ü AYANT-PE0.POS
partout et sans relâehedatts toute- son étendue avec la plus grande
économie possible, et que le moindre des produits utilisablessoit
utilisé. Si l’on pense à l’âecumuklion fatale des générations sans
cesse croissantes sur un © surface inextensible,- on arrive à s’effrayer
de l’avenir et à se demander anxieusement comment un jour cette
terre, dont la fécondité est si limitée, pourra fournir le yivre' aux
hommel pressés a sa suÉaéeÀ II est"donc prudent dë proclamer dès
aujourd hui, pendant que nous avons autour de nous encore un peu
déplacé libre, que l’hommg^e doit-négliger aucune des-ressources
que la nature a placées à sa portée. Il faut,'dès.aujourd’huif que nr®s
enfants s habituent à ces considérations - économiques,,^ét qu’ils^
apprennent ^compter de prèsefà tirer parti de tout;
Otjî^i ncteaportons-nos regards sur l’Océan, domaine d=es
eaux qui nèus ëntoureet dont les mille ramifications^GoWrentde
mande solide, nous sommes amenés à considérer l H o a m e une
autre atmosphère plus dense ,qu# celle qifèUnoufSj^espirons^et
à reconnaître d eju itç que' bien plus de terrains ^sb^soumis au
régime de l’eau quiàm«égime de.l’air.
Si fefcd$rnierelonÜeur culture, les premiers doiventl’aveiê^&î ;
or, la culture de l’eau, c’est, comme sur terre, l’ensemdÉé^E&entetla
récolfeÿ c’est la piscifacture et -c’est la pêche. C’e f f la pêche, surtout,
qui, s’étendant suri une surface troisréu (quatre fois .plnsævâste
qucla terré solideyalevrait avoir uneimportan.céjaùtimt dè fais plus
considërablë.rîOr, le contraire/^idlefaux yêüxb quoi 4iéwt-un pa-
reil;état de/choses^Évidemmehtjè ce:,que l’hommp neqeut.q®é,
flotter à la surface de» ees jj cba;mps»liquidès,ij1sans ,en isondèr les
profondeurs.» : A je# : que rrimmMse »végétation m a rin e «cééee$XQiie
l.’organismë; partieulieivqui habite autour d/ëlley né s’adapte que
difficilement aufebeifiiîisjde l ’lmtammn|
Efeèpendanfe, préeïamons-le hardiment : la mer idé |t| unÿcrary
nourrir la terre !,...
une^infatiêable prod»igalité, qde danslees dhafiips liquiiàa®ifitiâ(des>
A¥4 i-*^PR0 ?.®::i. VII
pr-ofpndeurs .inaboïdah!^! larnat®i»î:travaille sans- cesse pour
l!homme..drâce jàuSa bienveillance féconde, les poissons et autres
a^i-mau^ïde l ’onde naj^sen,ty.:créi^eïît et multiplient sans relâche
d’une manièresivprç^^ieuse qftfôa®M#ommes;obîigés de nous incliner
devant ce,s migratioji^^si apparitions',»!ces< envahissements
•td#nt>le:nombre effla loi sublime nous- sent inconnus.
ÿvjGQnstatons .jenmême temps;1qüe^;la.; Végétation presque com-
jdèff dej k 'mer-,, de^#ewf£$ et %s k ’es^ne nous offre que peu
4e,,fkntesifètde prodim^an^lilisables/dkeitfment àuos bèsoins,
îma^que lef n ombres'? çneor e rosir Oint deiCiHesaqh-ii^’appli quen t ,
§artlra^forn^ttpni s ^ u x ^ ^ s llm i d#; hotre civilisation augmente
SéÿaqBour avë^S^p«ogrps dê4^seienç^>lMis somme&doiie-ame--
jaés:iàrce.B^idépryfe,''ipoisson^;]juçqqk'pré^tj': êiunme là jviaie
r^olteM^uej nous offre, V^ftus.. Mhisj«ô.Mr^eolte;.pousse sauv’âgé,
ineulte>F,au hasard, f^'l-fan peu|t*sç3sewilu^§^'hi0t pour indiquer
l ’etos#mfrl#i d e ^ i s *.ihconnu^a qui d l f ^ J t l u pr«duetionj®t k»dp&
trmetion de»«a<^îétrés,! j -
L’hommé1 cependant, doué>sur 1a déréc d’u n e faculté »perfectible
dontr ilm ’enteevo jhpag);en#0|e douterme^«idait comprendre, I dès
maiutfepant, le dommage; querffe'eà^^Hltmt^b dô délapsemënt
npitY jjustih1'é,:#t ëfftpoêg1 temps-ci, <lfdfai>Mes mais, prér
®i eux-efforts faits] dans 1a vo-faude reproduction artifi|ieUe;#t-d’aé-
elimatation cfasv.poissomë ’utile)Sîq^auj%d|pul^ijKisyefforts,,de la
Spien^euhumainêusont encorcqpena (te a1naSî,umai#âl faut en Constater
la naissance, parce), <|§é le#-apparition .marqiai^ pour Vhm
manité!$& besoin le flflfiv e r fëudomainmaqnaüque. ( ,Nousj n#
dditttft pas omeltre'dfyt-§.Qu>fenir d e§ 4 e s^ ï^ iro n om i.q n # s, des
richpsdtomainjSs, quoiqnoteïpremierp^sQipa'pt^iped pour' nous-,! eâr
%|d4e.pbiLosophique;.^générale,'da pérffsglfoîmement de Thuiapfn
n i»|éf n ’ë f i p a s ^ m o h i l e ^ v i
^$|ous|$§nons, de l ib r i i f l ^ v a g e s
danstle^^aux ; q ^ t jk caps® 'des.différenjtsîmpde^de pêche, adaptés
à leih!§iipstinctS|\8S%ùr»genre de v ^ àibwfiv halo lati ons, Ofai Sans