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 plein soleil,  quand il vient verbaliser, contre  un brave chasseur qui a passé daSisune  
 luzerne,  qu-contre,un innocent pécheur  qui a pris  tebreflîh'etôn*de-1  centimètre  
 trop court, oh !  alors, notre-homme est fo rt’de*son importance  ôïfstsrvée, 
 et d’uns (belle manière S  Le butin  de tous les pêcheurs à -kt ligne de Paris  et dè^tefe  
 environs,  dkns une journée,me vaut pas. celui que  les filets probébés 'p le u re n t aux  
 pêcheurs de nuit qui approvisiouneut lé# eàbarets-dsïMtur.ev^iW^WëÉi^ëi'  
 bien,  entre l’oeil et la  queue.-Personne n’y est allét vcùb J ' 
 Cet  état d-echéses/estfâcheux, ethèu-est malheureUsemenDpâShpInBable qu’on  
 y remédie de  sitôt; mais,, en attendant,  nous devons  répéter avee-contûetion  quefe.  
 pêehe-à la  ligne,-surtout à  la ligne  flottante,  est Impuissante à dépeupler tSa' ®Ours  
 d’eau.  Nous  avons vu,  n o u sje   répétons,  mmbwdans  
 -lesquelles ompêchait-, esfistamment à la  ligne,  saris  s^sétrecriper  dirtemps  
 de frai ou  de  la grandeur des pbissànsjpris ; 'rîviè&gs dtiris-desquell^dft-C&stata-i-t  
 chaque  année une augmentation  du  peuplement,  et cela d’üife tellfe- manière* qna’il  
 devenait nécessaire de recourir à- de grands -moyens, rriest-à^dirë uriSer pteh'e, à fond,  
 au filet?, au beut,  de 5, 6 ou-î-ans.-Ce qui se passe eri un endroit^^ë^M^Topè¥tidh  
 du  nombre-mis à part,"se  passerait--.également  p a rto u t^® ilêm e ,lw   ajoutant  
 qu’une grande étendue d’eau a plus deTessorirces  qu’une*piti-te. 
 • Disons, en terminant ces réflexions, que le.poisson se défend Iri^mêmel|?|%dant  
 le temps du frai, d’une manièr'e victorieuse «ilnd'Ectord pria.' Qu'arid itfirnildf#dkque  
 l’p p lfa in n  de  la ponte ®»de4adécondâtion est terminée',  le  voeu  de la nature  est  
 rempli;', ■ I’-oeuvre de réfection, commence.  Le  rpffissodfest^maiivaïi^  
 il n’estpjfjjis*utile,  il â  àdteàipïl sooeuBuvre, ü:-peHt’mordre a u x m m  Ci.  
 proie du pêcheur humain auj.ieu-âdî’’être de la loutres,  du rat d’èadolfilü^àiifé&ïîx  
 pêcheurs. 
 En mars, commencent à frayer.les jéunes-Brochets sur res?Dâj^,-pleirfsîê ïîl^ i(ês-;  
 leg; Chabots, les Plies a» fonddes rivi&esrsabieuses ~ les Ch'evcifeife  
 la merjp|Vo,y.: Temps de fra i.f  ÿ 
 En mer laççêGheëSt la même <p© dans -foa§lgÉft£ie février:  " 
 Avril. — De soleil monte  plus  haut sur l’horizon, !soe>raydn'si^i#'"pgrpèri,dî--  
 culaires  répandent  plus dcnchaleu*-- ^sthrlâ  terre se -dé-velbppeÆ€^p]4n|es ;^d^ris  
 les eaux se réveillent les besoins de. la reproduction, le temps  a'i arrive ^grands  
 pas pour la plupart des  espèces,  et pour  toutes,  >è*estnme^péri'ode^de mâlaiélerde  
 fatigue < t  de  diqiéiisscmen-t.  En géneial,  h1  temps peohibâSp’srdiï l'(gjr«oriîfSfflî^yife  
 15 'de cepppj>, pour se terminer le 15  du mois 
 Dans  certaines localités,  laprôhdntunr-rommen'Ce.i'Hflfîibrtr';. H  âloi'Ç'tb'ut  cv  
 mois est cqmpri$:dans le temps défendu. Il reste ainpScbeur la*ésgst>UT?'Ce-desnM®^ês  
 pljtarigs ftem%et compris dans des clôtures-qui laissent.an-propriét-aiTé<lWè|fô#diu  
 bon plaisir.sùr la pheae"privée:  . 
 Ce  pêcheur-là  prendra,  en eau  douce  uCarpes, - Brèmes,  Gârfe^.#Pêrêhes,  
 Brochets  au  vif,  'fiËëÿeèhes,- Yandoises,  Véron,  Goujon;  il  pourra  prgfidtê^mais  
 moins; facilement et près des bords : Ablette,- Bàrbeaux,  Anguilles  et Carrelefs. 
 ;  La Truite recommencé faiblément à  mordre. • 
 . En  mer, Je#  Orphies  commencent à   se 'rapprocher desfpM$fe#''êt  à  venir-' te   
 faire prendre,-:pour;appâts,  dans les  pmes^et étangs^itfMs@n pren'ftéfaiilîgfè #   
 fond  :  Morues,  Aigrefin,  Merlan;  Plies,  Carrelets, sM p ;; dti&yite#ioét*i§|  m it  
 et par \e yentS.  E,  Ou pèche aux Pahingres A Cette.  Orfemploiêde Libottret pour  
 les ?p0iss.ons de  fond'.  Cabillaud, ^Raies,  à 40 telles jeu m e r.- 
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 m°i^T®^'e|]^mpjSide»*fFàI.des-</PërcÇe^A! 3 ansj  dis Épinocbes, des Carpes  
 sSIhJIüS  foufs  parahslés  dans  l'es  eaux  tranquittes,, de 
 la ^ ^ ^ ^ W ^ é t e u s e ,  ^  Bardæplon  qui,iàt4î‘an4îèefobid^»jrisqùe dans' les ruis-  
 é,eah^j,pepr y faire^srapÔmtet^^^&|.yff&,Q|C(Ier4tes' réwf.4-Eii même temps,  frayent  
 d^'Jfefteàip-etatSîfond’sJMAl®jpleNase,  surilfeS pierres;  
 f c% ° # f e ïe! ^ eux  (bin - , t) i  P lJê ^ lS fe 
 Mai-  Ùap d  IB J&mps eshbe S ^ oMprènd  é^t-elte^eèp^teld’ eau 
 mais  obi i ni. ni ici u   pf ( hV»IJI a  rrfmlsr le-- Ir.viV. 
 quçvdhns lies: ( 1111 ôiut-to)iL-pe rlrij l.ihdé’t irhéfonon r ‘Spp4t   panî<J^|l un  petit 
 W ëj^ ^« fo rm ë3 [tri ible.  (Voy.  ce mo I. ) 
 I  <  1IV%i§-T" (^ l*rJ)J' I.n  Sl’  h1'*  êy%aW(^ltI<jlfaûdS'il 
 l),iu- l y C T i i b ( ^ <  VngmytewgMftftÿ  
 _pe(k v é ; a | ^ e < l ( ‘ffi^|clu-<^]ù^(.MiW'(]wi.  pr nd mVJl 'Un«  d’Pn t?nT^ft‘n 
 I ^ i ^ . l riquoiq,ue oe-'-ffih-s.cmtee»d4»»hI«fic^(K:iAffi 
 t e i  foaL l ^ t&roefeeàinouf bfflgife  111  ■ m i ]■ nai»  I 
 Tanche,  njc^ l à J ç c i r ^ .   laa Pt 
 Vandoise,  l(’pN!i5^fo(ki jdon;  l’A b ^ ^ ^ f 1'4  
 y S f e  ,Saum^ ^ ^ l d  fom^ es H'iegf^^së'à^^p 
 hauiJ.ïte, a pu  i (> iiiiû y ^   à  ki*.i-rvir  dj li.BÎIdK^St-Sfosd^i  
 jeil'hiaJiÿi rfpAV"1  (pioupi d-- 
 t mu",  poia^m la« cj uî ù’,u t Je l  que, d iii-id^iiton^lifiiitS ^ ^ ii d t ^ i ^ j 
 m'xTmaîofX^ 
 | W | H H ( h’i'Me-, Maqimr.eau\  jSîcCT 
 da.  Ruefea»  i^ h ^ d a i .lAg.rfe»rt 
 l'al.'criti  On  pu SUl ^UîSbn u^f’yyijhadL^^sKh&H1^ 
 D i V dsinuit^e^par, le eK S ^ -È ÿ /d 
 Jain j§Le;vra^pBpF-5é ild^pih^^lHnjig riwt.u'i i \  ■ - 
 lesrtij^m, qu  il  ib m '^ ^ li^ r a r ih l^ f o lïî.^ li^ ^ ^   
 e d te fe sA’en -pêc|u8|toute  la! j o u E n é è /^ ^ j |^ j ^ ,'^ ,(^fait}I   
 m ü jl^ d u   |um ,  a ju i^ rm   lo tte n d u   r.idé  rpabin  f l ÿ l s f ^ *^.Krrrrîéll/fe  
 est  k^uiptmi ariési4  bendaM  nj^ ^ S riB' »». 
 derM^ogfe 
 ^   ne ï^,Ôri<|§pfa#asî facilemeut|^'<îTancl|ÿpfra^^^E^p.>SL:sc6^M^^eajiar 
 W M M 
 iat^sü t- iRÇussijriaS,' av e c   
 Gardon,  I  
 Vaftdqise^l  
 Chevesnes, 
 AnguiU’s ^ j   
 Tanches  
 Ig&pjteôS.,.; MBBMM ’I 
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 sang  caillé ;  u 
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