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 chées  un peu  déniais ; dents recourbées et longues surtout il la mâohcùre supétieure^s^s^ishoira*  
 n’àpas d’écailles, ce  q’àtjfes  sépare des  ifarbiers  (voy.ce mot)., tp^flHBA^teMrlenr^ v t p t a K p '   
 très-petites. 
 MÉROU^BR^MêbQffi se trouve surtout dans  $ r t l r 
 de l’Océan <jui baigne les Lanrlgs,  de l*Adguf rà la Gironde. Rarement/plusImffiorH  
 Lçs points les. plus abondan^^jnt SainirJearth^Ruz et Biarritz.  
 iUO* ôn*l|e-.prend  ordinairement  avec  des  palangres. ( Yoy.ïe6^mï)!?@#QÎqde  ce  
 poisson habite volontiers la haute. mert41 -s’approobc*d|s.rivages en mai et juin sur  
 lé f côtes deRi-bvencé. La chair (gt bstilpèe en automne;  elle a u^gOÛ^^^wAique. 
 J  MÉSAIGNE.  —|y|j!ny. à b l e t i e  jppONexoÉE.)  ; 
 MÉTISSAGE DES POISSONS, — Le modp.dQ.'Paprodu'ction des!poiSSonS par  la .ponte  
 isolée,  et la Jjépondajion séparée  et en masse,-.faTorisoilarform^tioisdps>métis,jet 'quand  ffi espèces  
 sontjj tr^sj,vQisiq.es,  comme  dans  la.très-nombreuset'faïnille  des. Ablas t—- qui frayent  au, imAnjie rno-  
 ment— on  ne,  doit  pas  être  surpris  quejertasfsj jodivîdusSprésentenfede^MsjqtièîgbiEÉjçértgus  et  
 difficiles; à  détermineg..^-. 
 La Carpe produit des métis avec le Ckrrassin, la Gibèl.e,le C'Jpfibr'âor'é delà ChfnéîSIméngle  
 et l’Ablette se croiseflti | 
 La Truite communejeHè  Saumon,  la Truite gMmc^é^el; vice versd,  produise^T^eg, raglets. 
 On  cité même  (docteur Fraësj  un  exemple  de  croisement  jduAe^à^.majffi  .uniittdeuy  h*  
 dividus de familles différentes : la Truite ordinaire et  la Lotfei 
 La plupart  de  oçs mulets  sont’ inaptes  à  la  reproduction  et  cette  grande jwdc'la  nature n’a  
 guère'ptes -d^xeeptions dans les  poissons que chez les arjimaux diordres'pliB^KpIësl^Aî 
 On. cite,  comme féconds, les métis^dpJiespèce.des Carpesientre-ollfs,  et 'dêux ‘ d’ê^OnàWes  chevaliers  
 et du Lavaret. " : 
 Ce  sujet,  encore  peu  connu, n'est  guère  étudié  qu’a l ’é ta t de  démonstration par  les  pisciculteurs, 
   nous  en  parlerons  plus  en-détail  dans  notre  seconde partie  :  les Grandes  Industries  dps  
 eaux.  u METTRE DU FOND.  C!est donner' à «aligne, eifi^ito'fldtte  
 une  longueur-suffisante  pour'qudïee  dernier tquëhUlIppihÆe la  
 aussi : donner du fond.. 
 m eu il l e  BLANC.  -^Nom du Mvlet capiton, M S iii'. 
 meuille NOIR. — Nom du  Mulet cKélontr®P Poitou,  décrit p lÆ ^ ^S a e l, 
 MEUNIER.— On  donne.en quelques Endroits de ljraffljS^t'S.iiniti dfMuiitpiiSg  
 au Chabot et au Chevesne,  quoique des deux poissons  n aiém .aüj/jjaVpôiiit dWi t —  
 semblance ni dans la forme ni daiïs  lesjmoeurs,  mais il  faut, remarquer B *®  IR  
 appellationln’est-pas simuitanée-dansrie même lieu. — (VCpjBoesNEr) 
 Le  nom  de  Meunier  s’applique  même  souvent W T y g /au   ïtoleiurl^  à»  
 Nase, etc. ' 
 MEUNIER IDE. — (YÔy. ÏDE.)  - 
 meunier  ROTENGLEr-rOSom. donné &  YAble  rotengle,  q u iSE ^ eB Éi  
 communément le-nom de Gardon rôugè.  ' 
 MICHOU. — Nom provençal du Muge. (Voy.  ce, mot.) 
 MILANDRE (Squalus  galeus,  Cuv.). Chondropt.  à branchies fixes,  plagiost. Long.  max.p=  
 2  mètres.  .' 
 Syn.  :  Commori,U>pé^èney-dog^_zx\$. 
 Les  Milandres  diffèrent duJRequiiî par leurs  évents ; ils  sont reconnaissables à lèTïrfquseau  #   
 longé,  aplati,'et à  leurs  dents  en  scie, seulement sur 'WéSt^éii'érïênTl Ce  poisson  e «  asnoffre  peut-  
 être plus  vorace-que le Requin,  et on ep a  vu.un s’élanget-sur le.çivage  à  la poursuite'  
 qu’il avait  cherché à  attraper dans  la  mer  et  qui  avait pu lui  échapper.  Le  corps  est  fusiforme ;p   
 peau non rjjde,  la  ligne latérale droite ;  les .ouvertures branchiales petites, placées en avant  dM.pec-  
 torales;  le lobe  supérieur  de  la  caudale tronqué  obliquement. 
 J   Les  femelles  fonWeurs  petits ‘en maPoa  jubi,  et ils’suivênt  laanère jusqu’à Tannée  suBbo^ 
 ÿ ^ O L D   M É D IT E R R A N É E .  '  S il 
 ( i  SquabOvBST'l  J  fypla-.rrir. m q p iisn utei^inu  Je  bqi^&JJleUjAj.o^iUl^^oiijjXCirps.^laijs., 
 ./SrlSnSlongiIi uoÆCitlLè-fiftPèrft. i cmni'i ie >ur  les^ntes^-llit-tuene-  nûbfflfih^-rbimbrpux  dégâts. 
 MINAS, g?  ili'ej pyojv? WrLrifffiffij 
 MINUTUS (C rO b l u s ' ' • (j.cÀÎïe  e*ühOttP.) 
 MIRALET OU MIRALLET  . 'HAiÉ^^Slf^jn qu'elM'1p^r®! 
 i r o M g 11 
 MIRALETUS RAJA. A' (Voy.  r, jgNwSP 
 MIRANDELLE. — 
 MIRQUE. —^ m   à ],a 
 misg u rn  .cobïtis. 
 MITRAL  • 
 MOENA JUSCULUM.  o\ t RscQ.); 
 MOINE.  Pêl i  ’hô’n? front 
 tè tpi 
 nrMn l ^ i ^ ^ e  d ‘.ous^rndij-jnen,  . 
 populaire  mer..a Vv-^ j^ ^ BWi.wSwj 
 MOINEAU DE MER.  -^(vlijv 
 MOLAv(Orthagoriscus>.  -^ftWy.-Moi.E MÉDiTEKRANiîEN.|^H 
 MOLAIRES. — 
 MOLLE OU MOÏÆ. — WiffirlniiM^vugÆ^ ^ l d i   11 
 1  j*, ‘Ci®s5^ 
 MOLE  (i^me|,  OithacoTiscuSj-.Si linyid.;j,^^^^M tn'-i-Uÿjhçu  
 ma liuS t  imli  ‘■aiis  eu 1 iiP^jMwa^Sp^OütfedfV^ on tu 
 :fflS B o K ilp  e % i n ~ d b ' I   pbintuSC'VnSrijiihfdjit  nul éü.miiy i r o m W B  i " ^ 
 uiu  j  UiClni  péau._  . 
 MOLE ÉPINEUX ,0rthagoriscus  spinosus,^lijuPh;.f,’:^ ^ ^ ^ ^ n if f ^ v P ^ ^ t id .  Long..  
 max. =  0m,80. 
 Ce môle, .i)Kj.s. lû bt^pÆl^pçftî vu 1 aairc^S  iÿ".liETol i@ ML(RAçniLCt 
 ' ieetse  faire  prendre  cachiupdfe. sur  les  côtes  de  lirej a gu c e  t  Sa  <-on r 
 -i-mluîrlaSjï&'u murojncdjti'rrâuci'u.  A’ 
 MOLE MÉDITERRANÉEN (îlrthagoriscus wla,^^itidij!®H^™BaT6<js: ulud^n-  
 !m S .‘ 
 Syn  : M:&e'àiit,^hoi:t sun  fish, a6 gk‘M 
 Ce  singulier poi  s'pt;qpip(s(  quelquefois 150 kilogrammes,  a  le  corps  comprimé  latéralement  
 et  arrondi  de  te lie  sorteittuiil  a  Tair, d.’une  grosse^ tête  de  poisson  dépourvue  de  corps.  Sa  forme  
 drruiii&ittS^a- fuMopgKP,sson. u;.Q^sVqlgaire dé •p&isson-hmel  Le  dos est Mur  gus’j b l e u s 1 j. 
 ■ utu^ j ivrjtAiÿn  pUiinsuj. ln.dirpTjfJ.lyajet.deyfan^ient plu.- {.laifs^njgffl^nhie  Le [içami/jl.  
 texture solide;  la nageoire  pectorale  e s^ o g é e . d a 1 ‘  C =  13. 
 i^ e s j^ u& J s o ^ J ià u ,g r is   avec S Bm m o t t T■ 1 neJi'rjjÜgjn ^ ^ ul.eipi)  
 pille. 
 MOLE Tvrfrnr r TiyRTt akté f n . — Mnlgi o a 1  grandeur  
 PM 'f®^fflfibl%4!rh>M èoùGh'fe trop p’c® fê ^ k r^ ti# iiÈ ^ Ê 6oequfeiM®;â>girauds ani-  
 rhl^ ç 'CTmtfs#Ttdt]mt aüe^^betit^joî^^ramTOll^TOes,  de ters  
 Lfes,.s(/jaa!I|s et quelques  q^VceÇ,lui font sgc^, la  clias.se. L.irôjntu.ff !<’ mépnf^ffAr  
 sa rhaiP.>*gr^sse et visqueuse, répand une odeur-Tléhri^qédb 1 ejqu’eiK cijnsiy .e^mêm.e  
 été .préparée. On diteepemjant  aM to i foieû.^L^‘^m l(i..^af|ju1qw par  
 la .cdj^oTL^mLriünl  |qtirér  de, l’animal  èniter uAéÆ^WamKRla'hhins'  
 ffler^ ^ pn' prétend  que  le  cùrrs. (Æ/^pioisson  , s i n g 11 ker .^b rl ^ t^ ^ ^ ru b s c  u^é,  
 d’une belle couleur açgentée et /ÉumlnraÆlM.n^^nl ^ ^ eenf,  V|~ 
 liSikaage. pendantJâ.nS , j  à  la surfacftrdfeW{an -qnr^Iei|nrendraj|^m|ont)ers »uqut  
 l’image réflëctae'4 ç4 ’a:st^@^^ ^,binais  il  parait jru^ fe ÿ d^ u a néne-' Àe|t  pa.s