Syn. : Ruffe,- m ^ ^ ^ h VAi:L Aan.: ~,Raulbarse^i^^^'
Corps oblong, comprimé, très-visqueux, tête e t floaxMffimtofttre^Vmx.très grands etjpijiÿ,
fossettes creusées sur lès os de la joue, du museaji et,des mâchoires. Côtés jaune argenté, tachetés
de ü (^irrégulièrement.f écailles rudes,1 aentatrest-nôpnÉreuOTS'?Elle diffère" de Ja Perche, tout d’abord,
parce1 ïfu!elle ’n’a qù’-une. Seulé^dorsale parsemée de "petites taches" foncées,'Tllio Ise"ri'ourï'it de
fretin et d’insectes.
On la trouve surtout dans la Moselle, où aUer.nfflte^^n^.dWGremàlIft. et dans la Seine. (Voy.
Temps-be.frai.)
Be petit poisson {figt 82^) a la vfewès-dü r<^rest moir^hâut^de'tyrp'W_niôins comprimé
que la Perche, lat B'oùbhefîPest $ùs fendue ‘jusque fsous'l’oeil, mais les fièvres sont peu proftaOTles !
7 rayoïfs branchiaux. Dents etfivelours, deotsfphaifyngiêiYü6s^i?reâVd&s.;
La -dorsale commencé au-dessus de'^p er^esgnfcea^eMniflft*^ éptnpJ^lsètue.s^|!e a P
rayons ginrs, 5° —.et nlu& grands,; et J&JMtagrg Anale : 7; rayon'STÿaudale en aei®fea.nt,
17 payons. Peetoxaies arrondies», y _ rayons trèa-njous ; centrales,.^r.ra^o^donl - un. ■é]'iîf|
pEf|T?
' Écailles de n^Soeî^grêndéurï S6m*ïfcBîes%. Wlfel^eMJ^ercheq tST^r’ertèbfes L’imSies^plus
jolis paissons danstun Àçfùarinm, maùsPun.ffesbphis vuGâees.: :o
PERCHE GOUJONNIÈRE. -§iH)n nb^r^d-gtiièTte|lâji5et’cAe fiÿigk0}l|VSl| ique
pendant la bè^eis^ep,-iè^a7KEeisêfai;fîersr6B.--trSmpes,:
ga&âds! fond é 4’ê a ttï^ l’^é;ïel4elfeek^obe^fes* fonds "dé «ablâ^èk i il^ ^ i^ ^w lS u
partout,- êgælemëntM®sM6M%iirenf^et5CdaidsdestaaafanaBîsi.tranqui]!l'és^ U
Danst;le^Rhin etdâ léii^frïoBaeii-prend beaucoup; au érifLfâ&t’td^pStMeSïSiviè -
res avec ces fleuves.
O à e s P É sa ^^îesaseê'uirpetit^ er»ina%gef e k ^ b ^ |^M é ^ b lfe 'S tif ê p temf3,®rau
poison pour qu’ éîle -résiste ?Ç ’ -s
PERCO. ^ S & jp ^ ® t |io n d(fla'7,«?ç'^ Pu
PERGOT. — y om sougjjefflaeflfefpètdiews a(lii. iVo iü 1 .j* Imj-P. i ‘ b.l ~
gnent ^ipereheit (Vby. cdia’ofe)4Y’t
P E R C O ID E S . — -'i^'lF^aaIIlé'*ÿ%*%i^81fjïli£S?iwffîrï ‘Rite .i pou r' t^ p ^ r l^W '^ r fm 'iin i',
e t‘coiàpréhtfxKoe poiskin^ à corps 'ôMangf *d sydont
l'opercule ou le préopercule,souvent _toué4&îdeau, mil^î^lyffls^ nM^iTOiwnPtij^^TiïTOrir-
màchooee^-rj&jdevant duyomer et presque‘toiujour.s les palatins -iint gaiafisj&ëjftlj'ot«-.L.< unlUa^BJ11
nombre est pourvu d’une vessie natatojre.
La chair de césipmssmTs >s(,-^eHeraleaient Saihfr_e,t"fgïëahlèîÿ-;V
Cuvier les à'diyisëàùn' Witgenr^j-étjc&nitn'erinjpirrtjnce^e ( ctte farudié éHtvUl fnÿ^Msqu 3
sès représentants sont répandus dans toutes 1er eaux douces et salées du globe, Â fes allons donm r
un tableau de leur classification, d’ailleurs très-difficile. Les principales subdivisions ont éLé tirées
du nombre des rayons des ouïes, de celui des nageoires dorsales et de la nature des dents.
t à ventrales sous îe' pectorales
ra j oii8'moaa !
aux ventrales. \
[/plus de ü rayons-»
, mous aux-vèn- (,
t - traies____
rayons aux
branchies
rayons aux-
.branéMefé*!
2 ilorsal">;'OÛ'dpr-.j
sale cçhamreè-
1 rts qu’a1 la base
■Doi ■■ale unique... 1
jBgrajjr.tfar,
K/Soeon.-
îwp S h i Barbier,
G're-
«.jlrjîjie. I
Exotiques.
I Exotiques.
à astrales c o u v r a n t* -
Jes ppctaridM oh | . . — . . . . . . . . . . . . . .7 .... . . . . . . . . . i> 4
t fu g n lu ie e s . » . . . . . j
Vive, Ljrano-
- ■ fûôpê. ' ‘
ventrales /en "iw-J
•tâèré dés pêetora- lesj iui|i-pffl’i,cô^/ï’.<
tàMominaies BmM I
Mulf?,’ "Sür-
mulet.
PERDRIX DE MER. -^Nom^'opulaire -de la- S o l e . (Voy. ce mot.) ».
PERISTEDION. — j l | | . Mai.armat.)
PERLON (Sçpialus cinereus, Gmel.). — Chondropt. àbrahélffes fixés ; plagiostome.
Squale î^ ^ ’EJSBïïesi.ina u’b'ab 'très-larges, les dents en scie semblables aux dents Inférieures
du Gÿrsetif et-?^teuseau<®m^taî®ffittfeficelui du Squale nez (Squalus cornubiciïs).
PERROQUET DE MER. —^<^ajjth,opt. La&pid. JL^ing. max. = 0“,25.
^^Qnajroi'Ilc eOilHU^ont’û'bvff'ü iii etac.ie : c ' è s tie^ürmi lab-m rupeetris (Yar.’) ? (voy. cê'inot),
mais nous laissons ici Ta description de Noël (m.. s] qui est fort exacte pour l’animal, et peut être'
»lÉwfflNpêeheurs.
\ Téfe.eiie’oînijpètïtei câraetériiée jiffiTiumcreux placé eniffeje Sommet et le museau. Dents nom-
breuses, pointues, sur une seule rangée et occupant la partie antérieure. Narines situées près des
yeux; oeil -peti,t, iî^s ^^ngqTm^Se.mQire, pourvue'd,’ane membrane clignotante. Derrière est une
,mme*brunâtro allongée, qui fait ressortit l’eftet des aiîBres couleurs
' Couleur générale 'vert bléü/avec'un' trèssi's1'maillé rouge-hriqne qui règne sur'‘tout le corps.
^ iM e ^ à p i f e 1 '^H^^èj^fÿaÆf^îflehSCrpifgéfs'^Jlot^êi enpetîts mbans qnijressortent d’autant
ipluf. qù'é^it vert de iagt^e-esit génératejnept,pla& fnsM&ii'i
1 latei oie ji îuiikfe a&Âos,;. mais fortemènf courbée à ETgüeùe. D Brune ou
v rieJi I par des sfries orajjje(s(Miinreî Larges, arrondies, jaune oran^ clair. y ^ i + 5.
Mr|fMBBrhfeia^ jnP'eir^ traversée par des stries'orang^sombre,
■@1
= 13.J®galev‘fëgêrem::ent arrondie.
PÉTEUSE. (Ÿoy.riflouviÈRË.)
PETIT RIEUX. —^SPQII1^6 <le Demi-foffe Ætle Petites■ cannières. (Voy. ces |
. PETIT SARGUE. — (VQVrêgABAJXLoM ^ f
PETITE CAUDRETTE. — (V^JCaüDRETTE. )
k ‘ïPETITE ROUSSETTE. — (Voy. tlODSSBTTES, § 2.)
PETITES CABLIÈRES. CABLTÈRES.i^etzte^ ,
PETITE ÉTRILLE. — (V©y. fin AB.HSp.VM petite ’Étrille, — bien pêite', p iis -
w â quvun on deux centimètres de largeur, ^ f l e Portunus pusillus, se tfeQUve
"àTa^®rbasèé'ki'iMbs sables de nos rivages .'Sa ©arapace est- bosse-
d'cfeniu \û e d 1 a- grandé étrille, ses j a t t e s postérienrés
* 8 i n t t O u Ife^WjKïiiîo et quabrâr’i^t^ÉflrKb ’ natatoires, elles sttït
hauteuWd'eSælles'^e’' sor^'enief' â‘e file.
PETITE SCORPÈNE (Scorpæna parvus, L®1). —Acanthopt. jouBs^êéfàsSécs ; 2 üor-
s^Bsrffiig. m.ax't-OEto^zC® ’
Sÿn. : Wmfgutxsso'/ Nice. — Serofanello, itâT.- 'L
Brune, écailles petites, nombreuses ; plus de GO sur la ligne latérale. Les membranes sont en
plus grandes masses que chez la grande Scôrpène avec laquelle elle a tant de ressemblance qu’on
à'Tjjjjlj.j ii’ffllM’en ’étalt-qu’un mxb^.j,;
- Slènies rayons des nageoires que la grande Scôrpène, (tvoy.
PETITE SCORPÈNE. ^Iles, pbissons, à épinds'&â^gereuses, ’âylMfeii tenpe
dàMtlIfendrorts focâiîl^k-'^p^ltes de là ^Méditerranée," mais' plng^re^ de terre
gne^u^^ande-esnefee. La petite Scôrpène se ïnoptSè’j'jat^^ffîQ^'Ia^Manebé r'tw^ra
prisé àffiaén.
PETITES CANNIÈRES. -rtfiOiFW*^ ‘$ibauSièrè enaplojreé dans lâ Maûcbé et
en Bretagne. j,5L:teAUDiisRE.) RJfiiÛps de 0m,0§4 en carré. '
PETITES PENTIÈRES. — PETITES CÀNNJ&R
PETROMYZON FLUVIATILIS. — (Voy. LasuproiE; be rivière.-) •
PETROMYZON PLANERI. — (Voy.'ÀMaocoETE.) ■