Qnjémpleie également, de
tacheçles’lif&iès{HH ***<&
Fig. 743. — Qief pour fixe
sur l’empile à bgiiclc, floi
derrière ïdu^nsæud.
lÿgîiïte. ^ si
r a empale imétallique.
deuxfeqxjslisîs^ilte^tS'B^nes
que l’on
fcsai^^u%lfeap8iiê ‘^àéiJp-PPB.
îi^^^^noeijfl^J^l^aîiei» jfe
tout laflorence
et le crin serrés par les
déÙX&î) 013.1$? î > ‘ i
;tuJlT ^ a|d^ai-l ’Blipux |pp
ê c h è u r J S t l’affaire “de emq m i n u t e t de ia-pési
NOEUDS DÈS FILETS. — Il ;-ex>ismanièreÉÿIeL fo.frt}er. lësü^üÈls f c
ifets-: i° Le noeud sur le pouce, qu’on em p le ^ p e u r lesfgaandes;m a i l^ 4 j# ^™ M «
etpau^l^§JKéparatiom|des |u-
tres-filets; 2° le woe«^sous leÏÊfâÿjPWt* jp*
.sertj ponr.;fea&s-'^§^ky§l!^ ^ i^ l ii^ y i[’d1~
üaii^ssffs-,!
1 ° Noeud su r le pouce. a" ® ?
passé- l’extrémité ABC de la navette dans
une boucle fixée à u n .elou à crochet,-on place
le moule sousTes deux .Èràinclies, èp il', e t »
les »maintient 0 §M i\e ;^ ^ 0 ^ g ^ \ J g R
le P°uce: ' ,, • On fait alors faire-au (il B,C,Ü, la ré
solution DBF par-dessus- la main, on passe la navette sous, ks-deux branclies primitives,
et par-dessus le fil EDB, puis on serre la noeud en le maintenant avec
fie pouce. C’est ainsi'» que l’on commence un filet par un rang d!e ces demi-mailles
nommées 1 pigeons' qui forment la. levure. Voici comment s’exécute ce rang de pi-
z ^ - |( z -geons. Après- avoir fait un noeud simple N à l’extrémité du
fil B A et avoir passé celui-ci. dans,-la boucle Z sur laquelle
on ourdit îé file t, on ramène le qoe u d ù t le fil sur le moulé
tenu entre le pouce et l’index de la main gauche., et on
les y maintient solidement avec le pouce, On fait alors faire
au fil BGD, la révolution BF, par-dessus la manuel' l’on
passe la navette par-dessus Aes deux branches AB et CD,
en taisant bien attention de la faire. iSoSigi^^dpsiis le
fil DBF. On tire alors-le fil pour "serrer, le■ noe ud, lequel
embrasse les deux branches du premier pigeon au-dessus
du noeud simple N. C’est lui qu’on voit en DE [fig. 74.6).
, . On fait alors passer le fil FGIi,. par -dessous le . moule
qui l’entoure ainsi à demi, la navette-passe dans la boucle. Z et revient ave,p le
fil FGH, en avant du moule jusqu’en A, point où on le rend sous le pouce J
On lui fait f a i t alors la révolution AB G, de. gauche g droite ^ p ^ f f is u s
main. OÙ passe la navetfe I d û » b i c h e s G» et AH du d e u x i é m ^ o i i g
la faisant ressortir par-dessus’le fil ABC5 dei révolution, puis on tire -la n âv |te à soi
pour serrer le noeud qui embrasse les deux branches’ GH e t AHfrdu deuxÿne- p
seon terminé. .Ainsi-de suite suivantklnpmbre. de pigeons nécessaires.
doigt M deYanippi,
■MF
ig . 7 i ."■. — N'i’.id
ilj^raaniièjfc que la- deimier'-' 1h-iI k'iseï ^fflii.viAàHliîtaaiuft'hietdujinoiïie!-Onru'aïïiènel
1 ©M'Ie'fellî^WleKs^tffiga^fe O n-pâss èlaii^rdSlâi'S 1 AB
(1 *'anL‘en 'àri p m * r r i è i â * ]
moule jusque sous le p Y m ^ S f q ® l c f n i o ù il croise le premier fil Ab.
vu^raâiiaui, ro ^ aw& ^lêÿ ^ o jS j& eü n f^TO ilûT ^^ d c î'n iiem è re
à former la boucle DEFG, laquelle enveloppe le
petit doigt en G. Voici maintenant l'aoip'anti^iMj
plus délicate i w a ' -
\ ûi|ci-pljjÆtKùument.- djÿ-, g è fc h e î& 'd s p iî^ }® t r e viAw
duux fils qui eiatourentitd|(1iià lri§ to ^ S ^
di re s ou sl a br ancheBC , i s u r la b r anch e C D, e t
derrière le moule en asvanbsdS
dans le pigeon P. On tire alors le fil par-dessus le
m®^ÿpbis^^si^îSq?èîéq’uülfen jilâ’dhant le fil du
qu§(Mr#'e doigt et dessous le pouce, et ayant bien
petit doigt, lequel
ilujy^^rf'pfi oF„ pour
rt^HW!>^i‘'au''pomt^^^^H|âchbrvlÿ4& * qii?àr il
1 SerMotfietmoead qualfeiiiet'^lit tou|ni^^wf.fflre|c1
NOEU D SOUS L E P E T IT DOIGT. —tâffilSÿklNiaillig^MSÎE&K'îr^^^
NOEU D SU R L E POUCE.
NOMBRE DES OE U F S DES POISSONS.
NONNAT1i ,- ^ ^ l^ ^ < d ^ |& s iq n ':ù ç im e r J ^ ^ o n y m e ? d lC ïd / é ë ^ <;-ilf^ise5«16ÿm'5
« f y .’P a a ^ g n o l a est ù 'â t éT O â ^ K é ^ ^ S f f lê g ^ ^ p ÿ |â é c |0
presque exclusivement au frai des Muges et des Athérines. (Val.)
..N pTID AN U S G R IS E U S . — (y0y. Griset.) «,
. NOURMAN. —y è m . n ié g 'eiajfllfedqi Æ m u r d f f§ ^ û ^ q e m o 1 j|p ij
N O U R R IT U R E . — !
Non-seulement on trouve, dans la classe des poissons, des animaux analogues comme nourriture
à des espèces des autres classes, mais on y remarque constamment, des caracLères généraux qui
i' ffl \invSqVnTKrr11 léfc pUi^ôirs-on troijvÿdî®mihiinux1’q ii9Pm '^ ^ ^n ,h8S^^^mS^Étn^BnR^^S’8éi
(J aufjft-iYjoi \ivfnt (fcsWfW^r^fuii-. l î ^ ÿ i
i.-^ ^ ^Pljte^^ pd çe .ile rnu-cdu ui totmpe^ouretrMiMîSl^q tfe1
1 etuste pour retourner les petites pierres, el fouir les beiges plus résistantes. Les uns porlent .d ^
‘'IlSgEPfi<- *fî
l-^vj1 jtitlSfle9 de mftrh&nesfâ dents tfanchanteS ctârtnW'dos o jte a u vp f ia .^ é iO T c ^ Sw S ï^ y jê t^
#jffaut l^pjüdaét, faj^e, ^q.,remarqu,a,.^propos<4yîIg§îS^ÿ],rft. deg^d^ans; •-.fe't-.'qu&fsi
«| ciÿîâr® c P . a n i i r i a u | c kça,,u3cuj:s, , & » ( ' premiers:,
''.’v S H H a
.^ ^® im% s-ï|à ^ 'in ô lîen ^ if^ srr rr,l« ,e ^ ^u ÿ% i8 l4i,(îr^^,TÎ6hJ7fs¥ S f ^ l è ^ ^ E ^ ^ M ® v
■ aval&nt, quaïMPiStfeâMol f’ISf f*rèÿeSl^l^Ê
fiffè^^t.pas oubtïerîqae dqrWùS de '.cee^^^|i4; 'âbntl^tailfià âï£fSe!VafeWuto.c n-li^oîi* vue
^■»fen-feosgèdent.souvent au pharynxj«gpi' .d^cfe&qkyM^ l l^asSage: J a s à liB f^ ife é^ ,
^ Iffiirffi?dXiliaire qu6*desantàssctos j^fecdanoeoyn ( ompl/nt q uH Kfiiik j-pÆ.
mait epMr f lMgctKn I ' '? V» h n® 'lé léiîr t %in'uid(:iî^o^.' llî vis tii u.\m«u vsl'sA'
< 3 ™^™uMahF^fefft; cet’’ ’ïeiïiarqul'l'' f^jmrsf'rm'^poiA' d'il1
fimHÊ&poùsotis seinSutrigsenf de proie vnmate-. Eh effet, ^ verslge'êîèii^ï^',' ehü, We
|^^®*îeMemoürrUure,^sans',êtrq pquf«u|^jés^sa^e,{esf pariî^^eclifi^ôto^ q® adoptée quand
V^^^aifri.Tir.psftntfl et,tceJ^^Uisqp..reuseïû§n|, (^g.Ies;neii^i^^lfop^BS.diW^atTda la^pêqhf-à la
_■*lJïùsllSJ(ll®,lt S(1r e,Ctfe.piypemKm*'||r,lViee,,sali-, jd.(|aeI^^E^iSiuï^ jViTfffwy *1" L’homme se
redJOTaieïït aux lîîeîs'pp: ne Vbbï^rs fi'artoutSp^CTMra^Siî^^