
 
		sant dans  dès  terrains -sécs et pierreux  : elles  seront coupées-eff-FoiMié saison,  c’est-'à-dirè^iEthiver  
 pendant le repos de la sève, et séchées avec précaution, en paquets serrés et  sans l’intervention du  feu. 
 GORPOU. —- ÇinquièïiÉè chamb'rq'dè,la madraguè^tfefe^^Mexit les Thons.  
 (Toy. MADjytGtjB^S 
 CORPS DE  r e c h a n g e .  — Tout  jjpcbqux  soigneuk.|jt  ami' dej|iijmjérêts, 
 , préparera, pendant l’hiver,.  différents corps de" can^^s&ÿptiblés  de  rexp-^g^r  
 ceux qu’un  accident  peut mettre hors de  servie«* jâ’iï.n’ïC pas -leddaips de les terminer  
 entièrement  sous lç,rapport desjjigatures-èt  des annq^ùé.  ajustera au  
 moins aux differentes  douilles de  la, canne,  afin  dèin’êîre“nàs,hns ^dënQurvu. 
 C’est surtout pour les. ^ci^is:quejce-;soin,.est:indispensable,  fe   ^g n^partie  
 la plus importante delà canne, en .est aussi la plus fragileMGFn pêcheur,« «juedqt|ef^-  
 gneux  qu’il  soit,  ëB;- consommé  toujotirs  beaucoup  plus^iruW^è le  désirerait.  
 (Voy.  Scion.); 
 c o r r é e s .—On nomme ainsi, danslaLoire,, de&esnCfieg deiTanç^dejp^f et  
 moyens cailloux, roulés- par les eaux du fleuve et dépouillés  de -toute, terre,.v^ge^du  
 berbe. Ges Corrées sont généralement bal agrées -par- des .courants dîaiûtant  plus rapjp!  
 dis fu i tes pierres qui-les  eomposeaRtsont-plus TfgpdS8é^(VFo'y. ‘Xspeot de _l*kaS^: 
 CORYPHÈNE [Grande}.  -^.ÇVoy.  Grande  CbRYPSèïPEi.ÿ 
 GOTEREAUx . -*-« Cordages de 30 mètres "de ïqiigueiÿr avec lesquels ôfi'M nln.  
 cette distance", des pièces de tramail flottant efiffe deux eaux. Mqde-.l'eTa b|iiè’ Saint-  
 Michel. 
 COTES, - f   On donne,  en anatomie,!®  nom de  eûtes,  anx  aroeîossettx.f^. )STjLWi^artentsàes  
 vertèbres, et dont l’assemblage  forme la voûte dos grandes  cavités des  animai«.  • 
 Les poissons osseux ont tous un nombre de  côtes très-variable,  les poissons?<5grffl&giK®.uX-iï’en  
 ont pas tous,  et,  chez les  Raies,--elles manquent complètement; 
 ,   ' bans  les  poissons  osseux,  elles  entourent  le plus  drtifoaàrejn*6Î^,l!auÆitJ^ibf t f- 
 .  -   men,  mais  ne  se  réunissent  que très-rarement  en  dessous  à un  os  qui représente-  
 |   rait  -le  sternum.  De  petits  stylets, 'pénétrant  dans  les  chairs,  partent quelquefois 
 I  des  côtes et même  des .vertèbres,  de  sorte  que  certains poissons  ont  pins  dîarêtes 
 I   |   que d’autres. 
 1   __'   Les  eûtes  s’attachent  à l’apophyse  transversedes  vertèbres Mr-rücs^gaments 
 %*  .  fibreux,  et presque  entièrement  noyés  dans  les  muscles  intercostaux,  elles  n ’ont, 
 'Xv  „  pour  ainsi  dire,  aucun mouvemeatj.c’est par leu r élastfoitéjsèuTe'-qulefie^èden^au  
 ■  gonflement des laitances à l ’époque  du. frai! 
 Fi  197 — cèt  Les  côtes  sont souvent prolongées  par  tut o s .d ig tin q t^ [p e _ l^ j^ ^ |ita p p e le r   
 côté  sternale  (Valenciennes)'et  qui  soutient les  écailles  che vi;0 nuées qui -forment la  
 carène du ventre.  Si l’on  joint à  ces os  les  interépineux,  les  apophyses-Costales  libres,  oirconcevra  
 sans peiné  la  grande  complication du  squelette des poissons,’- et par suite  le  nombre  d’arêtes .qui se  
 trouve dans  leu r  chair. 
 COTTE  SCORPION (Cottus  scorpio,  Làc.-)ï-5-':Acanfhopt. “Joués cuirassées. Long.  max.  
 - t  0">,30. 
 Syn.  : Rôlsimpa, Skialrita,  suéd. — Fisksymp,  dan. — Dondenpad'ÜqU.  — JSscorpion, esp. —  
 Scin-pione,  ital.  —  Sea seêrpim; Faiher  lalher,  angl. — Bamscha,  russe. 
 Corps allant  en  diminuant de  la  tête à la queue, tête  énorme,  aplatie,  à bouche  très-r grande  et  
 garnie  de petites  dents  pointues ;  langue  épaisse,  courte  et  dure-;  yeux  grands,  rapprochés- entre  
 eux  e t  du  sommet  de  la  tête.  Arrière  du  cràne. muni  d’aiguillons  de  longueur  inégale.  Narines  à  
 l’extrémité  du musegu^Llgne lStiraie, droite en points- écailleux. 
 La couleur du corps  varié dans  les deux  sexes ;  elle  est  brunâtre -mêlée  de ropX ét-dé  vert, en  
 marbrures  inégales  sér ie  dos,  Manche  sens  le ventre pour lés  femelles j  jaunâtre  mêlé'de  biaisé  
 p eur les mâles.  Ce  dernier a  les pectorales ;plns grandes  que  la  femelle,  lés ventrales nuancées  de  
 range, tachetées de  blanc f eeMes des  femelles -sont rayées demèlr' et de Maine.  
 p - e = = i T 3. Afe-12. :€-==  18. 
 Le Cofte-Scb^ion esttrès^vorace ; il fait ünfc chasse active: et  continuelle  àrtoenf être  qu?il croit  
 pouvoir attaquer avec! succès.-1 Il s’en  prend  à  des  animaux beaucoup  plus-gros fi®# flui, mais qui  ne 
 qe' défendent  que peu. ç.u pçlgt,dêva,nt la,rage  attaques ; les jeunes -Salmones, 
 fos qiupëoidq», l S t e ^ t e y e a R m e s fn g p ^ ^ s ,T m b o t s 'M e s ,%S Q j^ ^ oM.sont mhngés  ;  lesf.ç p q J  
 Wcés mêmei,','4® â 'i a  nro'ift}âéiWn,el(ionne,DaL'Oùl e ^ m jrait‘| attaqué d’une  boulimie  perpétuelle. 
 Fig.  198. —  Cotte-scorpion  [Cottus scorpio,  Lac.),, 
 Fraya en■ décebibVe^ et janvieE^m milieu« dfe^gurèigfî^l^lÿttipwinarnies. Les oeufs sont rouge-1  
 orange. ■  - 
 f   âd, pêche  petMbM^d an s» fes  m a ^ q < d ^ ^ ïa |e s ' 
 cottEtSCORp io n .  -ËjWoy:'; Bols 
 COTTUS GOBIO. —(.Voy.-Cq^BOT.)  [  ,  .  I 
 COUDRE.  s’agit?ambteiaiE  étend®|s on le 
 I f a br i que . e ra f o rc t i a' u x«mai l l é s  que-^^^»i-)l<'  epa ^ bje  «îOiti 
 termijp! Peur" r^ p r'tu îie à f f fF è   feiat 
 même  ehes^prSs^tenipjls riiaîW^^^^|^mèqV  tïRe I 
 1  1H it^mmutre. *  n i o ù 
 I f ip  pimaiiplt qraj ».servi  à  faire^les file^b^Sait ^ ^ R à à g   de mè^Tlles en pksèant  
 dans  ]Ss'àé-aX.màîlLes s e m b l a b l e s , r â a n l è r e   que  la maillb faite sur I  
 le  ^e tende entre  k ^roier unéjrigne I 
 ofgnaVt r%^émâé'des'pei^fe.^ê|’® ^ a î t   j 
 pilets,, ils seroaïtr^exactem^i  ^ 
 C O U D R IE R   (Corylus  avellana,  L im g —  lfc ^ é (^ frî|r.qM   
 INoïsêtiér  esè-un  a rire   que  tout'  I 
 excellence  du  tailhs  1 a mïnè1Mëpïïfsalî^b ^|lifen ^ sH 
 | nous «avons  été cueillir'des baguettes. Or,-la, bHgnii-tl:émé'lienf«ui:Ge-,de,'tj  
 I vifent,; enbee  les  mains,  dU'-gèchenr,  soibla v eq o n ^ ffex ib lej.s(^% g J  
 gaule rustique d’u n  SMlia w % f u ,  s q lV .q u e lq u e fo i^ ^ ^ ^ i} te ^ R t,à   I  
 défaut de quelque chose ^m e ille u r,  bas  de  sc io n ..  _ 
 Quoique flèxiMè/.MCoudriej^deyîent n a d p |it.|a r lîfôkK-Stfia'tioii  I  
 absolue; voilà  pourqk'bS noué  lef'^icifiSbons'i'etnflma^mn,  etnotfe  
 sommes payés pour ne pasd’br&jîer.  En baguettes assez grpsse^dJ-eM  
 aunontraire,  excëU§H]t, qpiclîjuie>snjejsi|à'  
 prendre  un  b q a ÿ p M f e O i a i è a , , « ^ r i i   Ale 
 En somme, le Noisetier ou CoudrtMdoit oe b 'co (à 'u  des pêcheurs 1  
 comme en cas,  comme grande  utilité ;  de  ce  qtE®4wp a rto u t,j  
 use  pins souvent  qu’il ne  le mérite.  (Voy.  Scron.)  • 
 GOUFFE  DE  PALANGRE. —-%tte-pêcb^'se  fait  
 sur l-e's^cêtes de la Méditerranée,  surtout âux anvirrtù»  . H K 5 5 H 5 ? 
 1 AIpes-Maritïmesir Qïi appelle dansfMçpays,  cmffey 
 un  panierlæondti sans ■ ansetsffibÉiM%-celui d^»figure  remplRjcle  lest, 
 ■p.iafynK fer Ou.pieTres-t©uit<&*i^plement,;-!on;.lê suspend par trois cordelettes attacbées  
 à une<bauffe suffisamment P M H B M mI  terminéerpar une potiteeboué®.  |