
 
		avéfe'Sufe'eès en mer aBiMÿtèjeïyJe giiDaÂSf'âïontant jps§u’à-ÏO, et 12,. A>,tiotre S'oint  
 de vue," un-hameçon. 
 ïiIiSf (Ligne «n^ii=r*»  Plus  hygrométriques  que  les  lignés  en-^oie)  ee lfe  en  
 Sjfflj ontneneorefl'e»désjêvan.tagé (L'être moins  fortes  à grosseur  égale. Leur seul «01-  
 tage e^tî^^^ûte^&^ÂmomsI^teE, > maisMfeljïe faëlaèlMt par  15irï^oCl'YênieMlj  de  
 pcpoeiàr très-facileipentjÆiîFon'n.’e  prend pas  le  soin,  stafaramt  
 .séeïfôr dépjQj|gs^^^^é.lleS:ont  été mouillées.  •, 
 ^sTOQ-t  -noe^aTOns  indiqué  p o u rie   vernîssa^eP St1 la- mfe^^ïkciiipM, 
 ligp^ïèisoie’ï^appUqïLel^ioeïorte ra&e^S^sil^k^d^lffi,-110^  ÄfeQÄQ?toüsfenc  
 quer Betasbyeas'îàs .eês i &BÜc^e&fg|y 
 ~ J - L IN G U A L  (os^:‘-#-f-gouS  assons! va‘riïH^jl’,èrtréinitë*Sup1É^iüf^fles  anal branchiaux »articulait  
 sur une  série de plaques  osseuses  de formes  assez  diverses * attachées js|»s- l;e-crâne dans  l’é-  
 pharynx» öhÄPPßle^jl^öj^jfifcsrwssJ^s  vupér.ieiiçs. ^Si  rnaintonant*tn,oiis  
 eÀdiinnon^he^réiiiité  inferieure üiLUirifeujeure  fk-, < PS-  incii^SfejWtuii-  s’àj 
 vanceren  avant  et  s’articuler  sur une  suite de pièces  osseuses  attach  es les  unes devant 1  s  au h  s  
 et'qù|-fôm|erit ïiq¥Uï^i&l^->' I 
 •  Cet. os  revêtu  d’une. muqueuse  épaisse  se prolonge en.avantet .c’est, de  son plus  ou moins de  
 longueur <|ue|depend le  plus ou  moins  de liberté,de  la langue  des  poissons.  Ainsi  l’os-lingual,  que  
 l’on a ayec  raison  comparé  à l’os  hyoïde,  repose sur  une large  çtsolide .et ».Lere  osseuse placée  jl"  
 travers  siuisrle's iiKiitïchiBs, et  chacun  des  arcs  de-cette  ceinture  ( st coin-posé  dé  trois- pièces  i  j?  
 mitoyenne  qui touché à sa congénèré  sur ;î| |lgne médiâne et  qui est suivie d’une seconde pic ci  ip-  
 pliquée-sous  la  face .intérieure  de rin  teroperculaire,  ce®è-lcî est  surm-ottee  dte- fe  t rois ème  ordinairement  
 plus petite, qui s’articule  à  la face  interne.de l'angle antérieur de -ce- préoperculai  e  
 En avant de ces d< üx  arcs  ou  cornes,  se trop vent  deu x autres  pïèî c s.  osseuses,, l’une  dir g  
 vers la  symphyse de  la mâchoire inférie ure arec  laqueEe elle s’articule Lrès-soavmt, l’autre  dirigée  
 vers la ceinture humérale S o n n a n t i’isthme de la  gorge. -  ’ 
 Ces deux pièce?  osseuses  peuvent  être  comparées  au  corps  de l’os hyoïde  mais  il  faut bien-  
 voir que ces  piècesrsont spéciales^ aux poissons ..etâpprop  iées  à lèïïr genre  de nourriture .et de r  <  
 LINGUE  (Gadus molva, Lin.). — Mala.copit'äS^^eh^-ga^pld4- =I|raj|j|" 
 Sylt; :  Ta 
 ■  Ce poisson {fig. 581)  présente  deuxnageoires dorsales et une  a nah  ires^iefeppees- Son corps  
 presque cylindrique  est fort  allongeant rappelle un.peu  la forme  de 888 de la Lotte. 
 F ig .   531. — Lingue  (G a in s   m o ïr n ,  Liu.) 
 f'-le  aplatie dans  sa  parLie frontale,  vue  de  côté,  elle  décrit- un angle -prolongé qui  se  termine  
 en  museau.  La mâchoire inférieure  porte  un  barbillon cartilagineux de 0m,03 à  0m,0i  de  long tei-  
 ihi n é  'eùfpmpte y ejy^ggT p lu s^ j^ rte  quelajsnp.érieMe.^..,- 
 LdmcUtié supérieure déjà teoe.prSente aeux^^fflts sillonarafrelilqulls r^gne la lijrof^euse  
 là’ f>ld|)^ p ,qe^du:crâne‘%®sâfi>{îfi^n^ef4^ ^ a ü t sômcûliî,% fs! têfêfj ses  fecatileé ~sont’ ’$$ités,  
 min^'éÂrS^oeÂi%irte'^àtla*^èt®^£atfe)€leUfdd'^rfflfaorf’est^litiéïiîiiÂfÔié’grls cendfréjWir?® elle 
 LOCHE. MT 
 Iie^éitnesdutérales  sont  blanches et:assez droites, lia tête  est  large et aplatie  en dessus.  Les. 
 o.4^Pt,charnues.  Aurdepsus. d,e.'la-tête^Ie  crâne fsrna,e  une  arête  comprise  entre  deux, larges  
 gihqïïsSÏ l’extrémité desquels est une érammemassezpointue qui, là, termine les  côtés  de. la  tête. 
 sfeÉpy|l l e s |||x  qui sont glands et dont Virtf est jaune d’or  Ces yeux.parais-  
 sent êtreipfâéés  horizontalement, émd.es'sia^à  cause  de l’aplatrsserrfertt de la tête, 
 I  narines! sont placés^TOe les yeux  et l’extrémité  du müseau,.  ' 
 Apsjdpssiis jgif^'gblll'on^^oùpheh na paraît pasrajSiôMc|é fjeüts,  mais' unpeu au delà  il y en  
 I  yiÙ',M4iri!'fitl6S’ ^^îfffi’Sntues, et  fixes  dans  la,mâchoire,,. toute§:çelles: qui  garnissent  la  mâ-  
 IvMrfJF’tl1'rfuu‘e*''ijn1  Ut —_c uniti -^ttè^dgliges  ra^tomobiles.;  elles  sent  disposées  sans  ordre  
 « Juii|wge|n®uéj‘#é Râlais'est garni de'cicurai m\* denlt  ■■lo-ImM ’grosses,  longues et  écarïées5  
 les unes des autres.  Une partie  est fixe, les autres sontmobiles et  disposées  sur  deux lignes qui con-  
 vengei^MSMÏ^tïémitéÿ entre  cfes  eliochéteise trouvent, de ^petites, dents  fines  et courtes  et très-  
 prqsse^leSliupeg,contre les, autres. 
 L aW ^ e s^ d eu cà , ffloUe.^jMeASlis.Jongue jque  largq^teraiipée  en  avant par  une pointe,  
 i^HgV'Ill'e'  esKMt'u.rarêménf hOTwESre,  elle  denenfplus manMeericSré ™Ia  cuisson,  elle  est  
 très^dWèàïéJ'îmais a peu 
 ,;Deiehaque-éôté de làiîêteMmi«}fem.'-ïêa< operculesidé^ofinesisons lesquels» llf^a  qifaé'è’b'faïi»-  
 chies,  supportées par  des  côtes-cartilagineuses,.  ellesi sont  garnies de lames’ûnes et molles  formant  
 frM^^wSgées  sur deux Ilgqes.  LeS>lâîueÿde l’n n e ^ ^M s   grandppfqpe.ûëlle^de l’autre. 
 f~A»B  dÊt1^  ft1.1! 11  -f'1. ’ItlfMjj  iks^illiAti) e‘ tpi. O 11 d).e Mines d~m -,  (1  , j  rtpiirôilwnf du 
 i’‘Aue^P^miuyi^ilê*.  denSpïhes:et  erochue^pvïjlîî^lcsqiiilh7-,  il C H’d'eTiômbrelises aspérités.  De  
 l’autre côté .elles  portent aussi des  dents assez longues et fm’es; inclinées» Vei'â-do 
 ^,Lai.nag^oirei,_dhï^IèquirS^jle  plus  prèsi^la^^q^^foj'mée'’ ded'Yo^|^è rayons.'assez gros  
 U 4pri s  d^finaj?()iMkl'iiii‘la  B^ujeig -ya^ S i augmentant à  l’extrémité  
 pPferï^^^'àfijh’  qui  sVu’ijd jusqujâ'la»CjffidSi®,esfecemposéé  dè^fea’j^ifâ’-fi-r, 
 hé^^^jàiralps  onti^ayqns Seulement, dos.-troi-S de deyant’ seali-yisent  et,sont relié&p'ar une  
 meùtoinst I^pafclaie fest arrondi eif fornjg^de-ipaiette.quand-.eSle est étenduéu  >  
 i   s-J ufuiics dont lus namuiri ‘■'pjifîilrrfgds  dfu.ii  Hi^-Jiraiu 
 LING:UE.1—(On tEOiive;.ee gade dans-la mer du M-ord,  la^Baltique,  la Maüehe,  
 r a i^M lù s  | |u « E  ,que- le( golfesS^keti'gneÀIl-‘së  nourri f - d ^ ^ R ^ i s s ,m s   tq  
 djgêa^^ ^ -rkécli&tà  la li^te“-dê. oei p&KsoaVJes-t" lâi|DÊ%eï.qia;ë!  diu^’EabrlIiud,  
 Hi'ilu i^^^jj Egre-fin. 'Trè^?ôrâb'B/-®^e‘- prend1- aux hamg^oM 'iiwïfiriÿ' ' <[fe Hà-  
 1 en^s’  i Jr  <J&'V *lrouLic,iflfmeri^ aux^l ^^^fe’. V ’ÎHilif'i'i-s., 
 S E | &   Ir^ ^ 'ASlî'utfeim  a.la'mâi^^ffit^&aiih'/hWtriïif'aux.lîiiuNBs, 
 —  pcend^ ^te» J am ée^P fea âm ent à  de^fe'orda'r'feS'Id# ro- 
 1^ j | 3 u B ^ ^ r i g l ^ $ - k i l. i  i îlil, ,pa_s  les 
 vï^est tres-tenà;é,.  ( xcpulh »  - 
 LINOTTE. — Nom dü^C^aôol^to.Prsium* : - / - / { » n e ®   la^  
 Locke  fra n ch e .  (Yoy. Chabot  et Loche fbai,ujÆ ^ > 
 LISSE AU.  -^ g ynopÿmé  de^fielpion pour les ta.ceurs.‘àe mets. 
 L ÏT Z ^ J f'-^H S tr ^ ig& irë  ^oeC«rre/êf o ^M îe  fr a n c h e . 
 LOCHE I f C o b i t i s " ,  Lin.). — Malacopi. 
 Syn.  :  Loach,  beardie,  ahgl.  — Schmerle,  gründel,  allem. —  Peskas,  stolbez,  ru s s  —  Weis-  
 gà ^ ^ ijhAS-; mabdh, iiart. L j 
 le,,corps alIongé^^v§^ e,netaestécaffil!é^^mfiidmià'îl-Wféi Les  ventrales,  
 d’ellesmè éeul&y^a^ a d orsaJe : Ja-hmichp. au bout du museau,, peu fea-  
 '  m|is. epTouree de“lèyres;prppres,  eO ^& M ^ ^ ^ p '^ ù ^ ,p q 4/o(u-yy-teg.à| 
 ,S-^iwiMê'è’^ f,§Mxfe^îPâ-Pé^]? ï& ^ 8 tM ^ ? * ^ nï)9ssez‘fortemeilt. dentés,;  il.pfÿ a p0i^t  de  
 ri  JP-UI  tiê^-Petit'1|A Ë ^ |i^gM5r.e est  cnfei M  < /k n ,  un  étui „osseux  bilobé 
 douceslU  ^  ^  tr0'Sième ■   en  e^ ç e s  dans  np§ eaux 
 - loche. ■^^fe^LèqMsii^ia.nt   s ^ p u t hiabitaiirte^des  rmsseaux  et des  petites  
 nwè^esj,quoique i ’uîae deçiÆgpèeesirifâtsoâàîpas rar^duas certains'de4ri^% ffeuves,  la