vit reflet carminé, et porte dés bandos nuageuses 'R®)%4hè;vepdirir|g li9'|:Spi®|»nt sous
te menton,
- Les lèvres sont rouges vl’oeil est ronge avec up cercle Jileu vert, puis une Jigpe .dorçée qui entoure
la pupille noire, orale,^
D — 20* ^ l l f ,A = 3 - P ’â. P = 14« V. . = 7 * '^ S ^ 3i u ......
Yarrell donne à l’anale'^pSST^Ç ^ . Q. Couch., constate ; D = " 2Q 20. A ==9"^F; 8.
_• Comparé à la Vieille'commûner, le Comhre est plus petit, plus mûioJe, 'et a les-, nfâShoires plus
allongées. Les deux dents; tout à fait du devant, sont trèsslongues. Chaque flanc porte une ligne blanche,
non confondue avec la ligne latérale et s e.prohmgeanirde I » à la quéüe. C’eS^ ùjiÆès p ire s
oui présente la bouche la plus petite et la'plus allongée. J'
LABRE combre. — Se prend comijaules autres Yieitièg, surtout les petites
espèces, avec la Gravette. (Vôy. Vieille de mer.) t
LABRE MÊLÉ, MALE (Labrus mixtus, mas, Fries e tt J ÿ k J . Acanthopt. l&roïd.
Long. max.
Syn. : The cook Wrasse, àngl. — Blaaslak ou Blostol, nOFw.'
L’un des plus beaux poissons de nos m ers. Le corps, sur tes flânes et sous le,vofifei,j,cut orangé
vif. Le haut de* côtés est marqué de marbrures noirâtres et bleues d^utre-i^%Srfént3iÇie ; eepimaï-
ques irrégulières sé prolongent le long de la~ligne latérale jusqu’à la queue. Le ‘desSSiis de Rittâ-
eboire inférieure' est d’un bleu de ciel admirable. Le dessus 'delà téte'se montre-brutf av ë çu fc dépression
entre tes deux yeux ; un cercle bleu passe au-dësïâ'sf'entre lés'yeüx et te'-hjlpfwmMseau,
Ses lèvres sont charnues et blanches-, la langue ppînfuë, bifeSüiëi petite et fuit enMfM^éKi ;é|denfe
blanches saillantes, en un-seul rang et pointues. Les dentspharyngioiHjtssonfacjliudj>mcs>twÿïues,
fortes et obtuses.
‘ ’"'L’mil est grande la pupille brun-rouge-et vfrmillojj yiÇ surtout .abtp^,Mde;KMsi q ÿ ,e st noir.
Une petite tache blanche se voit au-dèssus.
La dorsale 17-13 est jaune orange vif marquée de bleu ciel, .nCcnmiin in i im ni f l ‘■in 1 iBTi
des petites découpures de là membrane qui accompagne tes rayons piquants. A Yatftt'ePptrëmilH
elle est finement bordée de brun. Caudale = i l , jaune et'presquefio^to BteuSaol a sonHMdiuité.
L’anale = ^ ^ , 1 1 se montre jaune vif bordée de Meu'-éteMuRSztoutesaTo'ngueiij;. Lemcjstfales = |ft
-j- ojit 4il_bteu ajissi à leur extrémité ; enfin les pectorales P = l_5 sont oraug^Sjjfe^feoarentes.
La ligne latérale est très-peu visible et formée d’éé '^ fe ^jm peu ploe^foncées ; elle (gferes-
qüe droite; - -
• Ce poisson habite dépt&s la Méditerranée jusqtfaux'rivages dèfîoj^-ég'eïvLa dispositionme sfe'
macutes'éide ses-teintés est très-variable, maïs la forme de^oDtMÿdl et-dé.sés mageeraS '.est pap’
faitement constante erteLtemenf caractéristique, que ‘nous ne jïoüfo|)t;S éasWmé p flM ^àBéébèuraï:
après l’av o ir-p ris'u n e fois, ne le AëterminenL iâi îbm ra t et (u'e "ltA rf < fîrftfus-Liit t j\ SBemps
DÉ FRAI.)
LABRE tvtêt.é] MALE. — De même qu(,‘toii%le^~poisbio.ns de le
Labre mêlé mâle, ou Coquette bleue^e&t tin' ami de£ eûtes ro^ieîîsiV el-uniaBitaüt
ife§ herbiers, par 8 à 40 brasses de-fond, quelquefois moins. Dans la r a d e de Brest
j ’en ai pris de fort beaux spécimens par5 brasses seulement ; Rbitirelledoit
être'dès'crustaoés, mais il mqjrd tçès-facilemenj survies vfffiÿ'mÿlns®
surtout sur la Gravette dont il-est très-friand. :
Ainsi que tous les Labres, il touche doucement età-plus&ursTépriles, puis em
traîne résoMûnent:'cfèst4’e;mbfoêrfttde-ferrer; Gomme cejpoissdn û’Apas flEgjueuft
grande, il faut choisir de petits hameçons' ; tiëtfe recfôm’mandation est Fou ©ste
commune à la pêche!jfetoutes les Vieilles.
Les gens dujiays emploient des Rajcneçons plus dé .moitié tromgros fffiugsi p
jtombre d e ces poissons sjg’fils manquent est ineajiàjl&ble, parce qu’ils les accro ch en t
-toujours-par les dents. Avec mon système de petits hameçôns^iAS, Lîmerick), ofi
« .prend par l’estomac.
^ Dans ce cas, il ésv-indispensable de monter son hameçon sur'ütpc'dfde filée
^ p g lj^ ia rc e qu’ainsi engagée, l^engipijle &e trouve, ^lijiêçièinent e^çp^ée apis ffiê'xits
qui la.’iraTpperaienfepeuVêtre, Gepeadaptjijpeis devons dire que nous avoué pêché
'4ç^CPtaines H é#,tgpjls4fips,av-|c- une simplëusmpilefSle |^ i n s tordus et, soit
gpe^||Çqqpe.ttes n’eq^eqtypas, le, temps de serrer soit quela doulgur, de la pi-
qftçe dans-Ja gprgç-mji .irCg^mac^teen empêchât, {Mfns ne tips.yynivenons pas
qu’jrne §ei®,a;ifvcoupé la ligne. Malgré^Jj$»Je fait pq$ arrive^fe|}c§ ne sera pas
la prei^jèj^i^lln pipce que perdra ainsi : ^^tfent^^fonç-yjjfa "
. C,ouch, le fameux, ioht^y^legpe^et en^iAêÊn^|epps pêcheur .anglais, fait,re-
maïquer qpe toutes les Vieijles:,g u ji.o n tÄ c o r i^ ^ o n g ^ ^ i’jIs Ipoqnettes-’bleues
et roses sont d^ae® 90^ , c e ^ difforpLÔesj YiéilTl!|^pjidîqaires^.jaü corps trapu en
' ■ ■ ■ ■ ■ e' suivanya-jsaispn vienf.le)froid5qq,5fo'
Æ -Pendanl 1 bA^-fonds des rocliers .qui^fouehept aù
rivage, mais en automne-.et■ enÉB
hivèr^ pfes *«e^i?€f®eét dans /es‘l
grcmÈsWfonâs. Avfs^d^c aux pê-
cH||S[ quf sauront, 'èn tout’temps,
où les prendre. .
Il Sästä,bdn<-te^Mjdw4er une
ligne, en ,fil de fonfet.en en -soie tUé®JH
42 b’extrénit'l6 oui
fi^ ^ j S 2 ^ o it ünep^ ^ g u j lopl au foird-elf^sigtel
,ii^ouMn^fiEÿ <>n bon1- d’éta- ■
.iM I'Aluu e< 'Sfi//
ten>e un petit;,,ffttjpifeîe b idm n e^M M
0m,04 p o rtan t.l’-gmpuèîàl&^^^ d é j - l’ha-j
lum m f e r o r c f e mofbVifc'Ai'fnl'e'aiiW^^ y
ÎÉ BW .4 S . Une .^rayetle so'!,coum.^KiJ
m W v w fiffoUfiê,à rh,un(‘C()n.u, -
<c^M.onter lo^jjoisson^djvn^’^lse bateau
av ê ^ ^ fecanlicfeS^ -tient ébien -dans l’eau Ftg. sai. - iafan«is^iWÆi^P8^Ej>iC-i qui sert à I
qÜând^^Kï gros. 1 ’ ‘ ' - prendre les Labres et les a u t r e s ^
L A B R E M Ê L É , F E M E L L E , t ? Quelqm'foA. tr$>/L-ttirhj0(Lahms m ix tu s,
foem , L; t ; A'Aiifkupir Jnbroi^f \png^ i m s S H 'o p ^ '
Syn. : cfio/ç Wrasse, red Wrasse,,|ngl.' — Surlmimlj"Suède ' ÆjtoàffîhltTfniir'Æ*” **
l^-oMflflil-traogtteiept à^êcàfffl^bonfobs de petits points(n o iq ^ 9 3R B RM n a 'ifo r a g ^ S É B I
u’é c ^ s ^ d ’r^ut^IsÇniates et opaques s u P à ^ i à ? d 4 t^ à® x i lAu-:d 'e sd o e ^ ^ 3^ tte -b a n d 4 côïési et I
vantMblâSetraùsMcide légèrement* aigeaté'. - Ce ra^ÂSfJfô&SoA semble découpé da as 'iîrè tran-
çffld’an'fnas; toutes lesnageoires transparentes; la caudale-seipfest unpeuj^àstbrjnitei Q u a n t# I
du corps, il est assez difficile d wj nrecjs,er lafdél^cate n uance^ c^& taafc à la <fots ,sâinC'|
e t ‘cependant il y a du rbsê et m Ye m u L w d a i i s , tons.
^ Ä j p e r c u l e s to n t nacrés; les yeux■ fiiàn ^S n ^ fleu 'j in eÿ èn häuf, 1 La gueule est I
Pèfendue, l'ouverturétest tournée un^peu vers le -ÎM3t',flAtiiâéh:ûïre’ in ten e b ï^ eM la n ^ ÿ 'rA u se de
cela, légèrement plu^l&gujàv. Langue -blanche' eteune rangée^ de-petites dents» trèsr finesi.ânldevânt I
de. icbaque.'mâchoire. L’extrémité-.du museau est piquetée fiÉépetite points, bruns ou noirs semblables
à ceux du dos.
N’oüblions pas le caractèrediS^&tlf, et frappant de ce’ maamflono unisstA t n ^ te deuxième et
le troisième rayon deladorsSie se vôit'quel#eïoteurMrtaiche d’un p o u t^ b r il la n f ;’^)lS!s tein ù la baseJ
^®®'1‘raydf>8‘‘âe la- nageoire,- sut-tebios*SB montrent trots-«‘ufreS’teches arjmdîéîÿ:d#lfi«fiôhfe-couleur
pourpre-brune si- foncée ypFelte -paraîf ifotajerf Entre chacune, de-Ôes taches alternent deux -autres
taohes si pâles "dans lehr .te n te reae^qd’elles apparaissent'fconïme* Blanches. - ->
Quelques. Spécimehs manquent todt’ à ‘fa ilü éd a première tacbe’ pourMet^leô'rtte'sn.r îd'devant I
déîa-dorékle.
L e teotobrè dés-iïayon's 'deâ-nagèoires est ^ ffiblaüferä teéhjtedtf Labre mêlé mâle (Voy. ce mot . )
DE FRAI.) .. ..
Viÿ. S19. — Forcé de .l’ærancëe en crin 12 bri
"ï;.
lt*{ * rP nwil ità ll