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 ble  (fig.  803)> se  servir  du  tue-diable artificiel {fig.  801  et  802)  ou.(^ J,a  cuiller  
 (fig.  804), tout dépend des lieux et jdu poisson que, l’on cbasse. 
 — On  se  . trouve-également  bien  d’employer  un  des^apppbils  f l g u r ë   8 0 5   ©   
 figure 806. IlCftntroduisent, par la bouphe, dan^’le.corps dup^^fpoissoiïW|orce  
 qu’ils traversent et où l’omeacheje plomb oblong qu’ils portent et qui faitl|p § ncer 
 l lb s c h c   S o u s ,Kaovraj>icfe.  l e   
 Sroehet  inférieur ' empêche  
 l’appareil  (^pr^sisirtir  du 
 vr*: p o i s s l i î f t f f i i f r f e ,  p^assMettit  
 ,  - . c e l u i ^ ^ q j a i ^ # i ^ p l ^ ^ . f f i # r   
 lemënt .'âûràiàbé/.^Ges. » p a-  
 (  .jj e i l - s . s ’p.molôi'&nit.«(^ p iO in te --  
 ^  ^TMipga^.g^c, imUue|Ma|)j,e fe   
 ^  iflorence (fig. 803,,ej|^^® 8)  
 806) 
 » d(.iéstept rffn^  t-v4 è b o ^ S ‘ J p   la 
 ^ 'Æ o u e b e ;   et,E l e v 
 a n t  1’ e f fg r.t-c )ljb q u e 1( l< m \ i u ,   
 f^ 3 t‘ îônttom no\ ( i^ nffîjucut.  
 t a   f i g u r e   8 0 ^ i p a n t r e |m   
 a p p a r é i l ^ d u   *m ;êm e f,, genre, 
 Fîÿ.805.—.Appareil  à faire  F i g .   806.  —  Ap-  F ig . g h ^ —  Appareil  m a i s   SapS  a p & ^ . r i a   | | è c h e   
 tournoyer  le  poisson mort  pareil  du  même  à piquer le poisson-  dEïlS  l â   feoiicli©  d u 
 dans l'eau des chutes.  genre, mais  d'une  amoroe etàle.ipain-  ,/?  .  .  ,  »  -, 
 autre  f o r m e t e n i r  dans les grands  p e t i t   p  OIS S Oïl  6 t   JMLl’DGS 
 bouillon» d’eau.,  qU>eHe  ;porfé,  ^ ’^M0S®nV ^ 
 sa  sortie.  Le manque d’ailes est quelquefois une qualité pour |p§|appareil? :Bm2ind  
 l’èau est trop forte, on  est  obligé  de  laisser  les3 premiers  p o u r 'p rp ( ^ p u x -c i  
 auxquels oh joint un émérillon avant le. tue-diable., çqmpie. dans lÿhgure. 
 F i g .   808. —-  Autre forme de  Tue-Diable en  florence pour at-  F ig »  809. —  Bricole plombée pour  grandes chut»  
 tacher  un petit poison vif.  - 
 On peut également employer Ia.hricole plombée  WS)t mais il faut l’ihtro-  
 duire parle fil  d’archal croisé afiuque  les hameçons coiffent, le poissonTamoiiçe et  
 ajuster un ou deux  émérillôris  en arrière  sur  le  trajet èe:  la  ligne.  Cette  bricole  
 supporte moins d ’eau que les, précédentes,  et,.sj.l!on veut avoir de. bon# hafoeçons,  
 il faut la faire soi-même. 
 PATER-NOSTER. 
 éphisette, d’un bon moulinet, et d’une ligne forte et longue, 
   car M. fessons attaqués sont vigoureux,  et  leur force est décuplée par. celle  
 d e   l’eau où vous les pêchez.  ,  ,  - 
 PASTENAGTJE  (RaiejJ^^oÿ-;  Raies, §U2).  ■ 
 F A S T IN A C A   (Raja).  i ( V o y . R aie  pastesagde).  ■  
 PATER-NOSTER.^S&iè pèèbé, dforigine a n ^ lilp s ’emploie dans les docks  
 eti réussit'ibi efi  daiwîl^^'j^arfx profondes,  etetraiiqigj.lgs  des.  étangs  où  abondent  
 îa-^gte^ fee^et lfiffi^^pùs  possibilité  de gH prendre tous. 
 Tl  qu|! cet engin (,fe^8j0) M 
 tire*!  sSpu oem .d-Oj  la  -ressemjr3Àqé%!^®|3  
 nenpf ou rouleaux  de  gutta,  dont. oÀ se  
 serii^ur  sa j^ a rccliony  avec les  perles  
 qui  séparent gfop d i^ ^ ^ fsuf les ckipefel  
 l ^ ® r l e s  ordinairement cahneféls. tan-j  
 p ^B& 'les autres sontÆÔnqes'..,  
 nvMMjXMü remplacer liÿ>*perïès,'en gptta  
 Æ ffia  perlés queJ'oii  touriio^J^même I  
 én^^^&en ©s,  eh  bois,  en  métal^ete. I  
 Rans l^Jfidroits oùIOond.tres-maréea-1  
 plein®^™es né  laisse,  pas  voïrj  
 1 Vkft.  810)^®Jremh|ace I  
 ce^fgjii-goii par un petit plommjifè fond. I  
 A.M^^3|Fcsl  la  portion de la ligne qui  
 unj^lülréh'que ]|®B  
 fixe. à ~S .  ohstaclCL quelconque r. un "place  
 en  C,  après  a^SçSondé  exactement,  un  
 f e a S ^ b o n   verni,  ordinairement  plat. 
 Aup^sgous... nebdPune  avancée  en  flo-  
 reacWiui, pîn dis&nce eu dpj^®wT(u“,3 0 1 
 etVflraB .morte ejftrê deux petits plohàbs féndus'hf fixés P,P (fig. 811) que portion MN  
 dg.|qb#^sn gutta-percha. 
 *üjMteffêspèce de perle obloî^fe MN  (fig. 81 fj è^éxt&iëurement munie d’une 
 .J:  ‘ 
 suf"yfuene 
 pilqre  en  R,  
 une  soie  de 
 sanglier  ‘S ..  Fig' S U .  - -  Détail  d e   la   p e rle   D en  g u tta   (/fy. 810),  e t  d e   s a   m o n tu re . 
 %teiôjf  longue,  portant  à  spn  autre  extrémité  X, une  boude  ligaturée  dans  la-  
 quel}§ qp  passe la boticle de l’empile d’un hameçon  approprié. 
 Aurdessous de la dernière perle tournante du pàter-nostéf (fig. 810), on place  
 assez de,plp|ûbs.  fendus pour  bien équilibrer la ligne, puis  on ajoute un  hameçon  
 G à l'extrême bout, pt on fait en sorte que cet hameçon traîne sur le fond E, où il est  
 destiné aux pqissons qui se ti’ouvent en cet endroit. 
 Il  est bon de soutenir par des postillons B,B (fig. 810),  la partie A de la ligne,  
 allant du bouchon G à la canne, au scion, etc^, parce que,  sans cette précaution,  la