
 
		feagt'  les  femelles-rviennent y ÆéûoisariAy^attend 
 closionde&oeufs et d&fencÜes.. m tMürai en ppoyiennent. 
 F ig .  418. —  offîui wiger, Linn.). 
 naratt  ftlÜBtlp.  Boulereau  OU  la  "^Ao^tesdeS^ ^ ^ ^ g-'lI^É^aJlch6 É 
 4gd’Qç^anî-f‘v^ 
 GOBIE GOULON  (Gobius colonianus, RN« tg^A i anthoTit.Golijo îffi^irâ&muix. = E ,P ^   
 lo a t  petit Gobie méditerranéen^ feuxtî, *  tarh^-nuageu  i aûâtres, 
 bord  de la  première gris-bleuâtrè,  avec  trois  lignes  blanchès/ondulées vers  le bord,  urne  taclie  n "•  
 rand^'entoiîréeSi’un  cérâff^îral^f^màilt  olréfrè^sür ï#(Initaf?  b'iuteS®Ef*ff|nu  = 
 ir+<tfr/Btef.v 
 GOBIE D O R É   Gobius auratus,  R id S ^ ^ - A 6 a ü tb o p t.^ ^ ^ ^ l^w rg - ’max.BBÏ|M)6. 
 Syn. : • ©dèduy aane,'Ititfe.' ‘ 
 Tout  à  fait  semblable  au  Gobie  ensanglanté,  sauf  qu’il  est  de  couleur  d’ocre  plus  ou  moins  
 doré,  avec  quelques nuages et  une tache  noi r- violet sur la pectorale,.'vers  la base.  Doit  être le jeune  
 âge d’un Gobie  quelconque ;  se  tient  parmi les  rochers profonds,  ce  qui  confirmerait  notre  idé<  ;  et  
 se prend en février,  juillet  et septembre. Très-bon  à manger. 
 G OBIE E N SA N G L A N T É   cruentafas,  C t^ ^ ^ ^ ÿ d h ^ o ip ^ i^ iiQ id '.  LoMmax 
 «. =   Om,lj>*.  .....  t  >v  ■_t ..  u   ,.  y   .jk 
 . Syn. : Paganéliÿ^e'rfe&î’,.  'Àxprêjs, Ld®so)Jrtal. — Niée:.. 
 !  'Ce  no^'çêies ;cfé •llsM'édilér¥a’né&,-*'eisf 
 rouge  vermillon  qui  marquettent  ses  lèvres,  ses joues  et  ses  nageoires. Le  reste  du  çor.ps est brun  
 rpussal¥& &éE^é'Ædê plus‘^ ê t / ,E®fflf"|5t  grand.  . 
 D = fi_1 +  14, dont le  dernier double. A =  1 + 1 2 ,  et  le  reste comme  au G.  ffilmfiun. 
 'Chair tfès-delicatel^liVenfftoâïOânUeeparmi les 
 G OBIE JOZO  (Gobms jozo,  Lin.). — ^càhtlîbpt.^ B i p f l f rp n l1: max. =a 6'm,14■ 
 Museau  obtus;  oeil  presque rond  : 3*. 4« et 5e rayons très-longs,  c à j f ^  nomme ce poisson Gobie  
 à  h a u te   d o r s a le . D = G —1 +  12.  A =  l +  l l . P =  15. Y =  I +  5-  C =  25.  ~ 
 Larrdbat'gëÿiiralé'esf brun  Hà^oirès'fiBf^  fiamâlra Jp?®* 
 ■unejau. deux, taches noires,. rondes >(aq, bord, antérieur,  et sut -les. (fopAidojftjjilêfeidffl' lignes  loi^tupnales  
 jaunes..........................  |   ,  ................... 
 ’^ ‘ConTOundans  la MéaitBrrtroef;  raée  aads l ’Océan.  é ram p ris la  'Rochelle. 
 G OBIE N O IR . —  £Voy. ,d ^ IË ‘trOMMt0 j P S   
 '  GOBIO F L U  V IA T IL IS . —*{ŸojTjS<àiÆ-,fi'  ‘ 
 G O B ld ID E S .  - ^ '‘t ^ * 1fam fïleW‘l'âfffi,e,r‘Mes^5alîlt1iépt£rÿgr^fe.,iCêsJ'petffi  frmssons  ont 
 le  corps  allongé,  déprimé,  et  la surface recouverte d’un  enduit  muqueux  très-abondant.  Ce  sont  
 des  poissons  littoraux  sans  importance  comme pêche  et  que  nous  ne  mentionnons  ici  que pour  
 q ue„j^^mehBlgt)ir q,  • 
 !  (*d)iifaivise  duai'ïpmÆûbeai'4  genres ; 
 ’¥! ’‘B/ertnie^ouiprfen'ant  de nombreux, scfus genres :  Pnolis,' BlennSchts, Chasmodus,  Salarias,  
 Wfiipteifygio’ns, Gmkellés,w)iMvd^ été. — 2. Ænarrhiqué. 
 _3  Gobie,  également riche  en  sons-genres :  G o b io ïd e s,  A m b ly o p e s ,  A p o c r y p le s ,  P é r io p h th a lm e s , 
 É léo tr is, etc. — 4.  C a llio n ym a ,  comprenant  quelques  sous-genres : H om é ro c e ls ,  T ric /io n o le s,  Corné-  
 phbpt11ÉKC.  . —,<?.âhirus.  . 
 GOBIUS AURATUS. —(Voÿ., Gobie posé. ) 
 GOBIUS GAPITO.  Gobie céehalobe.), 
 GOBIUS COLONIANUS. riiyoJV'P0,81®  coulon.) 
 GOBIUS CRUENTATUS. — (Voy. Gobie ensanglante.) 
 GOBIUS JOZO. — (Yt>y. GoÎie’^ ^ P  ® 
 GOBIUS MINUTUS.—5^yhy.ïGoBiE BuikoTTE.)  . 
 GOBIUS NIGER. — (Voy/GrôijjE commun,) 
 GOBIUS PÜNGTATUS  — (Yoy. GoIhe  a  deux  tachés,)  • 
 GOBIUS QUADRIMAGULATUS. —‘ (Vdy. Gobie i qUatPe taches.) 
 GOFFI.  ainsi  ÏÏans''lft? département  de  Yaucluse. 
 GOGE. -^ ^© Js^AbLETTE biponCTDÉE. ) 
 GOIFFON ET GOEFFON.^B^^aftien. àyôrinaise  du1 Goujon^Yfeÿ1. ce'mot.)  
 GÔLEROUX. SS Esp;è(?ës*de fascines  6 6 ïn‘jîb'â"ées,‘ d&lHf®i%eâux' de'B'ôis fM8§-  
 < !i u i L  ( 1 1iHiiend're au forbi'.d© ,1 ’eau pour,  e, des Zoffes^Æoÿeg^mof.) 
 g o m b i n . —  Nom  que l’on donne,  en Provence, à des nasses cylindriques  qui  
 «t'riS^Wtæéès1 garnies  de ^goulets,  Ge:;sont‘de  
 t e n f®  av^ill^ÊânïLoê^Yd-^^i^'fe^iSfVfe'yt Nasse  et Louve- ^ ;   1 
 , GORD. ,-^gêçh.qriesMff:  419)"' qii’on. étab lit  sur1, le .bord. des" rMIrês  et  au  
 li(iiâ|EeHn.Ti)er-TCÏÏp.s.samt, corPitiosées de deux lignes de fîJets ou de pieux forçiant 
 un;jangle, algn^dont. la%pq|i|t& %bQfttit.j£-|f^h,t];éev'd ,ÿin .verveux^qu,  d’un guideau.  
 (^S^'.é^tquiLLEb) i .