182' G H ON D R 0 STO M E.
A r t o fa n g lm g , p a rT h .B a r k e r , 1 6 5 1 ; N o u s f e r o n s - r em a r q u e r a u l e c t e u r q tiè la p ê c h e ,
e n F r a n c e , e t s u r to u t l a p ê e h e à l a m o u c h e , e s t b i e n p lu s m o d e r n e q u e “ëMà,' p o u r Atî&sv
C H O N D R O P T É R Y G IE N S A B D O M IN A U X ou A B R A N C H IE S F IX E S .
Le mot Chondroptérygiens a été formé-,-par Artedi, des deu* çaots grecs yévSfioçv.cartilage, et
mrépul nageoire; on remjdace quelquefois cette dénomination par celle de Cartilagineux.
Le deuxième ordre de cette division comprend les cartilagineux à branchies fixés, et, dans la
première famille, le groupe des Raies et des Squales ; dans la deuxième famille*, le groupe dés Lamproies
dont les petites espèces nous servent d’amorces pour lés poissons vqraces. ^
Lès* familles de cet ordre se diviseBt-ainsi :
1* Sélaciens ;
2° Suceurs.
LesPlagipstomes qui sont, sains Contredit,'fes^-plus remarquables des poissons-et les plus élevés
dané l’ordre naturel p a r leur organisat&h, paraissent remplir au milieu S^s='et(u3rle rôle ifùe-jonent ,
les oiseaux dé proie dans les airs.; Ils ont, en général, été doués p a rla nature de moyens puissants
de locomotion et de force quiles rendent les ennemis redoutables de-tous l'^Ë tre s qu’ilfe-rencontrent
habituellement ou accidentellement dansjés mersr.et,A to m e eux, la plupart n’exercent pas leurs
déprédations seulement dans'an espace restreint, mais àdeadlsfàncexcénsiderables, émigrant même
le plus souvent à la suite des bâtiments et des bandes dé SoomBres dontïls aiment à faire fe rÆ ffte ï
Ces animaux ne peuvent dimèlaïâais être regardi-s-noirnrir sédentaire-,, et-nul-ne peut affirmer qfc ifijgjJ
espèce encore inconnue aujourd’hui su r'u n e côte .ne -sjï présentera, pas detâain, pQ^.-eto'rép arti r
presque immédiatement, et n’y reparaître'qu’à des intervalles irréguliers et souventfoR ânignés.
•Cependant, si la plupart des grandes.espèces sont presque complètement ■dpsmopolitjy,. la nature
semble avoir voulu établir une analogie'de. plus entre les rapacesidesmerS èt les rapaegsï®s'alrs, en
créant, chez lesSpremiers, un certain' nombre de genres, tels que les Housso&tcs, lés? éSig-i^rilats, les
Émisoles>qni,s à :l’instar des Faucons, desBnlards e td e s Épèjryier-s, ont un habitat nln^ ^ ^ mivît ; et,
—chose plus surprenante encore, — de même qu’il existe des'râpacès noetqMiqsiparmi b vmTv" <m\, les
Raies sont également des'poissons de proie m» lui nos qui,connue h sUiimetti -, 11 h j^IiJiiiingr“i'nM.Bh_t
n’abandonner que rarement leurs airtres privilégiés.
C H O N D R O P T É R T G IE N S A B R A N C H IE S L IB R E S . ^ ^ lô fu u ïiA ls . Premier
ordre de la deuxième série, ou poissons cartilagineux-; -
Cet ordre contient le genre Esturgeon, qui, par la tête .et.les épadlefhs&^^^^forme^lj^p^sagé
des poussons osseux aux cartilagineux. Ce poisson ne-se-prend pas*à l.i l i a n e , i r û n l ^ M
-filet. Les deux autres familles d'ëTietmîre sont dans le-même cas. Ce. A i t ;)' > aiuum-, et
Chimère, qui nous offrent peu d’intérêt.
C H O N D R O S T O M A C Æ R U L E S C E N S . —’{Voÿ. Chondrostome bledaïre^ 'A ,
G H O N D R O S T O M A D R ÉM C E I. — (Voy. CéONDROSTOME 6e Drême4
C H O N D R O S T O M A R H O D A N E N S IS . C?oy. Chondrostome BtfRhône.)
C H O N D R O S T O M E [Genre], (Chondrostoma, Agass.). — Malacopt. abdomT’Cyprin.
Les Chondrostomes, par la forme du corpsr sont de vrais jaieve s ^ y m a is^ Ie ^ jffin li^ e st si
différente qtie.ee seul caractère sufftfràrfi^ l ù t-séparer. Les lèyres Ætisson^mé_\e^Mt.des
plaques cartilagineuses d'off leur v ieiÆ e u u ^ in . scientifique. L i botREe' ( - f î rm ^ r .- a l e »1 m d
sous, ce qui leur fait uim ;elpffce de nez pToémiflênTtj.-d’btG'oech?'vient leu r’ nom pf?pmaîêev^àns* ï'rîdî-
treditlîTmeïlieur dés dëffiÉ? Les dents pharyngiennes sontssnf-un'sedl'rangî- GeïfSiileâf'A'a-re.des
Chevesnes : elles sont 5, 6 ou T, coupées-en biseau, formant une pointe aignéVet sans dqqteltiffle.—
Quatre espèce».en France, daiis le» eaux-de l’Est'»
C H O N D R O S T O M E B L E U A T R E (Chondrostoma cærulescens, pia^c.),^— Malacopt.
jibd. Cyprin. Long. maxc?= üw,2é. ' , -^4? J N H f lH h k L vqjh^Bfa^wStÉwHliMUiî
. Très-voisin du Nase et ne Valant probablement pas mieux que lui comme chair /■‘côïp's plus
épais, à reflets bleus d’aeier sur-le doS; écailles tacBètées de forts pointa noirs, aussi autour de l’rêil
e t l ’opercule. Boache en croissant, plus grande que chez l’espècè type, et placée également an-des=ous
du museau. Lame cornée très-cOurté à la lèvre inférieùrè^Cin^petits poresAçha^pie.poia.de la-houéhe.
tt^Ligne latérale, -58 à 60 écailles. D, grise = 3 «impies + 8 à 9 rameux. A, uü i>eu jau n â trè= 3
simples 4 -12 branchu-s.
Se pêche dans le Doubs, TOgnon, é J e ^ A
C H O N D R O S T O M E D E D R Ê M E (Cho n d ïo stomr D r e m ® i ,J h ^ ^ H - Malacopt.- Ad.
Cyprin..Long., max. " J -, , .
’ Ressemble beaucoup au Chondrostome bleuâtre dont il paraît une réduction : le ans eétr plus
— i ■ ■ m »