
 
		Seine,, par. exemple.  Ces  petits poissons vivent  de vers et  d’insectes que  l’eau  dépose  
 snr le fond oh i s  se tiennent pour-ainsi dire  foujoüïs’’dolléiïfo'i|s&è£Kés  dans 1®  
 sable. Il leur faut de l ’eàü courante et vive ; la stagnation lés  fait fuir,  et’ cependant  
 ces poissons  changent  rarement  de place,  se cantonnent dans  les,endroits qui leur  
 conviennent et s’y retrouvent toujours. 
 On les prend au  carrelet, à la louve,  avec  la  nasse,1 etc.  Quand l’eau  n’est pas  
 trop profonde dans les rùisseaux, on’les prend facilementuvec un grand panier plat  
 avec lequel on barre lé courant én remontant à pied.' On  dirait que moins J ’eap est  
 épaisse,  plus la Loche s’y plaît. Ondes  prend\yers des gués  de .0“, lO^d’eau i etlSles  
 y rampent  en abondance  au milieu des'Ooujonsÿsde  BarhillonSfoù^de poissons  et  
 fretins blancs, Elles.se cachent sous  lés-petites  pierres^où^soüs'lé’s touffes fMjfbes  
 submergées,  et onTes y prend'sjdùyént; à‘ la main. Lès gdjnijMfmîpe', pèches fructueuses  
 en les piquant avec une simple fourchette de  fer,, fonq|s qu’ellejjéqÆienneiit  
 immobiles,  collées  contre  .lé:gravier.:La propagation  de&'L®ches;*iestchfeodbrt  
 intéressante vu la bonté de leur chair ; mais nouS'nauéiodcifûrèîis l e  cOTlE^pisliofi  
 dans notre seconde partie. 
 On  prend aussi la Locheavec.les nassqs dans  lesquqüè^pn  o t 
 pour appât. 
 LOCHE DÈTANG (Gobitis misgurn, Lîrî;)î  — Malacopfc'1 ahcL  'oyptinoid.^feonscBfax.  
 ==®“,30. 
 Syn.  :  M ü h r g r ü n d e l ,   p e is J te r , jilh —  W g ü n ,   riissï-  
 .  Cette Loche, qui a tfh -peu la forme et1 la figure  dt^Goujo'if, est? plus courte FâPj?lw^oss;e  que  
 lesiautrës espèces ;  elle  a 10 barbillons, pas d’éplne'près de l’oeil et le corps marqué de raies longitudinales  
 brunes et jaunes. 
 ,10 du  18 petites dents pharyngiennes crochues;. Caudaiei.aurbnidîe« j(dctoTàles'laBc?bleês.- 
 7. p. ^ io. J^== a>„.JP= 6.  eMsçrp 
 La poitrine est nue et le, ventre plisse en chevron.'La:cni!leUtt^du: poissorïiest  gris jprùn’ avec  
 des points formant à peu près quatre lignes longitudinales JoncéesT 
 ÉHe,se tient dans la vase  des Étangs^où, elle ^ubsiatelppgtetnos même Jorsauhtëisnnfeejés m  
 desséchés  Quand le temps est orageux, elle vieii£'’à la surface, j£agtte.el I rôffi^î’V.air ^ )u%d il  ,sf  
 froid, elle^sè retire  plns’soignéusedrent daifs la vase. Elle avale^uris et  nd [ r 
 l’anus après l'avoir-changé en acide carbonique, selon la, b elle obs ep vatiafl,de M.L^pman.  - 
 ., Geypoisson.s’enfonce (VaT.) souvent dans la vase.pùfden^ le sableJinpetjfaU ^&i^pa!c?lesmiies,  
 le sable, mêlé d’eau m’il avale par,1a bouche.. 
 '  ’/Sa chair est molle et sent la vase.-(Vay. .Temps de  frai,) k 
 LOCHE D’ÉTANG. —’Cejpiôiâson rie mous*m' i t'qïu-  comiiH’ appât, tgèjOTeoher-  
 ché par. les poissons carnassiers  : -Angpillés,  BrocheÇ;ëtG.> %• 
 H’-gémble m fficom m u n  que les detÙL1 ny~i>ai.'ùt  
 -veé  en  Angleterre, ni  dans le im d ï de la Prance| | |E- habite  seulemem.nné. d»|ff-  
 téiients  du N o i# ^  de TEst.  Encore  yjestfiri  rqjfô.  Quand  on  le  prend,  il  Lui  
 entendre1 un  bruit  très-distinct  (Vll‘.)  qui  lui a' valu- OEes^memfmds  lelnom  cp  
 de Peîsker, Pfeifer,  siffleur. 
 LOCHE  d e  MER.jHNom'p'dpurfflfé'dé“da Motellejk ."trois!barbillons etBjpla  
 Motelle à cinq barbillons:t(^©^s ces mp1s.')y& 
 LOCHE DE RIVIÈRE  (Gobitis tænia,  Lin. ).  — Malacopt/ abdOÎ^hâtf'iL  . 
 Long, mdx; ==0m, 12. 
 Syn. :  G ro u n d h n g , angl —é tè f iïf f ih e r ,’àll  ^ È o c fgM j-ÿ a i', bol). — S t î n ü i i o  't’fêV a gn a d a , itai.  
 al ‘ iêetelddhey la plus petite de collé? de notre pays, a le  * 
 marqué de taches noires.  Le nez pliis pointu ; la bouché et les yeux pètits 'èH^rôÿdrtiôH|ÉH^wïp  
 un aiguillon  fourchu et. mobile au squs-orbi.taiEé^en avant-'de l’oeil ; 0  barbillons.'-. 
 Dorsale  de 8. rayons, pectorale  de '9' longs & minces,  vent raies de  7 rayons;  anale de 6, p.  
 caudale de 15,  defortne arrondie en?déhors, un peu en;éventalIq (Voy, Temps  de  frai.) 
 £etj#  epèpe abopâe en E.qrop.q, i^ ÿ if ts  .Ç,0?,te}Megpysj,iÿli plus ,rare flqeda Loche. dlétang ;  taq-  
 ai-Tjfiïïe^lK'z ri'iii-.  t confrâiL. 1H Hstlp'fi^ewnqjiine  SlMte*»cï|.e'- .  . 
 LOCHE DE r iv iè r e . — Cette Loches® trouve, commuqmhept dans la $eine;  
 4111 i- l’iîabif&âè^^ 4rê tenisr,j^ ^ ^ w  sablecachde’ 1 laiâs^sit-dépasçer qüèilesyeux  
 eljlHqo'h  on^ffldéràa'gê^^ ^ ^ lMM^hairfl^  sâbîê^pour y’hfrènnrîcrm^ 
 mrtip pim Imuî  1 
 ‘T'*DcmVfos,  '^ îw M ïm iS t' .petits  i)iîf it^ e?rvmmeV^ét  n ’y 
 Vi^D^TI-i s mP s J^1 -II’ 'il11!■'  d 'e x o V ll^ tH H H H 
 i C l i u m Z ‘v‘11i jnt ï ïpf^t   C&t'nuf^ae 
 ffiSPSgâ1 f f   il  %ji 
 perrés.  Quand 
 LOCHE FRANCHE (Cohiùs barhâtula,Lin. )  V 1. T mi. ' 1 
 Syn“  M'dah Vearded^angL* '—iS ’êkàW m e l. ‘ é l i g i ^ a . ,  
 y)“9^1|Gi]^stLl^pPi^spiri'a' ;lp./îpi^iU'illpsp,‘l s a r i , é • lJîarluitewaiÆj|î|gfe| dpff ,  
 I  i-  ilç p s b l d i s,j tij^si au&i i  -.fortlte  , t 
 bS2. —Loche  Ifanche (CoÂin's  iarittluia. Lin.j 
 Murs^lJ^j^gegï^fJeipeHtÿii onia  dränge  fl^ f o ju^ trf a ^ m .s souvli sauefiL   (&,••  w' ‘^ h  
 1  es Poissons se tiennent toujours  vers  le  fond de l’eau  (fig.  6S2). 
 Ä ,   Ij''^0<ÏJP  fl’’n ^ ^ é ^ ^ ^ q u e ^ v e ^T  o u ^ i  îu* j,j. 
 sa  ,êt®  - î g f i pourf^njdîts eus, les narines son1îdonb](*slujl.%i«ltiolifé^i,tjfh!ite6«ili^<î>cot,id!4sesl  
 unpdeur^ Ajuste .demère l’oeil. Les lejJrqs^t bn-gt'y,. ]a tojjfl^f,^Wt^ke&3tfn-devons et  
 mâchoire  inferieure est ^l^iQuÂe,Jji>knnrJiû,a^nui^^de.iuialoi.de-M^î^ nn,frfer,,,.,j 
 «  W E m e  dorsale  commenc3 Ï  égale dislanct  du  nez et  de najrmsjïl6B-pf.clornles çil 0Ilt KjSlV^VfiTliàks, placé, ^sous la doreale, *erfV»$| fele 
 pqnhglttMte^piiiTinjtiinte^fttO.iga.t appât ;ö,Qöte  !f,và*r“/P^sier> OEHPasa  ^o'prlfnd ddns 
 L o n g . RAYÉE  ~   H M W B