même, et l’on y pratique par un nmudordinaire ta®
tancVdlTlmfmcobn. La plomhifeesf quiconque et |p®tê ufetgatile
aüsedefll de fer. - Sha •m^Wetjre (forme-', est-;celle dite ontsl’as-
F iff» 555T — Petite
plombée
* |||. cloche.
;siette est wme dans, 1 ’eau. On p s ^ |a - i® î ^ |^ ^ i |t |p ^ i a » s
l’an.^-fiii ffi^e.%?^.nP ^ ^ 4f e ^ a1^É ^ qiiLaHd elle®at ^a®^î^|^gée|Bt
I ta l y fa^.,pyyfpp ffocmsps. mêmeydada p^araibifey- ®iu tire ,qtel%sl0 deda
ÏÏHMûLiée se tmiptéjnsflLiims un n^ i^ssp a lèn iq u e lfo&«diéfoii?là, 'p*
l i 3 | iin Tp.faisanf. cette financeuvr'e le^^e^fâawefgeftopgâ^BWi&xé
d’urif&Saauièrc i odiwmî^Ble .laic^iiMfà la-digpqs^qj quLesfeiunsfâtr^î-
mauvaise. manière,. Gar oafelîW®; ainsi toutedafèensibilti ts§»ée-iapgne,
efrpout ferrer il fauijÉraq leL.ci#rÉuse .p^te sur,ll|^|i^rnJ)ii^.àva®.t-id4aBfl|L‘^ | >'^ul]|Py'
sdn. On a ainsi"un:Ghoc t e r r i ^ ^ ^ ^ i t Kriserda:dignèmusÉlêchirer iiaj^eiaJ'e.du
poisson ; ce‘<julil mesemble àjpau près imposable td’foi ter. >J©Igèez à<e®L® ‘que la
plombée èst très-saillante ^ ^ ^ ’^® ¥ S ‘ e n f ^ ^ p ® p ^ oe ^ ^ ,f ù K
n’est plus piossible dederaer le poisson ni de-lajetirerr
On a, propqsér^un^ autre syqtàjpjjm: danptembéèhporfo u n^ anspMjte üorente
(Jîff. Bsefou de laiton^dans laquenejpasse une
On' met à demeure un graifai^ffiploflMifeiApdu^ifelattene^ ,j|P
de l’hameçon et f a l (3m aMôf msttc Ae plomb qu’elle jg|
[jpèut- dépasser. QumdiJ/^%lanc#ldpï^^nè^iq|^p!^®|^p|^ï4i!aîi^
__..... eau; > ejiæpqiplant an
Ftg. 556. — ptpffifefe peu la m f llls ^ fimfeia £L0ÆW®e_pa^;^§®4t%i#(?AalP1‘l>*'Et^ârfe^É)|i
a anse de «oreSee- g f Ja gUOioimt® gfeenii^ aMf^ELd ÎG llg s à te à lto /S S iW -ë J U p 1
I et à coulant. ... “ m"1.. : , É T^" , , ,, ■ i - • ’ u * +• ■ une grande sensibilité, puisque 1 attaque du poisson seJait sentu
sans interruption tout ^dofitg, "du fil*; d e lp lu s ^ q p a u ë iis iu ^ ^ ^ ^ ^ te ^ ïp ^ # -8 |1?
ehoe à craindre,-puisqu’i l exi^.assezld4espaee, « u t r e ^ ^ p l o ^ ^ ^ p n « * ^ ® !®
coulant de là plombée^-^pr^guilfn’y?'ai^#„«Jla^^dî€ll|ïï^siipB'1WC
l’autep. :i
~ \jjn pftT^ ^ B è ^ j ,ftp.rfeotiflDner^ceMg^èg»<eayB!êfea-sâiMrt#s^d nne
p l^ fb ë ^ à .couiant, dont KS^t^ir|*iskiuyrÊÉ s<ÿi}ifeqps^(^^Pt^sfli>tLeiipjrant
là Ëgae quanfe^ ^ ^ ci est®çrè^é^^|r%ll6§i|^^5;^ÉBilf0®tp:ÏSdi,^nï’
fiîdr sur la 'iip-ka-nrm hanp..(gMea«aiieitffi^^e^jBiidBbfegfefc^ortl^ft^cnt à
tester les f i l e t s ^ . ’-âêS). Ou fixe ‘également à 6ur
la ligne afin d’arrêter ^ ® | è , e t i ’on agàt';âf ^ » e 1ffue.--tout'Jà r]j|^ ,® ^ îM e g la
plombée à «oul®B>t*pô8.i^6i),j£Di+reqidans! ^ peu
• la main quand ^t>aaiÿfe'iaîdv<de ma§Lèi^.à
l ^ l d u e la„lmne soit. "kfira-V .dans râ&^aduycment,
_.( quoiqu%-re.tenue »au fimd;paw'léî®èid(sbdu- lÉfaiBîi'b.
. tFJg. b58. — Balles oblongués percées-.
Nbus venons décrire jusqu’^pyé^ent les digues à soutenir ,nmjiïintéB6J par
lès pêcheurs bffËffê’têil müni's d it pëfMÙ'-clM’ë'* io n doit demander pôilr. exercer
cette mèehedans -lès fleuves et rivières
pêebe.
Les braconniers ont inventé-une manière de mettre- à 'èolo®té3ïneLba|<lj$pâleur
ligue,et de la retirer instantanément à l’app®o5h e-dià-ganèe p si -nous. d'éeyikSnstcette
méthode} ièip'éjA pas d an sd fh u it^ , Hmiffer, mais parCmqu’ily <â de^dteèonstan-
ces où-lion n ’est pas fâGhé de pouvoir,ôter et remèltEéiàjVoJ.ont'éï^a)’ baljl® s^r sa
ligne.
Oû-passè dans la ligne, avant de rattacherâ 1®'eahnei mn petit-rtuyâû -de plume
^&d®hSU®^?ds|i ^ d!une grosseur telle qu’il entre à pression
for&festdam le rtaou <ée nette' olw®- ■/,,
que l’on agrandit un peu à cette
intention.
est alors fendue dans
i eur- ammiÆj^jp. d’un
couteau et 4.’un marteau, et la Fiÿî 5S9. — Différentes Dgn
fQTOiè<p,st.».m serie sufflsammentiJBffira^f.passer le fil dp ,1a ligne,I Ceci prêt, quand on
voud^tP^gbpg.'jde fond-et mettre du plomb à sa ligne, on feÉa passer celle-ci dans
live sur la plume où on .j^.s fera entrer
3 la démonter, suffit.jde
faire sortir la bai!# la plume, H
I elle quittera la ligne sansoeffm’t.f.^ ÿ ’op,,^.,.
veut que MÎuvajirdalahaiie. disparaisse,
on le fera remonter jusqu’à la flotte, ou ,.:;
hj-CxaTj m'te a difei ^ c e .fugam ,d e, ,n I ume a|in
■,.Æ p pi-rao^i^ s i :JÎ^fafré .sortir de d^ssus.^ giJ
la ligne. Daps ce cas, on aura soin en T m-i^.
r. La balle en ayant.
posant l’olive, que, la fente de l’une se trouve opposée à la fente de l’autre,. |j n
mouvement inverse ies sépare tous deux de la ligne qui devient libre, en un instant.
(Voy. P ê c h ë a s o u t e n ir .)
, ..uêche L^soutenir mi, cBfterpn^B
^ s ^êmp^^méibd^epj seu l
1 «imp-MÆ&^^M. j iganebeaucoup ,JpEu®
forte (/îy. 359) et les plombées suivent ’lai
mêmmuBQ.DOrtion. La ^plupart du tempi,]
}MgmÙMJLtbut i^gisièmê -lg forme de la
f ^ M ^ 6Qjdi^p, JaaueIle la ba.lle. ~A
iM ^iaaujeoiis ou les oqwots B qui suppor,-1
Fiff . 561. — Plomb de fond pour le maguereau.
tent les empiles.-Lorsque, g.u,pon1raire, on yeut placer te plomb sur le trajet de la
ligne,;, il est tp.ès-iinportant que ce plomb ne puisse couper le ûl, ce
facilement qpahdt.on^ ^ § e ^t^dp.,plomb fendu ou roulé. ,Un
plom^TOCToché f i r le côté de la ligne produit un; mauvais effet en
d4tr,uigant la J^ptitude de la traction, au jpmupnt du ferrer.
ü^ ^ taîdpac.-été R id a it à imag i^ rle* p lo iM à tirage direct
(/*ÔV S62). ,Ge tronc .de cône allongé est percé d’abord dans toute sa
lCjüm * m à porte des trous latéraux disposés, pur le côté que ne
montre pas' là ligure, comme sur lelpôté que Ton voit.. Un brin de
floreppe passe dans cçs trousptse double eu bouche empilée à chaqpel
extrémité, en:,face dp^trom central ;,âe sorte que le plomb se place
sur le trajet de la ligne au moyen-de sès'thoucfes, à l ’endroit où l’on
vent^interrompre cel le-ciet généralement entre la, ligne et l’a-
vançée>u i ,
La figurée 861 montre une disposition adoptée souvent pour la
pêche dû? Maquereau et autres poissqns analogues dans les grands courants de
rond. Ici lè pêcheur ne ferre.pas; le poisson doit se prendre seul.
LIGNES d e f o n d . — (Voy. Cablières grandes.)
Fig. 562.—Plomb
à tirage direct.