QUELQUES MOTS D’AVANT-PROPOS
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1 I H H j ; I Igexar, Plutarque. ,
^Gejfrn/constitue liv ra i pecheiir,^®^? ffiit de
jljipê .chi^n^arb J tf|fa b ^ ;iK g e'e^'t pas tant le
^ m o n a o l d M Î e praïetslon des instruments et
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(Macbque t r t l tout simplement l’étude de la
SnatuMMi j H- 'fnpf&BSWK'i ' V
6. ÎPloî|àn $e<3!d,“^lfij£ on|$xtf )(|ieitbSte affirmation,
tout totome ^uSW Sh e Jtro p rigoureuse
. dans, les principes "dè) la ‘pêche à la ligné;; sont
‘ absurdes.. . -j . } ^ÉGUlf.
Les ri|ISÉssle§ de la chasse: ne&fcont rien} si nous lés comparons
à celles de la pêcheuen général, La ebasseffeeomme la pèche sa
soeur,rdérivê ièuèesoin de nourriture quotidienne, de l’instinetde
©«péwation que la nature a mis- ernd’honirtie- comme en tous
tel êtres-vivants;. La chusse tend malheureusement à disparaître
sk/vvite des) coûtrée^<évilisées, qu’ellèmy transforme bientôt en un
simple divertissement, tandis que la pêche, surtout la grande
pêche des nations maritimes, devra devenir et deviendra forcément
unîjour une .iSource;>dèirévenus de p lu | en plus importante.
ia lnieffet, il est indiSpnnsablqfuu bien-être, au perfectionnement
de l’humanitépcfue le domaiiiülttla nature entière soit exploité