . d e j u j ' ‘'^'n•*?fiàj
Les lourds sont :-ul-p^Æ»î!7twéqVerAlS^, d ’AmPÆii^ég4&iui4^^1l’orme, le
iCoudri e r, 1 e frêne.
I Parmi les légers nous plac erons : le s îpin creusé, le bambou, k
son -d-iminubil-chez^nôTasg canne, qui gj|iaa- /dansd/e-- France ! et, en Ita lie
avec une grande facilité.
j.*.',Cfipnt en rep^@ÿâie|^^|ec$eur aux ar fiÿpy.-spé ci aux sû ii4>^&,lÉfci^'(-l].A(.ii t)!; die
m salaa^^ri6j-wdi^jaaé« â ^ e - i ^ ^ <mièlaue ^ y i^B dfeVfeOTS^ima!»é^#,^d!a leurs
d-éfaujts avant de -passer e» rèyfe;i a c a i ÊM^ g ^ i iMa i ^ ^ g n a t i è n e . , -
-n- L e ^ h if^ l^ ÿ ^ fà^ ^ l ^ pqtitojtgnais très-lourd, il peut la
iM]rie8totAlfjtlitl^?n^-^imai\s^E^vé,rii^hlè^e^jl@|^'|ijsMi^ 'ansth^ppemièÆ^moi<3jB
4e dv)tMitiêl'î’’ï4'<*feS]|¥j-Au-rfeseJ celle que le pêcheui h c . 1 lvôlÉîê|t'&ffef
I r( -■ - 1 mon-» 1 M-[ 11'tci.wttffii cUcaT'U'fc-.sca.fab!! <1 ] i ci nn 11 b r éraj^r.el^tMM*. 11 w!iv.(h ^ ij|aM^ j ' riüiins.
du pêcheur à -^ ta t dàéqi»ly-gê4ns1aM^;^i!Æt.entvfa:em^arn.efSiai%â;éan^Miih4|aftèg
dont la iii,3in du.pêchcHijjsljlosHppqil. À d< u-\>1mas» <a tK ia a ^ ^ m | ^
pai^.dQMsàwiviifetf^itonM^^M^^jiÿ^^yfei^feégaiUX^T^feiBfeAM^fliiin^me^éiâ.hil'j^ëii.
tLaj partie en ^gàjmitÿljOi;^ êlrc tr<>Srlégï«»!^ jiliâb'1 %
loin de la main du pêcheur, mais si celui-ci rendalourde la parAteA ApljH^ ^ é g ê
qui c s t au delà de s(m*.poign.el 1 ^-Ë< ®Iii( 1 -1r±>% ^
^ p faire venir dans sa main ; jjpM'Uijrj d ms laquelle
la canne sera en c quiljh're^>(?f-)Umdt-ï Ifi1 IL. uim*1(-i1 i„b d|&M^mi^!Jioii- paai
{\ insi équilibre c, laLwMjM^d'nrnûiîilnw h‘
indispensable p o i Mn
Si, au liçuWcU-'Çfâ0-* le pêcheur tient en main un instoumeA à ^ |^ ’il^d^pds:est
en avan t, i 11 u i faut un effor twBTMitaiftU. nMdâfeiîJ p o ur p c >gler I a canne, c ’ est-àdire
vaincre l’effet de la pesanteur, mais un effort plus pénible pour en soutenir
•éfesteTajpartu antér-if inc/-sm,si^^eBS(4{^îî'Wtéf^WS-iJte-sbT^Ee,|»( lforl, qu’.il
paraisse pendant un ipstan t4 é^n tîiü n g vraie fatigue, alors qu’il se renouvelle sans
S^Mpêohi'eucfe't^M^tai^æfe^lAestjiiBçiirsp (]ii un ( h - w i J t d l â l V ^ y j t
faire porter saccanne-. par une te'ujiy^H ^^njupjqud, ou^yiu^pjemyjyj p^ifi-^®,
poser à terre, si la berge est un peu f tffflf|l|W.îi>ni1|lirTf%d,t pêcher à la
mouche, et la nuestimv dfed’fediiilBjh^^Æjta^na.nne‘ prwiil U'm^iràpoaf-arjQf^jay*
pilale, en raison de la fatigué que cette si l’on
armé ®»^p|fe|impri,t défectueux.
Ainsi dti'rrc tous les bois durs f W^3mpaci*n,irtoul en étant élastiques, — le
fri ne. 1« ,noyer, — p 1 u x ts jnw fitiéA * ie g ld é
canne.
Tiorme^pemt ■ é faeifeto iA ) ^ des même mai-s ii, offre 1-âvan