de blé cuit, de vers de terre coupés, ou de toute autre amorce propre à rassembler le -
poisson qu'il
Autant que l’endroit le permettra, le4>êcheui?^&i^.Qinni,ç£a,,à!ja4ig4^iiH^&îv
le haut du scion jusqu' à la flot le que la longueur au plus de la canne.
La hauteur de l’eau étant, pri Mira a saÆf^tajpipénpBii éa à la ra pidité
du courant, le pêcheur place sa flotte ou sa plume, juste vers cette hauteur,
laissant traîner l’esche de 0m,03 à ( Un.j^aîk-lafesmsttenant.
à (W,0§ ou i^n^de. va>e?.o u-Ae ■mejÿresl^M^fejÆisbT-ajES.V» -
U3Be,,fèl^qu^MB^.AetéS^^^^^Mî^Lohses^&EJ,^iP)l)at^g||uj)f^dEsiJ.eB-ae etavoir
r.nn statnm p.ntfcs^ipal.y^fiyés sur la flotte.., flaa^. fetfeât toujours JjjprfaH't un mofflèht (j[e
di^fe®^nL,,qu’une attà(Mg| pçgg&OB, vient tirer ler.pèeheu&.dlMrêm
rie, et lui montrer à ses dépens qu’il ne faut pas faire deux choses à la fois.
o iS ^ ^ à iOftt.tft.;pai^ ^ s n rt(m ;t qu’il faut faire provision et montre de patience. Je
e^mpçgTuJkyuG'yPjwjfetkt public non initié.Afebl^ a |a& sa iU Ceî,grâ^6^ é t â 1^ (y ë fc .c a -
tion particulière, et coname ce même bon public est très-loin de se douler de la dose
d’aûÈresse^et'4le saaHeûfrp^\ farj K i oa m(J Af e d o^ (ykypalfeiic a MÔMfejijij ^ an jEla rfe
tout à l’heure, pour rgurgi%t il a p^M-sul y de ses i a i Mimf^'etnaMBê^e t patient pêcheur
qui a longtemps laissé dire et ne lai t a ^ M ^ ^ ^ M t e a giaaAn^le»^iM)Cr.
Si l’on .voulait cornnarfiri,t^4à^^.mfeohfes àJft-'moûAe^é^^fe.Oup, il faudrait
dire que lh r^p leÆ la mouche est uIusMffici^ filB a y e le
‘ mais que la pêoEe
comme, (>h s e ^ f ^ f f i ^ o : r h inand^^^gségaratifSirnombreux,
naissàmb 'nKn-.s'eii 11un ci i,L t e a f e ik u a i fai fe(p rH ^ ^ ^ i^isl(;.(^ltedes ffloe 'u rspH ^o p -
sons, et enfin elle produit un plus grand nombre duf e ^ni 1 Me
ta i|ïh||epieetable. «-
^ de ce parallèle qui démontre, une fois de plus,que lapé ch e à
la ligne peut]^^§ijater-à toutesiA^nocatioi^ p 1 fautva1iéia^^^4^léfeû#6iM É èi-
cessaire, t anamoKC.fe ^ lftm ftn t .en arrivant, il faut donner le temps aux
pelotes de fajre^BBBjteffet^^feanroàu i r ^ y a P^ w n la ^ ^ te ia ilfe ^fe. surtout si le
temps m i j p ^ n î ni> sp ^ p a s .abmlumesrctfÊ^M^M^hâ®*®ur n’arrive, hélas ! que trop
fréquemment.
Il est cependant toujaurs^pf e ^ rgeM ^ ^ y émiblei de persévérer et de ne pas
q u i t t ^ a - f ^ e , quelque faibles qfee M l nt augfeut ^M jk è afein tein>Tàiiffl^»Ü|ts
produits. Ils existent et font qmcette^plâ^e^yaulftieux quevlaHM^diè^ien n’I t
prépaïé. Ainsfr J to ç j ii faut apposer aMu.igraÆcdî^ |a ||^ fd itS tg f e ÉM y ^ 3^ » l#ti
uâns W^^M^e5^§4fiSPè’>dfe p ê c l f i f Imai^j!ïh®®i^qnj6|^l|^’d'p3 ■
~tëë, il f a û ^ y 'teM ^ S ’nourri^Çamo^cgs r§hjq4^aïpis par%’g^liLe'’n’ait^iiîdu ife
^ ç s f f e to u tî'^ ^ u e lk ' peutrtioîqre|? v:?
^ ^ ^ ^ le ^ a iL q j^ ^ ^ p ^ ^ te n d re s f'lu s ie u iE S ih e u l& s f maisle,§#¥ffeur persévérant
souvent. æ! rageusement-. réc'omuehséi.iijiiISâtiiavons, vu un pêche i^*$im eux
passer, des nuits entières à la-’i ë » O S s Carpesj-et gn rapporter, presque <$aafhe
nuiÊdeS échantillons du poidSid g ^ à. 8,kilogv Mais quelle patieuee.j/q.ueM'èTO'sé-
vérancej Quels-eombats'grandjosésjpe-.sorèh livrés au ÆMjlieui du-silence‘de jla nuit
• e n tté l^ tê c b e u r .et sa p ro ie monstraeuse-éîQueHe jouissance- p o u r lui, quand i | | a
tenait p alpitante,sur l’herbe, !../.' p
,, t?lxjpcas est' tout .différent quand,qn^népeut pps amorcer ; il" faut alors jj$ffourir
après ,1e pojsson efÿchaÿjger - souvent dqpkèpfïBàüs faire d e b ru it 'gtfen* marchant
, dffloeépent.
jft^i^fT|.miTi(ÿi|>riifgéiiiérth ;ÀMM_^piîffl,ute laatl:IMê^^^lpêfe.fl4au coud, c ’e s t qu’btt
aiiftM(»men1îi'ig.@nlù.w>satn s . retard .homSpfeahsrprécipitation. 'Or. il faut,
■.. i]hi' a*Vïdi'dâ'è’ah^pêeheurs que
m o in s o n e n a v a it, m ie u x c e la v a la it.
sJ^(^4â.hdïen|wo&s®iÉ^^<sfeqfon<3eE.'faiblemen>t?plusieurfe|f(|fefdfer-s,i j |^ ou d?ece-*
voir de légères secousses qui font rider la surface de l’eau en un petit cerek-iq®#
m > la fletri^^M^aientièrement et d’un
irf()u^(^îlem^'e’’!?Mh'eriséjii^jlîaa’i'iMl’i'jjjrMt>„^È%q|e, un moment... ferrez ! car le poisson
a saisi l’esche et
ËiiilHHBfc qiJ.oai^g(4te;g0t^^mzj8iÉ8g.sÉ<t»fcès--fè^ffl,e-;éidfe'lMa^can-cfe;sH'aittogMe^ ou
U l îjlldiifï'mts (fU^ÿt^S^"§ohii^tji)rHn(j"àtL’'fiÿBhe> en venant la reconnaître tout d’abord.
j^ j |k q [ i ï è poisson attai | . u q j j f t ) in va râfefet â«|e%le 'poisson et
avec la n a tu r e m èm%^.,é |ÿ |S e h ’e,1. i
On peut cependant formuler, comme générale, la" àé'^-e » suivait te : au ver
f^ ^ ^ f e lp S tifo ’tji&Jïi'ajfyiande,’ neVpag<ÿ%.pj?'esseri > attendre
l’entraînement à la boulette, au fromage trempé, à la moàpheq
à la cerise, au i ihTiipjiîil\iii ifrinix^f fefl^^ifi^Miiininiililiit^^|tiri^jt|TiTi<nf[ nt0Trrjii Trmrnrn • fiu
• |^u^™yÇa||^|fe<îi»euii ^a>’au printemps |j ^ ^ i s i t dehham'eçons moyens :
qu’en été par les eaux vertes, claires comme le cristal, il faut de§daa^â^®-,tiîès-
m'^%teè>hetji^^!®tés. sur- des; fliâ ^^aj^sé'etshî^^it'possîblë. À l’arrière^
saison, le poisson a toute sa force, les eaux sont troubles et fortes^qatiehoisihctes
li irin-fefîlîi'ch'. que-l’on monte cependant encore le plus finement possible.
‘jRfAftsquie itbïs^el|q daus'-un^éfeVibrfeidout le^fo^^eStïxapide, ali il-uiÊlaisser la
liiim M &îtéB?cteôM^BfjfeSjl’.eau^^asfevflJ^èiosrsrau-èfantre» dd1 son*coup, on jette la
lrgifè^^ifefnont ' d^irntmouvement de poigkettqui la fait sauter légèrement et sans
b^^|pipltei^bnjp®ssi^le’ h faut attacher au filungeB de plomb pour que l’appât
iU'ipSfflioruwsiAéimtr;e?aife:reaiji5aÆt au fond., Gh- suikalursi'ola^flotte du bout du
.l’if.fflioondan Usa mTOwerihftaindaritg. puis, quandf'ÿp arrive au bas du coup, enc
pM Baest:?àfedire àj-la plus-, g®afti.êi;îlislaEy3e1,'ôh peut aLteindrojlenbrasÿ on^donne un
iSBffl^pÿi-g'U'et. pour ferrer, et la ligne fse jSj^uxh rejetée en--haut,du eoupj^sn
azM^poq^-recommencer... et ainsi de suite.ï^^tefsorter-d^^^B paraîtiià^eau*-
extrêmement*fastidieaase' à1 cafogerde -si^jmouvement pqrpétuebiîJe
-'iiis^^bur avis,1 et préfère ne pas pêcher aÿL;é^)qp dans-Iefi;rivièTes rapides, si je ne
p^g^puvep uàfi^^çnàusfoù l’eaur n^ïqe,-force, pas à cette .gymnastiqueperpéthelle
ebmonitpne..^
jjjf^M^pojnbreax pêoheM^je<la,-Siqine à Paris-font cette pêcbe avec un a cbar-
netQfepjg.t pa@jiîp&rsévéranee,qui n’ont jamais .pu. s’exphqueJ!ap,èu4 moi, sur-tout<si
piètres résuitapiit|g$Le léà® rapporte dans le^tffebjftgide la
grafi^j'e.villft.-
P Ê C H E A U F U S IL , (.y o y . Müxet.) ~ ^ ® ü s 'aV o n sy in d iq u é au mot Fusil
1®.différentes;Réglementations, s’appliquant à. ce genre de pêcbe que, dans quel-
l.bl^oe.partements;, pu -regarde comme -prqhibé, et nous avons fait vqiç.l’erreur dans
laqnelt^lesj-1'égislateur-s.-étaient tomèé&t-.A; ce sujet. Au -mot Mulet, nous avons rar
coMé^tun épisode de la pêche au fusil telle?qutelle peut ê tre jra tiq u é e sur oes.pois-
sQ^hg passage, pour lesquels, au moins, on aecorderaubien qu’elle jouit d’une
iun,pgnjté- ab,sphiê.
„ Cependant, ço-jçnme'nombre de .propriétaires §e4v^iJl qbez.em, en-.lieu ^os»