
 
		Les  jçu x  sont  grands,  jPiris.gn  est jaune  d’or,  ayec umcercle noir  autour.  Lïoeil,Bat ctovert  
 d’une metnbrape  transparente. 
 Des deux dorsales, la  plus  petite est  formée de,9  à 1Q rayons; le second aileron camtneojîs  au-  
 dessus cle Pànus  et se prolonge tqjs-près de la naissance de la qneue. ,JI porté à peu près. 3s  r^orfe 
 L’aileron aiidl commence  derrière l’apus  et  il  63t placé  exaçtemenLasi-dçssous'du  gr&qlËMÉL.  
 ron  du  dos,  il  a  le même  nqmbrp  de  rayons  g fju i  est setnhjahle.  Tous'les^aypns  c(e qes  ailerons  
 sont reliés par  une membrane très-mince. Lès peotqi aies  ont l't ra y o n s .t& ^ n tja lf f  7,  ej,c., S  caudale  
 19.  Certains auteurs,  Yarrell  entre  autres, donnent  à  la deuxième dorsale 29 rayons,et à ï ’aaale  
 21,feulement.  Lès  chiffres donnés  plus haut  Sont d’après  Pennant. 
 Les écailles d u  Merlu  sont petites otmincps,  .de  le  couleur cendrée  d.u-çôté dardés Pt 4o w.léte  
 et deviennent blanchâtres èü Approchant du yentre. Ces ppuleurs  changent après iMrïngji ■fcradfson.  
 La  ligue  latérale  part  de  l ’pngle  supérieur  des, opercules  des niîles  èt  va  presque .pu ligne Adroite  
 .aboutir  au  milieu de la q ù e ü e .'  ' 
 Fig.  671. —'  Merlu  (G a d u s   jn e j'lu c iu s , Lin.).  - 
 La chair  du Jlerlti  est très-tendre,  quelquefois  molle-et  pâteuse,  ggpfgljapt  elle  est  toujours  
 agréable  quand  le  poisson  est pris  en bonne  saison et  sur fond  de  roche. -On  en sale souvent sous  
 lé  nom de M e rh te tie .  vÊ$animaux voraces  vivent par trou pes sur les côtes de l’Océan et de  la Méd -  
 terranée, où on  en prend beaucoup.  La  chair  est bonne, feuilletée  et assez  P'JÛmSïïî^? 
 m e r l u . —On pêche le Merlu dans toutes les;mers dcdùËfifbpéj'y'^/eii été  
 qu’en hiveF.Les hameçons doivent 'être ainqreé^avèë’Sp3iLançons,_de petits B issons  
 blancs  de rivière  ou mêfne de  petites  Manqué', pwBardines  
 ou des  morceaux de  peau  d’anguifte.' Ôn  monle  ceKTOtini’ 
 çons sur de longues lignes de fond.- 
 Lè Merlu  est  un animal  très-vora'ce.  Il  suffît  qu!ôh - fasse^éejnùer * î’âpp^t aSi  
 fond de l’eau pour qu’il  sé-précîpite dessus sans  hésitation ;  s’ai proie ' de  prédilection  
 Semble même être la' sardine,  et cjuand  ceg.poissons approchehJj^wroïes,  les  
 Merlus les  suivent et en dévorent  une grande quantité,  puisqu’on en-trouve jug&u’à  
 dix-sept  dans  restomae  d’un Merlu de  grMIèur ordinaire.''ÔeréwlS^'  
 ment  digère  vite,  mais  rejette  ses  aliments  plus  rapidement  encore,IBîilçte  
 qu’aussitôt  qu’il "est  ferré,  il vide  son éstomaç,dans  lé hut^jn  s’échapper.  Cjg fait  
 est  si  constant,  que  si  l’on  prend-un  cent de  Merlus à1 tme ligne,  pas  un if:auïa  
 l’estomac  plein,  à moins -que; le peu de profondeur  où  il ^.era  pris;,në 4’ui  aft pus  
 donné le temps de  faire  ce Lie opération avant d’être tir é' sur le rivage. —  , 
 Lés pêcheurs d’Ouessant,  de' Sein,  d’Audiern,  de Penmark,  pèchent  Ülerlu  
 pendant  la  nuit,  à  l’aide  du  tramai], ^Ceux  des  SablèsTu’Oionne  emploient  di#  
 dragues. 
 i  Les  pêcheurs put' quelquefois pris  des Merlus  portant un Latftproyoh attaché  
 sur  lexir  corps,  et  ont  remarqué qùé ÿl* dernier ne  lâchait  pas pnse, Lien que if 
 Merlu f û t   t ir é   Sê>’v c ^ t ^ M â !.L èâii  a t i   M e rlu , 
 Ü H   n t r e é ’ p a i a sffilT lg  'ga'de Msûtkxi. alil  n e  m e u r t . 
 M E R L U  -B A R B U   [Phycis  bîennoïdW,  vel jfùrcatus. CufJ) . Malacoptéry siens,  fk âelgyn, 
   :  i'/n^gtxirPfîweh' 
 gê  * ■ÿiWiîS  p u p c  ®   I 
 les  K f n e r l i î ’dOttblB&,Mb6 éjépr&Swmbîyavaut- tf ’eit»?illHjW(3ie<ust' grands  et gàÀïB' 
 de dents fixées i  PSVÿ sont  plus  fortes.  If a un  barbillon  soçs 
 la  vîvgj 
 1 1  f f 'f f i F g B r f l a n  S n e 3 u i romaimi i <  qp U  ,f>i tûç. en  ninPoUlqù ;  I$!  t ( fttre  gn 
 pOT ÿmnpfJIT rIi^ n e  1 jléi 
 Le fôrp-  et  lÿfdfocai!]iÆffi  Â’r ^ J i*}iUVhrufiv l b i e renIvs  verdàtresffdei'V6ntre 
 ®f®châlæe,vê1iirêsmâgeoi'tfe^tM608pïé»'res^giw^^™)'5?i)^eTOWi®-  ^ 
 O n i a v o i t  lieux  "raKoh.-ié1]  ûtn^léMwéjBnftrde 
 3g  ! d \ qjtojâtagr P t,l’toval r s  ‘■ontcpetfiiajat dd lift layon-,  1 les fucrt-ali ‘.vqùit  ('ohipowîe^gî®^Bï(#®’  
 slmplMfyonyÆrèÆtang,  divisé  eh fonrqhe dont une  flêâTOtçswTOê^^ÿs'limcdh' 
 f iffnfffcoire anale  alôînKniègs^ hic-  riinfljlpvrn'sffè  18'ftOufr»1 
 (Jé!plîfs,-on  s|aTOTO‘alfe’cifhivcr dc6cùtda*ni^i/9tt]ti[^JÇflSsyi^^^^MiW^$hi"y l'i ni 
 M E R L U   B A R B U .  |fpi'<o 'p o i-'so n  î ^ L ' a ^ ' o v - u r 
 (  /jÿ , jq u iie s  M . e i (i a g i f t e n t s ^ ^ u g f |i § g s . 
 M E R L U   V E R U IN   —  Ce  p ^ { ^ o p t ^ ^ { ^ < ^ ida4ij;^i'r}Hi]tidiull>ip!ijil7>^amli'BVL'iibiift en  
 Nui mjmmj&nimi|îg!üt;i jnei 
 M E R L U C H E . —-  (Voy. Merlu.) 
 M E R L U C C IU S   (&adus).  ïT(!Yby. Mb’bm ) ! ' . -• 
 M E R O U  ifPerca gigns/llriifui }?t^V.ciùi1iirôIlt  puiîeùihWi()îî^imrsp!mïéïfp  ï ’ô j ^ ^ ^ R ï r a K 1  
 . ;ïS^iéj!«jsffercif?îtal. —“^îOTi/ia^pLli^^SMtvijlâitj'basq. —. Anfuus' 
 CoKm««mé,riimpassez épais, çecqjgvert dJéc^fflas'pietlâesj-^em^lSrïeméntSiî^îijnèasIftügîje  
 latérale  presque  droite.  D,  jaune =   24,  dont  11 aigus;  P, jaune  vif  -^td.^idI&)MiriK,;(bnx  prpnixijs 
 Fig.&l^j -1- Mtron i/vn 
 sottf réuùis^le  r e s te n t! .  Y  -  îi^ îf^ a ig u p ô ù h  é .  'Irs’IÿiJ.miciJ'on  pomii?*l(  = f o 
 forme carrée..CouîeurîgéferaJe  jaune“rong®18-e’a^ec  p u ftil^i  . pccM'Sres 
 et ilremm pwpms