toïhbe, êfïait ^^tQ^tief'dë CRebêWiè de trier avec* imtiÊît Mm ' e Semblable
d’eau
huîtres où à. poissons, soyez sft¥*qTï$ J& p f ^ f è r j^oisso)f-<'qul va ƒ*êi^®,'ï'SfflfflRja-
gnierpar pètïts'flots, ce s'erafle1 Mùli^rferde'titS' d^hhrd^^Mfâ'ïto'p-eu pîbspird.
Son côüp d’aile est fèmàfcîuàblem'ènt'i-forr^^ petite! nageoires
; iï remonte le flot 'db^pif tes1,ènÇté j oùahf,' et 3&fe* é c là s ^ t^ è ff fraiit liff'que
rdRct^ïoif d’un ou deüîx 'â^u red x 'coups de q SW ^ ^ Di^M?%-Êri'™ ^ ^ ro ^ le a rs
a’fflateu’rs p a ie n t leur Mbffe'à lèh1pê'lfi#à%ÿmôncbe,T&bfomen^'^*me*ns
fà êMnè; là’ Loire, nous pêcËbhs le iard. dn%chïK^pfe>'aim!es,
-ont tous leurs lubiesj tou!s qnt-tleS'jMiirs oifils) jie mordant pa‘êv‘:s'§wque Iptfiinps
les'Jracàsse, soit qu’ils iifeflt trop è^fe'l’â '^ l é '^ 0 n emJ|jfe'^our fëL® w 'v |lo n -
tfèrs la Gravette ou* ver de sable, tous^e^’^m in s des ports'oohuâissbnt p'elâ. Ci
■'■éè ■ser-t'Wêk'hàmë'Çons, h, 8, limerick à palette. *
M U L E T C É P H A L E (Mugff=êepbalùs, |$ P i 7 njfei. I l
<K60.,
Syn. : Grey Mallet, angl. —f Çapo grosso,cefalo et mugini, ital. _
Ce poisson est a peu- près rond et-majrch|tQ,pdmairementJpar tro.upes ^,Sa-t6te:eS^Maflüngeo,
moins c»aywtÇi’ecâfiles (jueieCapiton, etaplaiieân-di-s}-^flÿla"T)t)iyho ^ c‘fE ' f 1 1 >
f i t g . 71-1 —.Mulot céphale \ t i u g n c ep h a lu s , Cm .
comme de biais, présentant une crête médiane à la lèvre inférieure sur laquelle s’adapLe.u®é entaille
correspondante de la lèvre, supérieure et ne portant que des dents_excessivement faibles, à B R
visibles” ffiyi 711), ' ~~~
La langue et l’intérieur de la bouche sont garnis d’aspérités, le préorbitaire qui couvre le côte
du museau est finement ponctué et reçoit sous; sés bords le maxillaire très-petit. Les opercules
sont larges et convexes, couvrant complètement l’appareil pharyngien ; l’estomac est, en forme cio
gésier; l'intestin long et plissé, -le pancréas petit. L a vessie, natatoire, qui est -houe comme | s H |
tôipe, offre de très-grande^dimêOsimis. La prunelle des yeux est n | i r | r | iW J ou go ffiu n ,, ^ ï eux
entourés d’un cercle blanc argenté.
La couleur du' dessus de la tête et du dos est-gris foncé teint de bleu, les «ôtés et'lepêbtre argentés,
marqués en long de lignes parallèles brillantes. Les nageoires sont blanc sale, excepté los
pectorales qui sont brunes ayant une tache bleue à; leur base, tandis que l’anale est bordée de no ■
La seconde dorsale est taehetée de noir. 'ô » |
’ - J e Muief t é distingue niseménrd^S autres'pàïèë qVil aXoeu'paTtlellemefiFeMvert par uiy
membrane demi-transparc n-tè adhérant aux p n lies aiilrueuiésijel postérieures de J’orbite, ce qui ne
I î*J5SBfe38BLLiü ujpatj qu’une sorte de ft cite verlicale Un de ses caraclères remarquables est qu’il porte.
’ ; 1 ailæ ra ffiBreS<^iw^uîtu!iiy a enfrenth
dans l’eau douce assez loin avec la marée et se retirent avec elle. Cet échange continuel d’eau douce
, 1 1 l e « ÿi trço ;a leu n SïaSsï
m u l e t c é p h a l e . —-, On MeBé^ipfvie i un
'înêm'e’
n . m n
ï*HPl(?<çîb’(,he -'"c-flecliïc' iirtpipic'nl c ti m fa» --iraPwstf
trouve quelques-uns 4é$^iy!d8b(m' ‘Sj
Le Mulel lié s’éloigne jitinais à une grande distance de la Lerre, il se plaît dans
ï « i battue, ■ (|ûanii 1 ‘ arid« c d pure «iftÆiMSnBMfr1 > rçlAj- ojt* ■*” <«
battre à la surface, à la recherche de sa nourriture- el former des entonnoirs sur
la -surface tranquille de l’eau, en saisissant par: flies'sélb toutes les ma ti<ires hui-
1 |e i^ 'n a tu re fait s'ütna-gei Il s’aventureunvjf} unïWwv^m^plÂtirfte|
ni n^W^^^ftnïjconl.v s’'en- . ' “fl
'(lO^nSMilii'-cs^tres-Msé.ifl-feflhMnlcflli 1-om1)PmMi^m.eWeu)uLiiiii(U‘
S’ItiwHprcTter sa. nourriture à un endroit donné, en la lui présentant toujours
à la même heure. Il se garantit très-bien des filets soit en passant-dessous, soit en
-.ii'itaT^^m'c'los.'iis;: e ^ ^ ^ p r e -n d
et pour; M r . I
Gêt animal préfère pou-i sa nom ri tare lès matières molles e.t grasses, ou celles
.[Ïïî c jjB w !? i brTïffdt c ix* d^caTiÉpSQ.aSiis-; îi^wsî^prîiil^iFscniveat|^mnî«feé'tïc■
r< c herche, enfoncer dans la vase son musc au dont les lèvres semblent douées
d’une eSiftlise sensibilité de tact. Il moid bien
enfmet^mx- à'ièfS'oisTbl' un barS|,Q^&0',5i(',‘'”1
Son adresse à éviter l’hameçon vient le plus souvenl de"c!é*Vj i i ( j^ict
:él-uMf|.îdT3ki. fcHj-pî'i^Iférnpecdic-;d’avale l'tàïiilùment « y .pül’hcin nn'[Vi!f*givos<ci',dî'
substance- dure. Aussi, quand à plusieurs reprises il a pris l’arrïèrcc dans sa bou-
1 ^l-®^^^.fc^t(- ;’ï-jo quand A ^Wpffjtfi^ibJ-d
I ■ t VjBflmoOTihwtffl fejfli
La, meilleure manier e de le prendre à l’bameçô'fi|^s't d’amoic^T»'a?è^î^e^
^ d’iompÔLS'fofi oud^ehoq«Èom‘J].*’dan^ diijli^jK lW i liôiri^lc^T^.elu'r
de fond.
• I^^ S f e tiord framcbëdï.bït aux' m'onoiës- ?e'mployé^'pôtfr'k' Truité,
licbî^^'pùSüf be1- pluis' grosse!' et ^oePSclafôiife^^îïseiiv^î'oe^^Ë^SfîiMm, -Il
r l'"è*pounwti-^-f®Èt dans l’eau, et d e rn an d e b b Ç au e o u p <1 é^rrhuian c1 rr i c u (îi^îia i-'âb
plofflf avec une grande violence. Le bon moment pour le pêcher, c’est quand f i
e;Koar au reflux,‘-j] ‘regagne l’ed’u - ! ^ a l î M ^ l î ' i Y ' o ^ Â c p
mot.)
.ilteebkont^S'dUfVent très-haut daüà a-pris à!‘45 ki^àl'ëtfès'cfe'
'îll^exnc^é 'dû ns I
^ e^ jusquJà)Àvig:noTi, On jigapçOiip. eVimme nourF-itufeidâ^î le Midi. Les
^îiâlnè l’attaquMfâtfcfeuf qtKÉii.ttg^®g%xi§onrt f e n 'limpidés- àAla in
îrrM!e'sbên’(f'<iri^"nW^^^M)'ts' cpie 1 on
;®dcS^^nVÎase//li$) lé V^mervie^ ^quan ^ aDi,pi4(t, les ;>ur-
Pr^^feç^f|ord de reau-îôuillan-tj <|aps lêç^l-es-.î - ■
Les péçbéüfe du^ïÉgb ë u r ' è m i k e f l g l i s s e M ^ k o a b : 1 a