
 
		cervicale  ni de  sacrum, les  vertèbres  sont'toutes  qrtioïïléeâ'et .présentent, ,;sur léêdèaz faces,  uiqè  
 cavité conique qui  les perfore  souvent d’optre  ep outre. 
 Les apophyses épineuses  sont longues, et  les apophyses transverses'géuér^emen^ moini|,déye-  
 Ioppées.  Les côtes manquent quelquefois; maïs le pluirordinairément elles  iw®l’ai)d‘oraen, 
 mais né  se  réunissent  que  rarement  en  dessous ®  représenterait  le  siemum.  De  petits 
 stylets  qui pénètrent  dans les muscles partent  souvent des vertèbres  et des .côtes’;  de sorte-quelles  
 poissons, suivantl^espècesront plus  ou moins d’arêtes. Sur la ligne mé<|:ianq)dq corps, qn remarqiS  
 li’autresjpeüts os appelés es  inierépineux  qui  sont-placës  à  Extrémité, des  apophyses  éplneuses'Ct 
 servant  de  base à  l’articulation des rayons des  na-  
 [geoires ;  ces  rayons' sefdîSftÂgiièfif  en  rayons épineux,‘ 
 formés d’un oSuniquesopWiguillonSj'én fuyons  
 ruions,  cofnposés-d’une grande tqüMJÎli  dterticulp  
 I tionsvrqohfles ;  ces  derniers  se  ramigerftrsooevènt  
 à l ’extrémité. 
 g f-O n   e s t  généralemenjËfeur-de  &evdoitter  «   
 nombre éiinriue de parties  osseuses qui cmnposeiÿ  
 I ltr squelette  des poissons. 'VarQSile’w v u S le s  es-,  
 Ipècesr’ et  Des  temiltesrce  estAql'  que  » 
 I Carpe1  vulgaire  îenfermé  d an s  •Soh'-' cuflÈBLMô  
 |  pièces1 osseuses-  ~ 
 Il  n’( st  pas  satrè jfnfrrtt  de «e-MiidïnTompte  
 composent la  charpenté  osseuse  des- poissons  osseux  
 Fïg,  983. — Squelette  de là Carpe. 
 Autre Sq ielette de  poisson  osseux}- appartenant à  une  
 famille  différente,  squelette  de  la  Carpe.  —- 0, .ouïes.  
 — §,  crâne. — R, rayon de^telë de la  dorsale: — 3?^nageoire  
 pectorale. — Y, ventricule.— T, anale.*- D, côtés/ 
 du  nom  et de  la  positron  des  différents  ós  qui 
 et  cartilagineux. Nous  en avons  choisi  deux  exemples,  un  de  chaque type.  J 
 •  Squelette d’une Perche  (fig.  98?) avec  légende au moyen  de laquelle on peut se rendre compte  
 des différentes  parties« Squelette d’une  Carpe  {fi g.  9S3). 
 Squelette  d’un  poisson  cartilagineux  {fig.  9S4),  vu  en  dessus  et un  'peu  de  trois  quarts  par  
 le  côté  gauche.  Le  crâne  de  cfes  animaux  n’offre  pas  de  suture,  on  
 ne  peut  donc  qu’indiquer  les ï'égiôns  analogues  à  celles  du  crâne  des  
 poissOus  osseux. 
 A,  région frontale ;  —  A’,  apophyse ante-orbitaire; —■ A", apophyse  
 post-orbitaire ; —  B, région pariétale ;  C,  région  occip'Hale ;  —   G,  région  
 etbmoïdienne ;  — I,  région mastoïdienne ; —  H,  os hyoïde portant à  
 son bord 7 cartilages en  forme de côtes ; —  d r , arcs branchiaux composés  
 chacun de 4 pièces: — Y’, colonne vertébrale;— O,  côtes ; — P, os inler-  
 épinepx  supportant les nageoires  verticales ;— g , ceinture osseuse d’une  
 seule  pièce  portant les  nageoires  pectorales ; —   g ',  extrémité  de  cette  
 ceinture représentant  les  scapulaires  des  poissons  osseux ; —  R,  os  du  
 métacarpe; — j S, phalanges  qui  constituent les nageoires pectorales; —   
 T,  ceinture  osseuse portant  les  ventrales  et  représentant le  bassin  des  
 autres  animaux vertébrés ;  —   u ,  os du métatarse ; —   Y, phalanges  for-”  
 mant les nageoires  ventrales. 
 SQUI1.LES. — Nom  donné,  aux  QrevéÜe,s. danseerfâi-  
 nes localités.  (Yoy.  Cr e v e t t e s .)   ; 
 STERNUM____Ch ez  les poissons,  le  Sternum  n’estpas  cartilagineux  
 comme  dans  les  autres  animaux;  il  est  toujours  osseux  et  varie  beaucoup  dans  sa  conformation. 
   Il  est  tantôt  triangulaire,  ou  arrondi  en  avant, pointu en  arrière, mais  le  pins  souvent  
 rhomboïde. 
 Cet os  occupe  le devant  de la poitrine et limite  cette  cavité de  ce côté. 
 On le regarde  souvent  comme  un  prolongement  de l’os hyoïde  sur lequel les  arcs  branchiaux  
 s’articulent d’une façon plus libre que dans  J es animaux des  classes supérieures. 
 STICHLING. — Noua allemand  de V Épinoche,' cons&vyé,  en Alsace  pour désigner  
 ce petit poisson.  (Stick, piqûre.) (Yoy. Épinoche.) 
 s t o c o f ic . —- Nom de la Lotte ê&m&tfyoy,  ce<mo%.A Nice/ 
 STONE-FLY. — Mot à  mot Mouche  des pierres ;  nôïü, <Jue  donnent  lôS pêcheurs  
 anglais  et les fabricants de mouches artificielles à la Phrygane  jaune et à sa  
 larve, le Cher faix; les deux sont très-employés de France, mais nous avons cru deRaie. 
 voir indiquer le  nom  usuel  anglais pour guider  les pécheurs dans l’achat de  leurs  
 mouches, ei  qu’ils sachent ce qu’elles  doivent  représenter. 
 STOUEYRES. r-j (Vpy.  ESTOÜBYHEs|£f 
 STRIATUS (Cyprinus).  (Yoy. Cyprin  strié.) 
 SU B L E T   G RO IN   (Lutjanus  rostratus,  Bloch). —  Acanthopt. - Labroïd.  Long. mâx.  = 
 0*1,4 p. 
 ' -^‘Lé'Sublet  est,  chez  nous,  le  représentant  des Labres  â  museau  protractile:  ses  dents sont  
 coniques  et sjir  >un  seul  rang.  Tuès.-toisiiis  des  ees  poissons  ont  leur  ligne  latérale 
 noh  intqrro.mpue, ,Gu-Vîer  les  plgce  à  la  suite  des  Acanikolabfes.  Celui-ci est un  petit poisson  de  
 -çqijietir  rouge j-orangè lin  peu  lavée  de  verdâtre,  et  portant une  grande  taché Mette  à l'anus.  Les  
 pectorales sontrouges et lès ventrales jaunes ; la caudale  est souvent  lisérée  de noirâtre, et ponctuée  
 'dpmiême. La dorsale porte  une  taèhe noire sur les membranes des 3 premières épines, et  des points  
 sur le  reste,  en deux sériés. Bande brune  près de l’oeil  sur  l’opercule et qui fuit  sur  le  flanc, 
 B =  5. D  A-=h$-i-9.  -V,==fl  +   5. Cteg)3. 
 SUBLET GROIN. ^ ^ 8 «  ÿeîïi fôtoiio foug«  se  trouve en abondance’ dans  la  
 Jtedïterranée ;  on  le  rencontre toute  l’année sur les  côtes  rocheuses  et peu profondes. 
   Sa chair est  tendre et savoureuse.  La femelle fraye au printemps. 
 7  Sè prend’scômme  tous leslabroïdes/ 
 S U B O P E R C U L A IR E  (Os).  — Dessous  et  derrière  l’opercule  se  voit  le  snbopercule  C  
 (flg.  986) quelquefoisfort difficile' à  distinguer du premier situé au-dessous de  
 Tangle et  du  côté,,ç!£en  bas,  formant,  dans  beaucoup, de  cas,  par sa jonction  
 avec la membrane  qui  horde  le tout, l’aiguillon de  l’appareil opercolaire.  . 
 Ce tos^ porte le s   épines  propres à chaque, espèce  plus souvent que Poper-,  
 twEe.'  ’  . 
 En  avant de lui est situé  l’interopercule.  (Yoy.  Op e r c u l e   e t  o u ïe s .)   ,  î 
 SU C E U R S .  —  2*  familie^des •’Chondroptérygiens  à  branchies  fixes. 
 Ss> Ordre des: poisson#, cartilagineux. 
 <•3  Cette famille  se  divise en 2 genres :  1. Lamproie;  2.  Mixine. 
 Fig.  985. —-   Tête  "de  
 m  Truite. 
 SU CK   et  .SUCK  CAGNENCK.  —  .Nom  donné  au  Saurel aux  environs  de 
 SU IF FE), — Nom -de la -Yandoise à Marseille, {Yoy. Vandoise.) 
 SU IF F A G E   D E S   C H A U S SU R E S  D E   PÊCH E. —  Prenez : 
 S u i f . . . . . . . . / ..................................................................................... 250 gram. 
 Graisse  de porc ou saindoux.  . . . . .   . . . .— . . . . . .   125. — 
 Cire jaune........ ..., ................................. ...........65  .— 
 Ëulle 4*oïïvéi,...........................................................     65  — 
 Essence  de  térébenthine...........................  65  — 
 faites incorporer soigneusement à un feu doux; pour étendre, il faut faire tiédir sur  
 lëS- charbons  et se  servir d’une patte de lièvre dont  oh a coupé  les  ongles. Le cuir  
 ainsi  enduit est impénétrable à l’eau. 
 SU RM U L E T   ou  G R A N D   M U L L E   R A Y É   D E   J A U N E   (Mullus  surmuletus,  
 Lin,).  _  Acanthoptérygiens, genre Mullus.  Long. max.  = 0 m,25  à  0m,30. 
 ~ Syn.  :  Tria,  ital. —  T h e   striped  sarmullet,  angl. 
 Plus grand que leRôügetfâ/u/fus  barbatus),h profil moins vertical, rayé  en  longueur de jaune ;  
 plus commun dans l’Occan. Ce Mulet, avec  sa  robe rouge interrompue, habite aussi la Méditerranée.  
 On  en  prend beaucoup  dans la  Manche  en  avril et mai  :  pouvant  assurer  qu’il reste  sur  les  côtes  
 de  DovinStrie ;  à  partir  de  cette  mer,  il  devient  plus rare  en montant vers le nord. 
 '  C’est un  poisson  bossu  près-de la tète comme le  Mulet  véritable,  la  ligne  du  ventre  est droite  
 comme dans l’autre espèce. L’oeil est  grand, il tient  le  quart de la tête. La bouche est petite, située  
 en  avant  et  à lèvres peu mobiles ; la mâchoire inférieure  porte  un  filet  de dents en velours  qui en  
 font le  tour, la  supérieure  n’a  rien,  mais  le .palais  est  pavé  de  petites  dents  plates  très-curieuses  
 pares  qu'elles  sont  enchâssées dans  une  plaque ovale cornée.