BOEUFS. — (Vbÿ. GaNSÜI A
BOGUE (Box vutgaris, Cm?.). Spar. l o n g s ' i .
Syn. : The boguè% red gilt-head, sea (memn, asgl; —Rot/ie Misse»; ait©®». '-A
bÀ Feggp, i taL tr:il.
Poisson £ corpÿarrçndi ,etallongé, d’ijae,belle couleqr j.aiioe-olive, portant trois=j(g%quatre tarâtes
longitudinales dorées sur 'chaque flaire.'SOoucne est très-petite. '
Les dénis du Bogue soiït aplaties» éphan'ooées dgns le milieu et pressées les ,une$ e a u to ’1 les
àuïres', sur un seul ra'ng, idu-t autour des mâcLoir.^sÇ Ces dqûts ont une espèce de tSlon- qut^ajig-
menteleuc stabilité ; elles servent à broyer les plantes marines dont J,e,Bogue se nourpitl^nlus^Qitveüi.
Fig. 61. — fî i_:iji‘
Ce poisson fraye, cBtftjn, le u x fois par an, et kJehaque -faK apprneh s|(e a bancs
hxeux- •
, . La^disfribution des écailles sur k tête ^ lÆ o iâ éM s :^ û t ^ a r t i c u I i è m , ;e tÆ À S É llf .4 ^ i||li|,|S
est dépourvu. La ligne latérale est (fuge courbure généraîê^ d é jà i < leTd1m,iiuf e n .jrv n i t,
Les doux dorsalesVnt 14 à 'l 5 rayons_égmenxl&samLles 3 rf tTfi lt- pqi *°n;tes J j'iltlr 1-''.
traies 1 e tô T lï candalé'15. "~
Lalcbair est très-estînaée^, ■
BOGUE, —f Le Bogue est un sparoïde^ei» ami^^rggltter^itOfi.
le iprend souvent dans ces\©mdr©tis -à la ligne;.'U faut escher a}Vec»d:é&®a;<pll-Qs(ques
dépouillés de leurs coquilles, ou des'CruStâcéS?- * '
BOGUERAVEL,. —- (YOJy PAGEL BdGÛERAVEI.)
b o g ü iè r e . — Sorte d ^ ^ ïet spécial en nappe simple, eiu^Igm, dans la
M éditerranée). à la pêche ièa-Êqgs/éi, "«pj
b o ir e u n POISSON: — Cette expresstlltviiit^nonyme d© noyer un
soii‘ teteaie IgâÉ fait pas- hoireidel'eàMams1']«® respirer
sur Iesî0Fgân'ës One^a'spliy^'ie sénæb labié à“,c&lléJ que l’absôfptrob^uè Téÿirexérde
sur lès poumoàè dés ànimaux qui respirent l’air
b o ir o n n iè r e .— Espêeè fle-'$fese eqjployée,dans la MéditerraMj^ ViOy.
e e .y n o t ,i , j |
BOIS-DE-ROC. -—C’est rie Cottus scorpio ÇVoy. dB^-ÆO-ot) ét W886S!BiSMW)
,ç®mme quelques pécheurs ij^proiÉm: ilt^fe^^itaisfe. Au prjnternps, il quitte le
fond des mci^mtËppût, ©e « loger d® s ,^ e g$eux( <||^ roches dont if remplit ordi-
îmlp^nent la l^p|t©if^s,p,ar”ce‘qjp.îil ,ç}ipisitj^^^^eiê®iX!qpi.ÊPBit été^pe^eés par les'
P,bp}aées, J 1 jgteg^jnsi dans son ermitage, n’ayant rien à craindre
âéoeoes/p.oissons , et rgbrité par l e s ^ a u x yeux du pêcheur,
nigig non r t t e n ^ pati ©pâment la pp,QÎ&®dé la mer
profitante ^ tÆ â |t ^ à ^ a porté©;« .4
* Mers ^équinoxe 4 ( automne, .©^»pegagne les eaux
nrofnndei&?»,,S3lLI|»ipassfe« les, temps froids A ime les(bjf$ssures que peut îaijÿt éq
Mÿ^cèlfratugudboJ ^ !OuByiiiijfé&e ^ ( f i - e . ('ausef tjj^use douleur
presque aussi forte nue ÆiéM©.d,hAna.^wjAlj,.fiqnfenifcod^anL Jj[ sfe défendit ou-
trance, car il mord Irès-bien, et son énergie v i laie est remarquable.
BOISSEAU. -^ ^ ÿ o n ym e
‘ BOITE A : ASTICOTS. — Les t.slnei ^ i ^ f c . ^ ^ ^ WrMâlllK nêeGQfatinuél. se
dans les plus petits interstices ; ils offrent, de plæu^ une assez grande diffî-
cullé à saisir isolément, alors qu’ils sont réunis en masse; aussi, a-i-on imaginé
B permettre de-.nerM
pas perdre un temps précieux
Lai prcmière boîte AB (fig. 62) est plate dans .un^gi|e§î
bombée sur celui -que représente la ligure ; elle se suspend autour
du corps ^ rp a n e une poire à poudre, par le moyen d’un
||djdoujACB^:Lsl boîte porte en 0 un prolongement du fond
^ l l é en ovale arrondi et muni -d’un petit-rebord^ Le côuv^ç^J
cle D est articulé par une charnière "éMBWÎi'fôconvexe
de la boîte. En s’ouvrant, il donne passage aux Asticots,
que 1 tln*fa] l d ^ tTl^ÆyJ^pli()l(i(i i g i ment o, en posant la ^
boîte les choisit et on les saisit très-aisément.
-'En--iai^&|nt la boti,%mpgendpe s^^ition.^vejtieaiey l^s;
cols retomben t au fond, et le couvercle se referme,
n (>A(l-e boilf MN ftgab'im ni < n I(Urbl.m(
;» dans laquelle ©SL, me t les As ticots, e t d’un
Hpf&pc|ê;à|oh4|^iièce M, muni de petits trous pour le passage de
r-air,-. Efi,î§ las boîte porte un petit tube en fea^jfiianc, de; D?1,04 (jim
diamètre, fermé par u m . . b i U i U i l ^ pBai&tjd'eL^i^^
tomber dans la main un ou. quelques Asticots, suivant le .hnsofe-J
,p|p|îe dans le ea^flier des*néclife,(j^M iâ if^ja-rt. „ . . „ « j f - Æ ü 1 I
nier ; elle est d’uu usage moins commode q u e ^ e lljfe yM fl^ ^B ^ ^ fiafi asticots, à tube,
elle peut êjtre perdue, être Aamber A-i.taa|u^.<i>i6e.mu6t-laaire-riiê'^fi une fois
fsbgpendu.^ ne peut pas faire.
La; treizième . MfepfëiMfhvb<ete ordinaire eu ji^r.bldiii^ontdefl^awr-l
cle, su^j-G^^ièje, porte de petits t^gps-LC^^ la moins compliquée Q
e t ce n’ est pas Ijnmdinfqf^mJM^^ é^eafidM^d^i^mplaee^MjAdia'
quantité ce qui man(mie>-en oualitég-«’est-à^digedL’Æaa^ ^ iMS»deux au
üeutjjd’une, plus pelites il est vrai, pei|0 |dii^ser ^.provision d’Asticots
;t si tfiÿn©: ou (to|n?b^ à l’eau, la seconde est encore ' 7
dans la poche ou le pamcrv\SJ-Le permet en outre d’obliger nw î m i u " :<" à 1 . x v 1 ^ -^asppi^pamaite. \oaïv.(||a.} ppuè lui fn- prêter up%§^s^àeux ; on est
cément, égoïste ; si le voisin a perdu la sienne, il faut l’avoir comme compagnon, à