qui n'est autre' que notre Truite nôtre des eaux de sôufte vive ; puis" enfin la Berg
Forelle ou Truite des montagnes, telle que nous la connaisseurs en Ëran e e f ^
T R U IT E C H A R R j T R U I T E R O U G E . — Malacopt, a b d J a n ^ p g ^ .,
Cette Truito des anciens auteurs a des taches-rouges, sur les flancs,,, jq ,v e n tre orangé. Pmide
et lessnngeoires pectorales rouges. &ULpremier rayon est grosetbjanc. C’e s tlo u t simplement le
SalrrtQ salve linus ourCiàj^-eAéwaKefepfeyr ces mots.)
T R U IT E C O M M U N E ;Salmo fario, Lin«.;, T ru tta fario, Sieb.}.— MalaeQpt,.,âbd-.: sal-
moDes-: Long, fna'r. ^=i0m,40.
Syn. : Druite biefUm, bret. de J ^m sL ^B r ^ c h te k n \& in s lé ^ e '.
polon. — Troita, ital. — Trout, aftgl. —; Orrèt, .qorw. — Brdck, irland-— Laz^jJjçgigMis. ,
i4 rayons à la dorsale tachetée de-rouge, _14 à l’anale tachetée aussi, jui^jMûooe'wihlement,
13 à la. caudale peu échancrée, nageoire adipeuse noire, ou velt-houteille ; dos marqué--de tachÿS;
noires etsflancs de tacheS-rôuggbordées de bleu clair.,,? ,c
La couleur de l’animal varie considérablemec t. du ..blanc au vert bronze foncé qui, quelquefois,
couvre „irrégulièrement la majeure partie du dos, des flancs et.rpême d u ^ y e i^ ïe ^ p jr-^ p ja c h e s
analogues à celles des, Perches, et qui, elles-mêmes, sont-recouvertes par Jpypoiqtillé géne.raLdes -
écaillés, blanc et rongé,, -
’ ,-Le dos estfsagvfest noir ou vert foncé, aipsfrquè le dessuj
La Truite'habite les eaux-claires'et froides des montagnes jfc o u ra h t rapide, nage A ^ j r a -
pidité contro la dii ectioni.des eaux et francliit des digues', cascades, d q plus de,2imètres,,ée$ihaut;
,oUe senourrit de pbissgn à,-coquillages',-crustacés,-~vers, insectes, surtQut,.dqs.,éph,émé,reJs!-et pbryga,-
nes, qu’elle, chasse s-ûrT'èaù n t:en dessous Ce poisson remonte toujours ^gnsî.les,rui-sseau.x et même
dans-les fo'ssés pour frayer; il dépose ses oeufs,gros comme un,pois, entre lejj,,raoine3i^Mf,arbres,
les grosses pierres, etc. Le temps du frai commence avec les premieTs-frqids, § t'ppç^ppséggjpijf1
beaucoup; en général, il’est d’autant plBS'tardif qu’à hauteur égalé, Ia-régron eg^plB^qe'^djqnqJp,
jet q u à latitfide égalé, l’élëyation au-dessus d um iv e a itd e ja mer, est moins, copiéerablq^Le frai a
lieu.Bien plutôt aux, embouchures des rivières-ou’à /Ieù r source^ifltnSM nord auie"'dans-.iW jy fk’
- L'a chair fie la Truite est blanche, et, si ce nilst pendant ie temps du frai, elle
qualité.
On ne peùt-s’êmpêchér de.remarquer Ta physionomie* biutale et'saifs ^T^MbnMeMaT îlttM ,
l’air e s t .féroce,Sj’oeil mauvais. La tête est grosse'et la mâchoireeipffëneuïélrplns^avafçl'é^||&|fe
s u p é rie u r, porte chez les vieux et gros individus un crocliat'*ôbt’us,,j3lana"etî®®ïéJcpi{aig!uesllexr
trêriiîté-àntérïeure et se loge dans une cavité correspondante creusée dans la, mâchoire supsâHeuïe,
Nous avons constaté ce caractère, absolument semblable à. celui dp .Saumon becarcT.sür uriè’Tniije
de i kilogr." prise" déns le département d’Enre-èt-Éoir. L'es deffx'm'âcbiMrcs.-do'la' -WuMBmjit
garnies de dents pointues et recourbées, inégalement espacées et implantées'dans J‘rcMmixiTlfile
qui porte entre chaque, - une cavité pour recevoir la dentneorrespondante dû ' Bàût^deiJsqÿe qUà'l'e
système des deux mâchoires engrène l’un, dans l’autre. La»Jangneporte 6 Sjrjjjffi ’Senta. et'u n en
compte, trois rangeeSt.de chgjjue côte du p a la is (V o ir c^d e jssus,T
La ligne latérale est droite, à écailles très-petites, la peau de l'estomac eS trê S u fÆ -
'''Somme tbnfè, c’est’* utf'tfoîsson fort laid, à'tête lourde et emputéé,' a'forme irà]mç et rioh
élégante, dont-Ia queue arrondie aux'angles et carrée,' presque mob, d&o‘ûÿéS;'ihdi'l'uè une-gra^de -
force; mais manque d’eléganee.,Extrêmement vigilante et- êjefia'hte, la Truite .esten'iiffênïe temps
courageuse et activê.j-Un Brochet et un«k-jFruite renfermés dans un vivier se^U.vrèrent^dè^eih-
breuses batailles pour prendre la, supi éipalie. et la "première place, mais la Ti ulte fl r.itpa r - de meu ci
maîtresse. (Vôy. Temps de frai-,)'
Il n’est'pas'dopoissôrf'qui varie cMvabtage conftn'e apparence suivant leé’lWahlrél^icé*furîa
pu induire les classlflèâteurs à eiïJcréer un certain nombre d’esp'èces qui He?sSftKqUe'des variétés.
Il est encore probable que la sayiron n’est pas sans influence surla.cploràtWi de cet éaima]; la
saison du frai passée, les Truites semblent avoir la. tête plus grosse et le dos-plus large ,enflro|jK>r-
tion du corps; elles ont, en effet,--maigri.
Les Truites dé la Sorgué'èiît’'dés tâches rouges; vertes oïï'blançb'és. Celles qü’ont’pTehdJcrans
des Gâtés dés Basses-Pyrénées ont des tachés blanohes et noires. Celles-de la Salutohgê sont blan-
ches. Celles du : Languedoc ja u n e . briin.,f celles qu’on éprend. dâns l ’Alu so.nt. blanches et.frQüges.
La,couleur, de, quelques Truites .est d-’un-blqa. dlaçiCr-àveè^es'i.ïeflets cuivrés et irisas. dm ^ s t e ,
ces poissons présentent quelquefois des a'nomÆÎies de couleurs qu’on ne peut guêpe expliquer d’.une
mâniere’ plausible. Ainsi, dans les,mtJiitâgôéq,'du bas Jura, on a p fîl'g e â Truites blanches dont'la
tête e tle s •nagèolriês étaient entiSiÊenl'nÿ^k* :
LIB.CH.BÉlÜE a C ^ HOUVDIC^ÉW ÇÉS P S iE S . : .