vent la suivre au loin dans ses évolutions au milieu de Sombre naissante, le tact de
la main avertit bien vite le pêcheur que le moulinet va partir emporté par un
poisson qui a mordu.
On peut, à ces heuros-là, mettre plusieurs mouches à sa ligne, en les .espaçant
de CT,ISA 0m,20, etsurtout quand on pêche le.poisson blancttc1 surface, enprendre
plusieurs d’un coup.
C’est aux lavoirs, W& foé», aux abreuvoirs qu’il faut se rendre : là oup&p'fisson
espère trouver des grèves ^plates, des pie®e%-peu d’eau. Pendant le jo to /w e ù t
pas osé s’aventurer en ces endroits, car rien me l’eût protégé sait qaëf depuis
le matin, une certaine quantité, de nourriture a dû s’y amasser sûds l’abtidn de
£eau, aussi il y va vers la brune, et le pêcheur aussi......La'pêchq yesfcifâcite :J8
plus souvent les berges sont bien découvertes, et, de plus, la pente du rifeg-e permet
de tirer à soi, sans efforts, le poisson que l’on.a noyé. On peut même, en prévision
du manque dépûisette, seT monter un peu plus fortement sur-k %Ke,vejgbrs
agir avec moins de ménagement, car, au crépuscule,4e poisson mord ak£ement, et,
voyant moins bien, il avale de grosses mouches qu’il n’eût point a ttaq u a s1 pefc
dantlejqur. * .
Q u a n d r o b s o ® r it# s e É ti t7 il f a u t s’a r r ê t e r t i e p o is s o n n e i ^ i ^ î # ,> © t : r t e o y r e du
p ê c h e u r e s t in u tile . I l e n e s j« d e m êm e q u a n d ^ e à u s e ’s t'tk > a b lé e ? p a ^ » e«^m%6i|uel-
c o n q n e i c a r i a p r em i è r e c o n d itio n d e -la p ê b h e à l a n » u o h e .w ^ é t l c M l ê ©uwiam-
e s t q u e l ’e a u s o it iï iE p id e , a fin q u e le jfo is s a n 'ip ü is s e ytQMAfy»* M P * •
Qn parle souvent-du point du jour, du lever ■ du so'tei'l’ ollSMëÇfâvoràblfeÈ^cette
pêche, il faudrait ajouter : en été, et encore-dans lès rivières mortes-, et la
Perche surtout, le Brochet xm peu, etele Gardon au bl'é, Teài» ip m & Æ te& k h
mouche,: ce moment n’est généralement pas favorabïe'TPÉeSsqû'e i® é ç rf^l® p in t
du jouT7 "en été; est un moment de calme? set 1e temps-rfoffrdpas ^ g ^ iiS - I ^ e n t ;
le eiel est «ans nuages, Peau comme un miroir, rtemè^ieaÉsie daosSl^Æiiû'e.»
le pêcheur fait un mouvement, le.poisson, éveillé'âOng'-sfOffl;OÊl5'talV• s» ^ ^ ^ e tp c
eaehe .... Il faut attendre que le zéphyr viehneen aide I«^@MÈ#,*'W-pfêsqi»te’u -
jours cet effet s lieu avimt midi, de neuf à dixïheuïes -puisItMverd^ ^ €jge%s quatre
à cinq heures pour laisser une'douce et calme soiréetermin?e^%i«Mâtejbûw ‘
. Si le vent ne se lève pis, il faut alors pêcher K .
touffes de roseaux, sous les arbres, entre-lesrracines, près! dfesl ■
feuilles ; de nénuphar. On arrive àremplir son filet; mais -il fhutfftn» p^|P 1| e,
. beaucoupff’adre^è, et l’on prend'peu de grosses pièces, elàfbnt%à%# w K n d s
fonds d’eau. Si l’on pêche la Truite, elle a gagné le-dessous d « ' ’Îfoch^;d-’uc
pont, et à l’abri, attend et Jouit <fe la fraîcheur elle est là e b ^ < # » |m e . K
n e peut y'lancer sa mouche, c’est vrai, mSisatfr peut l’y la isse r^fo û fe^àù '/il»
Peau...... On la fait alors remonter et redescendre quand êl-te^e^t î h S M ^ ’sous
le pont, et làt sanSTden voir, o n -sen tie poisson se prendre f
plaisir de rapporter de très-*belles;pièces. Ce ne sera pas Wdpûki s a n s ^ i » a * |
sans danger, car la Truite est follette douleur'eti se précipité se
faufile entre les roseaux, südfc les racines, et emporte ’la ligne û'sa suite... H I N
heureux quand tout se termine sans bris ni üplheur !......
PÊCHE AU PASSER. —(Voy. Passer [Péché aiipf&'
p ê c h e AU VIF. — (Voy. Vif [Pêche âuJtf&iW - fà ■> A
PÊCHE AUX CORDES, LA N U IT . — ■ ( fW f r fm m DES LIGNES EN
p ê c h e a u x h a m e ç o n s . '— Sons Ce titre sont comprises toutes liés espèces
PÊG'iJj DANS LES PELOTES,
de pêcheià la ligne ^êinhmte, fisse, vohètê’/ e ffc. Il est à-remarquer qu’on fa itk
pêcbê aux hameçons sur touslestfonds, même‘-sur les fonds rocheux, qu’elle est praticable
toute l’année;/ par jtdusnles temps; et'par tout le' monde.-G’estf celle qui
contribue le riioms destruction du'poisson. Elle ne dérange pas, comme la
pêche aux filets, les fonds ni lôspb!erbiepsu0Û.de i poisson -dépose presque-toujours
son frai, servent aux »alevins- de refugeléôntrelee^QEUFan'feet Contre les gros-
ses’jesp'èèls. quiles chassent et les tt#oréit.- g
On prend, avec-' ôes’ëngfeis,' toute espèceqd© poisson/? daris4es-eaux douces
outreylCS ttoüjo^les'Ablettes; les Épertasrf^destLeèhi'e^èttles Gardons, Méprend
des'Brèmes, des Barbeaux,(ttés-Lottes, -des' Anguill^'A-lPerchesf-dSêi Tanches
desiB|#hets;(ûes-- Gardés, des Truites^deAiSktfmons^et quelquefois des Estur-
geqn^'Jÿc.
A la mer-, o^pEmtt%aW(î©S2p«l®)poi'ssons plats, tels q u e lle s, Plies, Barbues
l|maii'dês|<G^elek, Turbots, ieM6r]âû’
llT -h ^ ^D O ^ d e '.k Vjgylêpk Vive,Ue. Grondin, hfciBaûrif? lés Mulets la Morue,’
lés G h®® de mer-,, eM^gfôftff {.
M m m n '. .^-pèepmsdaûfces d(fe,‘ex p g 4 s^ ,n ë^d p t pd-s- s y n o L ^ S I
qqppd l’o ^ |i ^ t ^ la m a i n m ^ g | ^ 1mié* d ^aSgW^ J^ ^ p j aii@îl
d l t W Ê Ê Ê Ê Ë Ê È ^ « e ; ! '4 u 0 i ^ r 4 â f û M t t ê ^ a h ’dveàiftS â^ eïperche
o|llp|M'n-tre' bois;,!jnlaisLâ%|sÿgl4|^^t^onvenP-feât^ÿec ‘ufiS^èkiïiifud ën latin a
jd noj0a;
Eh h m | W ttM à,J$ 8aain\ une'Mgrie 'garnie âè sSSUhateie'çôSsfîÊb dit
■ B E H *rla-‘lignp.\^ e ld is |fe c tk )m è g ^B à o u tiâ ^ ^ ib llp ê y h ^ èB râer-
( • » mue B n oe p '4 ^ m m & g a ^ m c h é e ,à une pierrefdans la rivière- H
diffl)®Wd|pû><à un -obstaolè qûéïëomgü^«^
A t e ^ m f e r ^ ^ ê b l e ^ r d n d 'è jn o ^ e d i f f e ^ n B S ivanl..l,
desMWons p a » & P r t o
^m m n ffe fê ipA lrn g r é ; Æ dfinS’ le t a pay s Four-
W È M etc,
cnees à une pierre-au bord de la mer. Les pierres dont on se sert pour caler les
cordes se nomment aussi Câblières. La grosse CMMère atta-
■ i d.empilési^nrtafafles
auÏ Ô > f ridrë ^ u ^ s à b ^ i a v é ï y t t é y i ^ ü i i i ; ^ ;
1 t ï fedeS pîquè^ ; nomme Vendra svT-Pm§„ -a-
I n' \ ^ bl^ e ë f^ébn^ttë<mer-qm>^feiMbii eûtne dâtafeSôx : peur en faire
M H M c t B H W m M ^ dfetàncb, par H W H B K ge qui
9 B B H est fa c ile -dA ^ re n à te -q ^ k is e aM aux Bgnhs^lus ou moins
malnüent la tessOT-®-Plus‘oû^0Îü4|piéigéef<îaûs,l%m; D’autres
flf tes sur la maîtresse corde, et on charge les empiles de petits
oiceauxde plomb : c est ce qu on nomme pêcher entre deux eaux, ou à-la Belée
BA LA NM 2S,n-SS ^ ' aUÿm°é t e ^ te : Brochet,PATER-NosyiR,
PÊCHE DANS LES PELOTES. - H R d a lle s pelotes séfait surtout à