doit pêeheriët lesy rateemblèr, car ce p'ôissoii*seKfK&t®nne et demerare,fltd6||ë4BV^a-
droit choisi par lui.' On se sert, à- cet-feffet, d’appâts: de foiidy que ëfe. 'plaéé*fknyte
sable dans un lieu oùi-1 n’y a pas d'herbés.i-:Si;lfe fend‘est’vaseûxÿén-yïdèsiénd une
_ planche que l’on couvre de’tferre glaise sur laquelle on place' les appâts.
Cette table est attachée’ à une cogdè quifsq fixe au. rivage»péuE qdson puissêïûb
retirer et remettre des appâts Si-ïes"Carpes tes ont entevês>P^
Jhes appâts employés varient beaucoup,“mais ordinairement ce^font d^'p'aines
cuites. (Voy. Amorc^L1) ‘
Pour’ pêcher la carppâ la ligne, il faut ebc^rndes hameçfrns à! Péptfeûvp, tes
monter sur-dea lignes de soie solide, teintes en veji» si l’on, veut, et attaçher laÿ ligne
tfitde moulinet à une canne solide, qias trop flexible, et longue. La. flotte 'peut être
grosse sans1 inconvénient, la carpe, au fond, ne la voit pas.
appâts-dont on-fait usage pour cette "pêche sont- nomBrelix;’ sans •p'krîer
des-fèves cuites, en voici quelqugs-uns :
ii'.’ IBrenez : 500 grammes de marc de'chènevîs^êb'gramisSslîe aafatdnny,'Citant,
de héron et-de'mielr 800 grammes de pain blancTassê^et'4§rains^#toUïS@.
Mêle/ le tout ensemble i t < n butes une pâte que Vo'fis" t oppoz pic mon r du\Pa<$ç^
lesquels vous garnissez les hameçons. ~
• « D’après Walton, il faut choisir des vers rqugesïtfàs-gros, lé&gardej'fiéis semaines
à un mois, dans la-mousse q uel’on change'de temps: én temps. M etteiâw^s.
lignes’ de soie ou de crin de longs tuyaux de pluîBés^ -de1-eigognë-éu d’S ^ - atfaelfêz •
jjte plomb à 0m,50 au-dessus de l’hameçon èt chojfs"^^fefe^ass^;|esant pour qu'il
^ .ss e enfoncer un.peu leliége dé kuplume sous’Peau ; il fau^qi^ ^ § lQ m b ,s q itï la
j teësureëxacte dû fond.. ; :
r-'-%Rendez-voüs'sur le lieu où.vôus aurezvu-ee poisson-së promener versai’heures
de l’après-midi,-en-été: Remarquez que, pendant que la\roupST;heréÈiS's^^ifffî-
ture, au fond, que ?ou deux carpes o p tent en sentineîl/ 7i Ujfrraj'a®''-.!
ver sic milieu de la rivière, au moins à 3-ou 4 mètres du^ivage; dan# un fond cl§ir.
et un terrain convenable, qu’il faut commencer. Ril.’eau changé de niyeafiM^ËfefZ;
Æé nouveau la hauteur afin que, le-plomb étantau-fond, la flotte'p.iraissf-slÀlMei ilr
de 2 centimètres au|dessus^de l’eau. Il faut remarquer que tfùVll&ïc^yeç^m^nda-
tions se rapportent à l’emploi de flottes anglaises. » FLOrlIS ^
-4 ‘.« Mettez pour amorce de grosses mouches ou dés abeilles. Quand ïa;Brëme ou
la Carpe mordra, ne-vous pressez pas, rendez-tui d e là ligne,-elle ira dWàutre côté
de la rivière ; ferrez alors doucement et tenez votre canne'pârchéë quelques irisantes
. car .si yous-tirez, vous êtes sûr de perdre- votre prqie, la ligne ou, È Ï^ .ë |o n §e
rompra.
«La Carpe est plus courageuse que la-Brème ; vous pouvez cohtimïor cette pêche
de 4 heures du matin à 8 heures; et, si le temps est obscur, nll’e mordra tôut%
jour j pu mieux recommencez cette pêché à 4 heurés dtfsûïFj le meilleur temps est
de la fin de juin à la fin d’août. »
Quand vous aurez pris^du-poisson plusieurs jours à la même pla&e, les autres
deviendront méfiants ; il faudra les laisser reposer deux* ou trois j®ûrs<et agir ensuite.
Ainsi .- prenez une touffe de gazon vert et court, large ôomîne une assiette : au
sommet de cette herbe,'du côté vert, Attachez avec une aiguille et du fil vert Autant
de petits vers îouges que vous pourrez pour recouvrir le^gazon, faites un rond de-
bois de là grandeur du gazon,- percez-le au milieu, placez-gle-gazon et deseçndez-
les ensemble phyous mettiez Ies a3n0rcqs . de fond! -
d On Dans un e bouteille,
vous mettrez de W-oh-m.Bicte an terrez- -.du fumier chaud,
rpfi ^asteBa. pendant 15 j ours au moins, jusqu’à ce ,quefclMÇ^j|ip-sojt changée <en
ft.îû|le.)COn tw. hi bw -aiiinmd an h oi i djpâyti enMe&mée pdüte-jpie la liqueur-non’évapôfa#
p£fe., 6)ii-iniïA<p^M.dt»pécheEjQiEiiighÉî^ dej' la.'na|®e:pain et du
rjK&;amhihe^diwcîte huile:, et ;qaaè£ÿ;’iàn-,-pa&tage''eriMa^éltesteui Éteffent d’appât.
1 '■(.p'uelquüs pêcheurs n’amorcent hMjr>-..Gaii^EOJs^aii\,tefeaK^^^Sg;té.i|j>%gg^;S
il est et de le frotter
Musc . . . . ................... .
RgjJei .5'iljTi.^.jy....... . .. ^
Momie........ .................................................. 2 grammes.
flâmÿtu-e .. , t 2 .. ,. ■
On ppépà^teieore des vees ese^teny
aanS'4ë^ritur.qy^ô®|ües m e ttani-p a§&êB'S?®e nuit d&p-sjdui^jt humid&^W^si^e®as!iïi,
iËjSqirfifdb0npis et p ie iif e ^ S 0 p e ’-W est’Sf '
t Là, plupart dq&jÈtmOBoeS’, étant- faites et A la
Carpe, nous en avons réuni plusieurs ici, plus spéciales que celles qui composent
•te»tabi^u?>doéné!âmmot.AîwWA j„
•iScçmep-flliy.'\ . y .. Hpl-üre.
Chèr.evis n i ’. -----. . . . . . . . . . . . . . . 1 litre . f
Baîuiutf'sÇlwjSMiienlha sylvestris) .'. 7
T'anaîsieITanacetum vu/gare) ' id.
Bouse ( l^ ü è h e 'f ruM u s . ; .........'. mïé’^i'mjde ïqiiantit(’i.:
-ïiû> rsalg|ilitrés. '
Fâitës 3êA,^ ’dH^8ilï^qt^afié ■ pât^^^s^^^K èz' enJ*fc*.
Iet^®%w%buiéz‘,a'’ M'" place vôulue, Te-’shir,- pourFlSSm&rain' f&’atîn:
un to|:iqfue?pliKsan1-, (-V1 ju f?Tiv<f^frew f îTbé0, ne
f^ p ^ lT 5ê^K 3tën q vrâ\^ n î u ^ < i ^ r ê t i n r ^Wï™!fin•1 là vivfPrfèriM^j:
dans' I<^ rawfpé:d'un p.uc, ’jusqu’à ce1 rfnwHtd' a cq m s tiWl e’;r ®rJ^^»çssSs’î
r-épë-té^t' O^feette f0 rmnlêi,^® noffensi-vë, : 11
4 wj 11 u du I «vaut pulyi ris«- .).. . ^ K, ^Mi.gf.ajcuofes
ÆMgiijr'm opuçLre ..... ». ,— -
‘taraiè... t . , L ~ . .\v ..It.. 17. ^—
• Un flëX de boeuf. -
< 1 Pétrissez,lqÿtout...çîi,.Pçtteray'9S-Wi peu-.d’eans-.Ao-lôrit^ ^ ^ -(vtdre.au,te;ur ;fpette
gatettq s,e, ,;GonsSPve longtemps etj sp, jette p^r-te-ççceàu«,à l’eq^roit où 1>’on vept-
pêcher.
III. Broyez du fromage la jp t
d-’buile d’ofrveet du vin jusqu <\ ce ^ufj.to^f ,i[1 ,mfi I
Ajoutez« un.peu. d’eau ^dè-tfotei grç^çS . qui
%e jettent en^morçes ou sq.mettent ens^<|teA^!hameç^ti,,^.
IY. Qüeh^lKc'Sonhfes prétendent le poifeson
l’eau des graipqs^Smoutaxde, ou lés’ frai t^(çyi^nrr|^od()ni^tj^J./:glaqUerro^rqsjgi;
sauvage, - Gtest/une' rec^bfebien facile. I19u’i .n(> pquvops
garantir l’emcacité, n’en ayant" jandais fait Fuiage^