pùmnn 4, .qjj^aJe m ê o ^ a x ^ a 'iif ^ c rA in s
rqu,e Krf ^ a.vant.il^pSl-e roue.pçjr^.d ^ dijii-^dftFfS o i^ trian g u la if^ ^ ^ ég a lE& s,
Un cliquet maintenu par le ressort circulaire K engrène da$s^]($«<j^Jteàp K i t
rajie, laquelle ,peptt;cependan}, TOppd ^bùisdi ï i y e '^ ^ i u .lj^ !M
cliquet sont h t o ^ îT ^ MlUt
suffisant pour que la soie ne sfc’À (S y ii^ u a sk u ^ d ^ l ^ g t ^ |jM 6;. 'Le\lw à£Ëti BféMata.
en wjÈp& tem p s. ungMgond ajsaâtagéÇ $ e || a u e .jjM p feWfen.ctioi)ae, un t f l p è
â^brlàt le p^ m » i ^ q S ^ ^ ^ o nliu '^ ^ |ir]à.e\ Ia-^ e .'^ tA < ^ ûC ^ 4e'jau y t o i p '
pas, le Mgr f t e à pariW- ;^ M P e u r < ( p i y
je-l’aFvu v i n ^ t ^ ) ^ ^ S u n ||Tdm^%siB Lfe.:i. dévideæréa.jbgne f e t o a d’uS S m à
‘? ^ dM?rip h a a jp p à n^-s’^ ^ p ^ c f e ^ ^ 'y i e quand s j ^ - i ^ a u ^ o u t dtd^|j|a||felmssp.
l piten^a fjntre [ liffenaji à|fiferi.
au 'modirire fixation du Moulinet à la*tonner, J[^ôlfaj^ A ie/rue bi'jji
dcV nioVui^^ ii aucina^fegmaiÆt engortfij^m ma |
ginéjAmt4fait que nous j ri rjj^.jUQ^'éa>iÏÏ tjqffi&pu^u «ÿj |p;
.c d p lip t par le faméfixMontaignàe, seffaitnnarfait l l i l il l t a i t uUaneffiL^pl&ux et
n’augmentait en même temps îemjids de. ifflpMlfl derniece^gousid '■rali'j» .
p u rV iFu ^ ^ fm foM ^ é e ', pafce qâe pie,d leÀ
. plutôt un av^tadeâju’ipi' jï^PW ^W 11'r
Ce mode de fixation offrait d’ailleurs deux modifications, à la première desr
o oTOr? h dit V faitfâWèté-pour t e u M M ^ i i u i corupo-d n
pt mon flT-fiftnal. L’une des barres reliant les platines {[Ig. 705) porte, en son milieu
un goujon cvmm en cuivre O e n tr a n t|ib ||m e h t dans une pièce, B, également en
cuivre, et qui est fixée à la canne par une to n n e ligature à chaque extrémité. On
pourraat^remplac'er les" ligatures par de fortes bagues en caoutchouc, mai s- ic u 1
llexibilité offre beaucoup de dangers en cas d’accroc à u n obstacle quelconque.
, Nos ligatures ne bougent pas.
Sur le côté de la pièce I),*ijik .vis de pre ssion entre, par la joue, dans la cavité
carrée où elle serre le.goujon O et retient tr'ès-solideme'nt le VIoulinet en place.
Un tour de vis en arrière, et le .Moulinet, rentre dans le carnier; un-tour en avant,
tout est en place. Inconvénient : obligation d’avoir autant de pièces 1) que K
Montaigriac,'lui,,avait imaginé’l’appareil figure 110 composé d’une glissièrf en
cuivre fixée à vis sur la canne et portant deux. Coulants en demirbagues G, IL Ou
introduisait- sous .l’un, -H, la pièce D J^g: 705) tenant- au Moulinet; on ramenait G
vers H, et tout était fixé.
-rùiMë#tf^ 6 Æ S stanl. à ife^éfedës^pltfp sil# M ® miuns^d e in e sMuR» e ^
Mo u l i n e t s ( J u a t r a y e t f ^ . l a < aune dan^^®1 e^rp'<jelj.i®rne LanllS
rewmtpfeîjm î r|^s à ffo rt^ ^ ^ ^ e ft bom 1®
trou p qurde-^^^g^ à ü gouioffl-a^albllt,beaucoup la cannp^mg Mm endroifî spr-
tQut quand eïfe n’ésb^aPaeTéès-fûi'te dimension.-
Quelques pêcheurs montj^njr-lëur Moùlinet sur tijq ou-deux,,c@&es de cÆvre à
àÿqs- slrrttefès-comme" cetfâ^qui serrent aux bçcs de clarinettes. Dffitles
sé eonMaténfÆ’ iie£Ialpatte d ù ^ o id in e ts u r ’ la c a ro e ^ u moyen 5 I ^ S q ü e & tours
d’un XxÊti Ÿuban de; fil * p e t e x p 'fd lèm ^ n q tr e expérienée^.a p |r â pëd|olî'de. C’p t
dommage, iUêit simfmiy \
Rf’*De iout%é^^m^p^^[&ê5tgdÊ^mdyi^Tær^ bon pour ^ e r j e Moulipersur la
■ canne, gofirvu que ce m,qy^d>‘^ ^ e t|e g |* te 's è p â r e 'r ia c ilem ent é||^yolffi|é.
MOULUE. dp ,1a MpxM'xAn. (J^no|\ O a Teste dft(R u S j.
M O U N O dgTa J7 du, {pUfif1 .i■. nifot.»Wj
MOURGAIN et MQUREGAIN. d e . iè. .ja. T'este.
Yoy. Anguille.) "
. MOUSCLEAU. —Ai é ai T)io~Njiyj]V.(iSa ,11'Ii.-imetepp
MOUSTACHE. — département,de Sa^e-et,-
Loire et aux ur i
MOUTELLE. —|ftjn dejsigiu' par en nom la boclu1 ftaiu lie,«.eiqUo,UJ.go^nt> c.L,err
( liatn p p p èW ^ o v-^J|f l iM „
M U ( Mugil, d t ^
ipMcigi^iai Aiar q-JjGj- .<L'jUf renj traos,versais-,
ment et portant une ai W rh o jîujjcl uit | un sïlËn ,ae la supéi
< i mBrt^sF wt^Pvyfaîlil c i ‘, cF^rn r\ MnJfs TFf1Sii lui viv'RjfeY' m i"P ïn is ' 1114 ’mroT^tri e al in?' i f Vé-
i l|a#®sfus lui les côtés des maxillaires très-araiDeis Opère oies larges et convexes, r'a L ra’iit'êôurjil*'-
tement l’appareil pharyngien. -
1 * ip'~ France et les eô tes. ,.,
MUGE, .CAPITON. -Mffiil.
MUGE CÉPHALE. — ilÿ0^1^^g||CEPaXLÆ.)
MUGE VOLANT.
MUGIL. — (Voy. Muges.)
MU GIL AüRATU.S. —,(Voy. Mclex. ^ kf. ) ^
MUGIL CAPITO. —j^feÿS-ÿMP'tiET .CAPJW)^ààÂj<
MU GIL CE P H.A oy. u i. kx C.É p H ai.)'; l \ v ,
MUGIL CHELO —^ÇYoÿ. Malet j-jjgRessrSiMj^Bgg.) ,
MU GILOIDES. — .lime famille de l’ordre des Acanthopterygiens, composée.presque exclu -.
s .'eracnl, dm geiwle Muge. ÇSiponl des poissons à corps allongé, ;à tête grosse etioltps.e, couverts d’é-
caites Hanches, nacrées, et formant (ics raies bviliantes longitudinales. '
Lés mâC'lâoii-es offrent une conformàtion analogue à celle du Saumon bécard, l'inférieure por1-
tantMùe pitèpraineBcè qui s’engage dans une cavité de la supérieure. Tête couverte «t'écailles. Deux
dorsales très-écartées, la première à quatre rayons osseux.
. .Cette; foraille.se divisje.en 2 géiarés- t" Muge Mulel 2“ T e tra g o n u ru s , Gourpotu ou Corbeau.
MUGIL SALIENS. — (Yoy. Mulet sauteur.)
M U J ON. ji^émqmm^tion rnarseilkise,.du Mulet çfflha le îdfljpif.ut i n i
MULET. ®îp5Qi^>4d6Y'ons^ l ’amitié denses fils,. la>,faveur dg,;reproduimljuel-
'n'ffiiffifoaw-ÿd un. iri.â;pi^critlgtetbl'qm.ft.^fe‘ Ia.pfeÆn.^j^ayiÿ).pa.r M. fL ‘SM^gïiy,
l’un^o^)meiitlmia*ioÀrfi.ftnrs.amatftrLrR du M^ermu^. Umii-- surunt*, IV.ippés
cQj|iiÉp ^ ips<..d-e la précision -remarqq^todj^iA^^Y^tions ^|pdeéf|gHaji|és aima-
bles et élégantes du style dans l.eqqÿ^tel^^pnt traduites,,
, ■^do^'qêLohe à la 'corne. — « Mulet qstvifi Ses m o u ^ emei^^iÿi^i, rapide^,
cju il s’accroche quelquefois à l’hameçon par le ventre on par toute partie du- corps,
av&^®é4^^^ielp.e,.j&gJque,fe|i.bLâl(itu4%Àppellent un mulet .«g^, ‘Il^eçt-inéfiant.
M'jAg^M^s^fmgues ;?|fpprbcbent, ivq(uand quelques maladroit p.-,lpiss4.fietoinLer
Mois Mulets, quand quelqu’un a Ole (/r«tû/i^„c{e'.JL-à,dq/i;^rs^qqe quelque^
ët-^Mi^spn' a M ^ é ebpmgorté ■ le, crin de.flpf,enGe, o fc ^ p ^ id q çbpn^es et il faut
quelqqgltçtnps pour qu’il Eemorde^t^üil,est fort;-), ét.-sjojïVÊnt il ^ tsse tes;lignes, ,pt
quand, j l ,est, .^g/é, satÆésis.tance dans beau est triplée,^au mQjM,et,-., d^TLs; ce, cas,
le .p ê ch eur ^qq^»^’ a tt en d ait àr^qq,e ;proie tr.Qis,:^ iqîjqua^is.CF;;foistîfilus grosse, est ypl^
■J35^ija,cieu^: dans,s,e^Kmouygments et d a q i^ ^ f ôm ^ j il n’a^pa^tPqLhopriile a§-