
 
		§92  P-ÊGSrtfil  A  LA  LIGÎ^Bj OPERANTE. 
 qu’à  l’attaque  du poissop  le  pêcheur  ne  peut p^§l^ép_QB.^re,aqs^k'^te,,ÿuisqu il  
 faut  qu’il  dégage  d’abord  sa  «aune et la prenne à  m 
 '   G’est'iei  le lieu "de- dire quelques  mots  dJun erochutr(a |M |^ , ^ |j j ^ |t  q& ést 
 u n e ,véritable amélioration’dans  
 la bagage ,du pêcheur|fe,e l’on  
 - ait mis un p ji e r r e  4@S:‘^ f  nous  
 l’avqqfy, dit  plus  haut,  fm  la  
 k|ar%e de.îsh-Mfii(Le,,‘ ou !q|i®e 40I  
 taitpermi^dé- k   p,as^eï’,s|us un  
 [.«petit crochet  aaâiggue, iatçelui  
 B f l 'in m n   1111  816^0h>, c |t souvent  
 fort embarrassé-pour relev® ÔU abaîssef, autant  W 0)*6 ,c^ a 
 canne dent dfpendent la longueur et là fofffie de la banniè|e’§ .p ; ce mo| | | | p  |e s  
 choses  importante  fie  la pêche  à -k  lfn>^? L e ,p i q u ^ 4 ^ ^ t% ,   f -   
 - tnédïe à tous ces ennuis et  évite Jes tâtonnements 5ÿsi^ p P '^ |i iP or^an^  
 le crochet-support  glisse à  volonté  le  l e n g ^ d ^ a n ç h e ^ ^ ^ q n e t, $ ,  
 pour fixe? celui-ci à f  endroit voulu,  îl su f f it^ ^ n ç .e r   u p | ( ^ ® » u x   
 au  crochet dont  la  tige à vis^traverse la'bague p t^ se f^  G |^ ^ ^ rb°is.  
 Gomme les-poissons de mer-sont-'de forte '^m^siom^jg^ffiffident  
 'énergiquement  et  ont  ISvië'lteès-ldpre',  - R i ir 
 .une  lignes, solide  ( fig .M % £ *  
 linet  qubient^pntienùç.. une.  g-papde1: 
 très ne sont  pas  de  trop,  aujpp^t^iÿej,^^ÿ;gêpbguï,j|jfeplis,  
 -n e d o it jamais publier ,so»^gu%etteH,  3  
 On  pêche  égalementjfdaî bateau^ dan-, 
 ' ÿ |S   s i l. 
 Support  a  bague  
 U H  P U   ___prendre^ une canne  m p m ^ lp n g ^ |  ^ Ç ^ Æ ^ g î f i ^ t l f l e s 
 lignes ont à peu près-la même longueur afin que la 
 Les  lignes  portent! deux  autres hameçons  montés  sur  e i p g ^ ^ ^ p ï ^ p l s s é  de 
 0m,_2b à Of, 2g.ÿLe-y|igpeiirj 
 1  ___  j,  Æ à  a u e s ü o n ^ d ià ^ lé É ^ e ^pêche, 
 3wmtitGi~~ ‘ eg^ ùè-E,enc.oiîtier B  ba:ffiéi^||b|ois- 
 1  Lieue en crin' solide, poàr la mfiv^  S  -  -  ^ •  -   •  -  -sons  e-  r■ rant. s,  t1 el, s  que  -l, e  iM\iranq„u„e^- 
 mobile. 
 .Figr. .816 _  
 Crochet. 
 E i t f i  m -  —  pêche  à la  cânne  en mer ;  ligne  de  soie,  peinte  et  alOl’S  u n e   g r a n d e   q u a n ti t é .  (Yoy. 
 ,„  ,  ,t  ,-t-dd Vj„7  r 1 
 PÊCHE A LA LIGNE COURANTE.—   (’Syaltc|l!| On 1 pêche.  
 rante, tout près de fer rive, en attachant un gros ver'de terre ^b ap îeçp fsvêrs |  milieu, 
  et faisant ressortir celui-ci un peu au-dessus de son point d’entrée. ,11. ne faut  
 pas enferrer le ver du côté'de la tête,  mais "du côté de  la-queue,  de 
 Bhameçon.  I  |   ... 
 Ce gttÈsïâde pêehe,§st ainsi appelé, parce que le -pêeheur est toujours en gouvernent  
 au bord de l’eau!  11 faut choisir un plomb d’après la force du courant,||pur  
 que l’esche ailléau  fond,  et cependant ait encore de la mobilier;  | 
 Walton recommande de se rendre à là  rivière,  au^qqiiçher.Hu  aplfijl,, %ciel  
 devenant  sombre,  de  sé servir  de  lignes  grosses,  et d’hameçons forts,  amorcés  
 de  deux vers  de terre,  les  quatre  bouts  pendants. Le temps  étant obscur tout  a  
 fait,  on pêche  presque  de surface comme  avec  des  insectes.  La  ligne^pl^ngée  
 dans  le  courant, remonte bientôt à la surface  de. J’eau,  il faut  alors la laisser a  er 
 PÊG Ü E .  A  L C L !® ® ’®'  EN  MER.   59® 
 lâche  au fond  aussi  loin  quepossible,  puis k*maintenir raide  e t la faire sautiller.  
 gi^l%-pmsson m®¥d, don<nez4ui le temps,  il  rfy a  point de danger de le  perdre,  pas  
 udsèhr  vingt n e ^ ^ id ra  lTiame^o®.v Une  M s pris,  la&ssez-lui faire-un tour  ou deux  
 /^ » » fa tig u a n t É ^ l i ï s t e p r e n d r e z   ensuite  avec  la  main très-feciiement  ou  avec  
 4 ®fiéf®séttè.  - 
 :  èûaM’ É ^ a t i ^ î â ï ^ è ^ d r f i S ^ l « ,Jle temps ’dommence à s’éclaircir,  ôtez  les  
 ve5S"%Pmettéz,à»l’eùS' jdkce  une-“Effiwcli®---‘Hanche^,lorsqu'il-fait  plus  eîaîtv  une  
 rdffgWlkout à- fa iijo u r u iM ^ i ^ a ÿ e c  laqueKe-^ous-pourrez pêcher jusqu’au soir. 
 Walffià^bserve- qu’il faut ne.pajs se< servir dr uné ligne trop longue,  e t avant de  
 commencer à pêcher,  se  placer  de manière à tourner  le  dos au vent,  le soleil  de-  
 Vantf s ^ ^ p c h e r  en>de^ï?dîSâê&tMl'e Apurant,  et tenir le scion de  la ligne peu  élevé,  
 afin  <ïue  Nombre  du pécheur  ou  celle  de  la  ligne  n’effraye  pas  le  poisson qui est  
 très^eureùsiï “> - 
 p ê c h e  A l a  LIGNE e n  m e r . —« I»  pêche aux hameçons en m er peut être  
 un amusement et aussi un métier,  elle n ’est pas dispendieuse-comme la grande pê-  
 * e  m  flt®t l ^ a v »  eoïiséquent peutiê ^e-ülfe iqüé e'par tout  le  monde.  En  appro-  
 pfjgBfî le ^M^ e ^d eg ^ iH Stm m ên ts  ffxe*ou mobile 
 Peilt  8è  |g j{ |  sur fous le's  fonds  et même  au milieu des  rochers.  Toute  espèce  de  
 temps,  pourvu que la mer ne  soit pas  trop  grosse,  et toutesdes saisons,  permettent  
 au plus modeste amateur  de  s’en amuser. Il se procure ainsi  du poisson vivant, non  
 meurtri et non oyé,  c’est-à-dire mort dans l’eau  de mer,  comme la pluparL  de ceux  
 GlhpBis'MI/ivefde’sfgrande  filets. 
 ' Parmi  les poissons  qu’on  peut prendre à  la  ligne,  contentons-nous  de  citer  
 sommairement les poissons plats  :  Turbot, Raie, Carrelet,  Sole,  Barbue,  Plie,  Limande, 
   les  poissons  ordinaires,  tels  que Merlu,  Rouget,  Tires  ■   
 Yi^ » Merlàn,  Maquereau, - etc.  Quelquefois,  mais  alors  ce  
 rféMpMs, un  jeu  d’amateùr -  les  pêcheurs  -de  profession  ^   
 au1?qï#dfe0 dt^jâ'(liîî^r|è'&fiBièj dfei pêcheurs-cordâers  prenncid ’ j  
 des Thons et même  des Esturgeons à l'embouchure des rivières. 
 Nous avons vu  que  les  cannes  que Io n   emploie diffèrent de  
 celles  qui  servent à-la  pèche  en  eau  douce ;  il e n 'e s t de-même  
 d '^ fijsl& q u i sorft-plus grosses ët plus  fortes. 
 Pêcher à la ligne  en  mer,  se dit  lorsqu’on ne  se- sert pas  de/ J  
 càinfè%8^;ù--0B ti-ent 4à‘îîgî¥ê dans la main. 
 lignes feont léâtées de corps pesants, on dit alors pêcher  
 p a ^ û d ^ m  les- lignes;-  sont  abandonnées à   elles-mêmes  sn r  la  fïg. iw  -  Ai^ière at  
 grève -et -lestées-  de «pierres-,  elles  prennent  le  nom de petites  câ-  S011feÉiilem 
 m ,   et les--pierres sê- nomment  elles-mêmes  câblièrès, La-zcorde-principale,  dans  
 j Océan est  une bauffe,  clans la M éditerranée,  c’est un maîhie de Palanare  
 (?è |f-,éesimotedivel^)'’'^ i ) <  ’  .  :  .  :  ;  ^ . 
 Les lignes fines attachées à la bauffe sont des lamies où semelles, on leur ajoute un  
 ® t f  en êrin, W io i#  oüen fif solideet fin, auquel est attaché l’har  
 ineçon,  c’est  ce qu’011 appelle pile, empile ou bresseau (fig, 818). 
 La  pêcHe  à -Oorde  flottante,  dont  le  nom  explique la  mé-  
 m fp l,  portede âdm  de  péeÀe  ë  ht Beiée ou «m Mibouret.  (Voy.  
 ces mots.)  *  ' 
 Si 9. — Grelin. 
 Les  lignes pour: les  petites  pêches peuvent être faites  en crins dont le  nombre  
 FïCj  en  soie  on en florènee.  Pour  les  maîtresses  cordes,  on se  sert d’üne  corde-