
 
		,  Tout éfent  préparé,dgffi attacha à  chaque  extrémité duifoouplé une  empile de  
 1 mètre à  2  mètres  de  long,  portant ^UEt-saoe  plûsiaujs  hameqooi^qiapilés'd'éldif-  
 -férentes longueurs,, car il laut que ;gies;empiles? ,'seidé veloppent en éventail îqüfendle  
 grand  cou|^ejeshàd<ajn8^.!.-;te-»/q  r~ '-  ■ 
 . Onl^a^quqlqïtqfeia:5ïi^Lge  du graïte. c aw te ^ è ^ ip e u  ete voiLeBert' s’en servant  
 commë de  la  ligne à”,balle.  Dans ee  càsÿ iLfautque  la  chaloûpe’bùiron'ésf perte  
 p jp iie  toile, ifssegjseulement .pour  que  les  empiles/ s’étendant -bien.  On tient  la  
 bauffe assez, CQ.üntewponrt que. te  plomb  ne touehe/pasttefoud.'“ 
 courantille. — Filet-tebhiïe' destiné à. prëM?é‘<tes Thons.  Blet res-  
 sembl^la^ tkçÿaire (ÿq$j ne mo^ mais il est ordinairement plus long] parcë qu^on  
 -jdipt^uatre 'p&ëegs-tte filet ensemble r ta  ehufé^sV'deB à '7'Srasse's'.1  (j  
 *  On |etteJf®Lf''ëo®®Mmte‘en'ldîrd®fe Ægiféf^teh'i's^d^^âdffire^'que  
 puissent^ rpreridte  sur sa ’Mbgûfeûr  fet' eïèrcèr-sur?l0ii^|estpQ(ints uhe puispincè  
 *@® la met à la'faüe^tdfe inüt 'sëtfbnftlà* ïflèvea|i?jouf,f5rï 'Éat?aur^!Mté‘,pa|  
 quatre-hoMffips^5attache à un bout du filet-efsteBaissé dériver àvê!c luiFÎl1 n’es^pâis  
 ramiquîsiirétem4 2'ou 'ÿ’ilèues 'duNp.oÆÉ^&^ïé|i:?ESl®©lS'.»^i¥'l^fféj'è!  < v§pw$$M:, 
 de gêchè danslin acte de 1-4T9." Il ‘hit. cféfendu'îdei's’Tffi|S^®' ^p'uis^^ÿfes j'isqtl’à  
 la Saint-Jean,^fesî|^p|ÿxM^c’onhs(îàtibn 'd’es barques-et instruments.  
 COURLAZEAU.-^Nëmuù £abr'e vteifle à' Naht Ps'ï^ov. ( w  
 COURTEQUEUE [Hameçon]. -^J(j[^genré <|ï}aù^  nous,, 
 pour toutes Ip.sjîôcht“^ d’eau ihiui^e (n'Ha^i^gmn^l^^^oee,nxéA,p.i^7mM)^UnS"  
 db^rufte Vb<Mrp'Ç(Hitôrdin<‘ure5m3Wqu^la.hampe rfestenresque*»a$fifflBg>ntflie  
 que le dard. Pour la nêéhe..voBnie'.âvêfeIes.mouches.naturelte}Jjmeh7ivü>l>!nieil.i'èuiv; 
 I®  mèmV^urla-pêcEêl^ffBgrdon; àynme.^ajlùrfU.. 
 I  tf )u  ^vhanje^.te on't 
 ’ pms d tB ù ^ ^ c aw m iïu .  <sfflhaj|tes<nil1 boii^ZaiMîfcmiWu ^   nmTtv^^T-^i  1  
 ùnê/'ebi extrsmeïB|«ft peu  i nuaeml m ’H1  W’ttillfi  
 de surface/ ^renforces pfe^liyrûeltede ffm<L Les labju a n t e i i u g j w s e u l   
 'de parMtgTOùuItanhhitiutr<^u?;is;l. 1 
 Quél'^^Pml  l'hann^on rourfo-queue  < hoi.-j. il* tant < i u ' ii1 ; l'i 1Hlelfia-s■ mlauk,  
 jSrîl  était  p la t^ b ^& iilë   Irmerick &hsjBÏÏi~ll'<.’,  il -i-Fau i‘a i-lB ù n S |^   i1 
 reeraÔK^ar'ïfe'* poisson. 
 •■•"On fai-f1'a ie x (^ lé i^ ihaîflë^oi)jf^ ff l)^ ie ^Æ u ’e-  aui. m^mumn ffalatté-1  nappât  
 - jl  ‘ èft  déhbrs, kuFla S à m p i é , , a o t   
 '  ! i H   .  àftenir le fll de  l’emnilifep, B^MmVenus M f. 200,  cp^BôÆ^nd'jun 
 U   'Àmglétfe^^^pée^@âenb,pour 
 1  ^^^^OTTOH^^ffe^avec "grand  a^aritagé »anTÜimié.s«.à  toutj^i^,nuce  
 f  drupe,  Ce^nt-ies  shifl^que^&u^ ^ n lnrons:  dous 
 J j ;   legavo^indiifués r n ^ u c d u ^ u n n p y   e t ^ f e w î   
 roachhooks.  mnl(S“mi,&ûtfait^SBt unanimes.”  mji n’pnt .pas riTissi  'èn- 
 ‘gms^ê sivifdnt'pas  gêe^er  ass’czjÆ^oe^nt dourj^e^rnonfur\  aM*i .d'é^jcate'  ’ „  
 COURTINE. — (%<#r;Pjsn®.|o1 
 couver et COUVEREAU. -^Pjcifi dq'gAloge feinte  à‘ Nantésr (V.ojf.,Alose  
 ÿESra5p^»'i3' 
 COUVERT, — Fqm nantais dû Saurel..(17oy./ ,ce ni'OtrMA^ 
 COUVERTURE.  -sTîfUn"des-~noms  bizarres  ePpopUlaires  ‘de  la  Rdië-Ætù, 
 (Voy.  Raies,  §  4 .) 
 COUVREAU  ou  c oN V R E A U ré t  c o u v r ia u .—- Npm  de  l’Alose  feinte  à  
 Nantes» H'^pysiAiosiE feinte,,)? ’ •* 
 CRABE Iges^gJ^Canoer, Fabr.). —r?',Cy®lQiUétopesTCancèriens.-Long.  max. = 0w ,2 5 :  Poids 
 "   Syni :’ Sroo/'ah’gl.  —  ftrabbe,  TaschenkreBs,  allem.  — Granchio di mare, ital,  —  Çdrnbaron  
 esp., 
 Cfabe'* des  naturalistes  n’e  s’applique  plus  aUf ' teriista'eés ’que fnous  connaissons vulgairement  
 fjafidveèmbni’;  ii'1é®t- dësfeïtiîf'l/flppellation  d’un-geiirOidfont  presque  toutes  les  espèces  sont  
 exotiques. JSqus  n’en  conserverons pas moins,jja; (LeupHisyiation  vulgaire,  nous contentant d’indiquer  
 esnè&side nçs côtos* coniiuMaousfLe.'iibm de Cmbm m   
 . Les  espèces  dles Cffîtoés  les'plii?répandue/Fsu*r Ies.eôteg cfê  France,,  sont- : 
 Liffirnle  coihmnnë;  la pemé'jmrüû )  lé"-(SxaËe’enragé ou  Crabe  commun  (Fortune) ;  je  Crabe  
 Poupairfgf&wnteààiïlfcé&ÛQMbtyytdbréïlQiLétkatà'WtiyaèiiiiiMaya, Araignée de m è r w k ^ w   
 wégrane ou  Coq.de m^^w^Â^atMÂiêicæ ;  ta  Vroiniajjreps^mQ) 
 jfT^ïp  Crabe  Pbifpart'  ou  tcrfirteau  {Capcer  fagUrus,  Lin,)  est  le  vrai  type  du  Crabe  pour  le 
 .j£ îg . 2G2. — Crabe Tourteau^f/araber pag.Urus, Lira}. 
 vulgaire;,sa  démarche lente et t'ortiiéùse, sa progression  aë  eôté est'^coïinng'de ttfufie monde.  11 est  
 i oijs'sWr?t  fvet‘-'l»Vdoùfti d'ès rjimces  deSbMs-'dri/éSrFs!tdrûiîâire.  Sa  oai;apâ'ce  ovale,  est 
 fp ie n ï5 îm ^ s ^ ^ ^ ^® 'p o rte -9 ptis:^^tefflSstram®|Éfte borddntérinu'Sïtll  a  le-front,tmdenté. 
 N’oublions pas le CraAe  es;  '  quë l’on trouve encore très-communément sur nos  côtes  {Cancer  
 ci.nereus),  à "carapace lisse,-  couleur feuille morte,  semée  de points noirâtres, marquée  de trois plis  
 sur ®lfâ^,'e,’boMV'é6: ayant le*. frenWttTÔiBt?fî3 
 Nous donnerons,  dans  la seconde partie de  cet ouvrage, les Grandes Industries des eaux, tous les  
 détails nécessaires sur l’organisation, la reproduction,  les mues etFélevage de ces animaux, qui, ainsi  
 que V Araignée de mer (Maya Squinado), se sont parfaitement reproduits dans les viviers de Concarneau. 
 c r a b e .^tdJEia-pêcbe.dës Gçabèdj©^ une ,defe^^pM'p»i|l^&|ïts  goûtées  des  
 enfants  sur; lesèbèWs/dfo'  pinçured, ^©qvmt'S’ m k jp n   dfti)- 
 ^ouî'êuiî.esJffl®' d’eux qui,-avep .un,p,q]i <|e paMeh^^ né^évi'enné.avqc-sa  sa-  
 *C^£ehse'jplei®è-. -C’psirjqu’il  faut  le ~dfi|||ïa .matUM ^^pa iid u |c ep  babilés/jKûtojeurs  
 avec  une  profusion  dont  nous  ne  pouvons  trop  la  louer.  En  mettant  tepipcteur  
 la grève,-! on les rencontre  par mi'llieî|sv! s©,% Uosaraaïf rd^’U^té  en. vousrmeuasjaqt '  
 leurs pinces  et escaladant  les  pierres  avec ws,.culbutes  grotesques,  soit  barbftant  
 daus’Ces .petites’iBçtqiieS; dîeau  fefejse  air;Suaus^de' 
 derrférè'dfel^SÈïtès  éS3%lh,sable et' qamplétêÀênit'CaGbés,  si 
 Bien que, W|frete 'tjue'lques* espèqesïèfefeg meilteureS, H | ou estpffi^é'âé B^tbficher  
 comme des pommes  de terre. 
 &ï. -Tout MMa  n ’estl’hèp,dl’(iîSnî  que  l#pi1enû>iÊré^i|’. hes' ptot&s grosses- et  les .plus  
 belles espèces viennent avec le  flot  qui monte  et se  re tirent  avec  lui.  Celles-là  savent  
 se  caebef sous les grosses pierfeesciles  diguesi  et dans les fentes des roches qui