La T ruite-swd parfaitemeiït;-s’est jin, des meilleurs moments pour lapj^e$»
ainsi que les‘poissons.de la même famille <(Saimones).
| A la mer, on-pêchedes Maquereaux,. 1-es-OrphieS, la Gprthërè grise.q près* des
roches : Mornegj LingüeSj' AàgÿeJln, Merlan, P li^ s Camélia, Soles, |gai, surtout
de nuit et par le ventf&dE, Bêche- aniLibeuret, pêche ejqs Raies. Em p lo ie s Palan-
grès, dans lamer de’Cette. g|
L’époque du frai est sensibleaeEt terminée.
Ju ille t, t— Pendant ee mois, «où- 4§sr chaleurs arrivent, les poissons mordent
bien, mais seulement le-matinet.-le soir; quandA® temps e^t couvert,,s’ÿ, tombe
une pluie Une et chaude, on peuttpêcbér tout labour; mais sL.fe1 soleil luit,"il
arrive au-fûtlieu du jour, de-midi, à 3 heures,(que le poison se retire
■ftint immobile, dort et ne mord plus.ffijoBSaf heimes,ffli?ad, r é ^ j f e j chfegapfe^a
nourriture*'; c’est le?-moment de reèommencer la pêche jusqu’à, la nuif^^o
En juillet, les poissons fréquentenfïës mômes eaux qu’au- nÉoesÆle- mai.
Les Goujonsï®6_mordent qu’-au ver-rouge ; ii|ise..pêchent aussi à la balance.
(Yoy. ce mot.fC’êstle mois où le blé cuàt.eommeuee A se rv i^ o u r prendre M § p p e ,
la Brème, -lèiGardon, la Taadoise, lejChèvesne.
' Les petits-poissons se-pêchent APasMcoi:
■ Les Gardons \ - “ - ( - le sang'caillé,
La Vandoise f se pêchent, de fond, avec j - les-eèfises» -
| Le Chevesne ) - | ( les. hannetons^. >î
■; Les mêmes et l’Ahlettè se pêchent, de surface,-à la Mouche napÈ^j^etÿurtifi-
cielle, AlaSauteriPé, âù.pa|ill&a^aux fourmis-aifées; •
Les Anguilles se prennent à la ligne et aux 'eo-riesïdormantesv a?^çc - le ver<di^
terre et les petits poissonsTïés ■ammocète^âfeles
A la :®et, UïrteM. des hordes dormantes, et l’on prend -heéucoq
plats et ronds. Canthère grise, près dès roches.,La nuit* et par je vent dL-E; :
Morues, Lingues, Merlan, Aigrefin, Plies, Carrelets, ïgsofe^ etc. Pêche; des Baiëp
emploi du Libouxet, des Palangdes dans led-eanx-deiGette.’ N-'-
Aoûts^Dans ce mois, le plus chaud de l%iptée,les.paissonsvm@rden.tvie|gc>an;d
matin et le soir, avant le coueher du feoleil. Pendant -la grande ehaleiÀ*'|§]§ j0UT,
sous les rayons d’un soleil ardent, les gros passons, gagnent»Iq^ôn^sf0$le&.
racines des gros arbres dont le piedbaigne dans l’eau, et là-f ^ eh é s d^nsd’orqbre,
ils restent immobiles et dorment. Les poissons carnassiers eux-®êmes,4%®rochet;
la Pereh% la Truite* dédaignent le: petit poisson qui passe, dins leur-^Usinage,
Seuls, les--poissons, dé. surface ramassent toujours les ingeetes^ quiptombent à
Leau. Ce phénomène-est très-natureL car il faut un soleil ardent pour isürexciter- la
vitalité des insectes-et faire qu’un grand nombre SÊjléoident à entr.’ouvjit- leurs
élytreset à e n tirer leurs aileé pour accomplir les voyages que la'natufe-jleûr im-'
pose. Combien périssent dans ces traversées des plaines de l’air ! .combien, semblables
Vtcâle, voient leur vie se terminer par une chute fatale au sein des-flots!
Là les attend la gueule, toujours-ouverte et impatiente, des <ft©|esnes, du Nase, du
Dobùlé, de [la Yandoîsê- de la Truite. Cette manne abondante leur venant du .d'êl
à ce moment, force leur est dese co u e rléu r torpeur et de se-griller un pêu au
soleil pour participer au grand banquet que leur sert le Créateur. |
La pêche à la mouché, sous toutes ses formes, réqssit admirablement pendant
ce 'mois, et celle à la'surprise est surtout fructueuse sous les rayons du Soleil de
midi.
Ou cuit, lesdèyesyJles p â t ^
réussissent Tanche,
GlArdons
Lçs pgtit§.peïgsona!yj& et vif peuventrprèmdr e- la-.Percb^
,LèrB^êfrp,|ie'm#t,p^^6^!!qQu^^!r|^piir^P^çetits,poisk)n^îAmgnger^
mais oq 1 eTMe ve ri^cmdammeçt
pouÇyuei^'%
?qis W elfeh-eÇdft que la nuiPpour
> "»J pater^rîwijS
| | P ® ^ 7 t i f s ,
5J dl"n<, rjfl&Lixî -
u fLa ^ tiji^ ^ jÿ é f i^ e p 'â s aux mêi^É1
- ^ n|%ji#®^Ç®î5^.ilAiild'.qut‘ el plu>.-eA]jrj^n^e^<.IljLt ritofcsBsftboin o-e fLe>Vilain
lï’r^d^tqpj épars. ÿ
A- I*®^'©n^feeæ^ desedrdef d4’'M n d , " ^ ^ ^ ^ ^ e ^ '|,l^ 'jV h (s* ^ d ih s les.
■ PPSU-s^î^on Merh^,, il(vLiq|iixdlhsMŸq.udT(vmx-,«^^M'i>rl<iu^,ij?ti. ;A t
pm^stffl» J)L (\u iih è rt'^w M > i*i s [ H f f i H r a
ret ; Palangres à Cette. -<
Septem bre, ^ ^ o m m ,de v>A^têmiBrièue^85elni pèche
tuulc ln jo u rn ^ L J ^ l^ l ayant dé[à ]Hidij,de Li l o r e c x l l.ijjJc enVofti^ans4
quelques,jifùfài^qpptiqtonsils,;,on fait commêjB^ûM'S'MBiêâu frn/hra du^qûrip;
exernp^PnprunWpar habitante de’l-’^ /1 e fîlq ^ d |î5 'lÆ ù n n ie '1 eaiu]
à la fin d-lit m ^ ^ ’Sèsr^didàL (È ^ ^m ^ ^ ^ p ê ^ j^K v am a g e ta uW -p o u r '
J^iËJ Lt'fel LAa P«jühiuef'.l’AngmIfc, Id- ’h h*& 'p ’Le-ite-n
u n - ^ f i un V'éren. ï #rbapne|rni'Qe. c tibi&w^gaàéïà
A gW è th e n t,■ les gradÏÏs1 l ^ ^ ® e a u ^ ^ ^ S |||j ||^ « E L p â ï ^ ) l e r aux dépéris
i" t < ' •sahle.'%|^ p b aé-fei^^âir’desqiifeis'’ l^poisSoxu-ffi^enu^
P c u d e ^M S ^ ^w è re h e r.^ ^ iè lti^ P ^ la ^ fu r] ç,
^a' cheydliiP^u^ftiM ^ ^ ^ i - grairu^miriez; d a j ] s ! r i ^
*Cÿj\rni^rûijtdftnj“ èiifeore^târ^lb^è^^r^ralfjïu litf^M vséii'lp p ial-. t ^ v c iW u ^
facile provènde et dédaignent dh p^hbeuï’. La Carne;
ne ^dfftjllüs a^Mes^fe' blé fiSït; lls'r^pi c ^ ^ n f goût au^wis. ^ i l i,uati-.rii^pîe'ét^
e^sqtgMefdÿbt^jxj
vf Jja Tanche né mord déjà plug à Jalfinodri'eeimois.fi >
' i ^ se prennent aveè d’&sll^ 'Viandfeq>i^\?ôu^pife^^f?hueBéé
d’écrevisses ;
LéstjËbevesite^ au raisin noiî £ ■ .
J 1®?.} ÜgAes dormantes de nuit sôht!iprodûctiy%'..pour?qtQus,.des ^oi^onÀ
Anguilles, jjife^s
, A la m#rs; çje^t le moment deda gEShdeèpêch^i on prend les?MuSfej®ârs.Aetc,i
et toutes,[Sortes de poissons plats, aux nerdas*,’aux jeux ë1ÿ;aux engins 4e|toutè'
.tL
L%,pêçLgeet boapi^eiitre les„Dè,ehers, à*Fôuyertua?èf des ports, ^ d a n s les étangs
sales des bords dé.fà mer. Bêche des M e rla n ^ ^ ^ ïg n e , Emploi des Palangres-A
^ette. Pèche des Morues, Lingues, Aigrefin, 'Merlan^ PlieswGftpreletSÿîSelesa^Sp51
tout de nuit et' jihi* le vent Sw5. Emploi duLiBOuret. '