C0MR0SITI6N DES AMORCES. i poisson s, - ;
HEURES. ... OBSERVATIONS.
XIII. Recette de, ,TTenmià>, j . .
Pilez ^ â f^W ù e -ÇüHicn Mrcns),
de la quintefeurlle [Potentitlu rep-
tans, Lin.). Ajoùtqz-y du su ç cîe -
joubarbe {Sempêruivufn tectorum,
Lin!j, frottez-vous *1 es eprains- avec
le jus pour manier J^hnmeçon -et
les esches,YÇje’ez le marc à.l’eau.
Ou peut icinplnior la*joubarbe,
pat la serpentaire {Arum dracun-
WMWHBfyiM ' ê
(; ;*ÿouï,|5g^.g|^,
> îçfo âd .
_■’" I|ein ,ÿli'y
XIV. Recette de~Ph^eftji'stofeti
•rtanj^.. Prenez-: |
S jljTOM. Orignnum vulqarA 1
du oeariolaii^TOaSfi^f;. 12 gr.
Sarriette ISatureia hryrlen-
Alarjolraae..,IWMHi.™. T tS »
'SuiyçValors -la formule yiU. ..
XVv Feuilles de-mauve {malvaY
pilée asvee- du -pain- de *cbënevis-_
qui est le résidu de l’huile de
« p é p i a n t e .
?I’-^®bbjons .■Y'^ ="•" yDèps- unî'spc ou un
»panier ’(IfÿciawLaïdqJtend
de l’eau.
. XVI. Prenez OE&rtaul'e.de gazon,
vert e t. court, large comme *ub®j
assiette. Au s o n n e t ide^ eeftej
herbe, du côté vert, attachez àveç
Ù»e aiguille_et du fil vert autant
du petits,,vprsg rouges que vous.,
p o u rez ,p o u r recouvrir le-gazon:
Faites un jqnd.de.bois de la sg ra to
d e p rjd u gazon,' pereéz-le au hh- ;>
lieu, plaçez-y le gazon, ’^t dèficOT^i
dez-les enscmiife il*is l’eiidroit itiu
H ■ .'"ri-Eèamodwdait-réussir
| h R H H B f l j niiiis
.‘ dem-andesun temps pré-
W-ffiïÊs'''-.
|ÇF1I. D’aprës-Wailfpî.'— Fâit'épj
une pâte composée de ‘ fromage
bien fort, que .vous pilerez dans un-
mogiM ayec.umpëu de lejivroy-q ’
safran, jusqu’à "ce que le 'tiniü '
revête une coUle®. jaune icitron. .
ï (’Ifébot de
.vlerei'.
XVIII. On p eu f évitement faire1!
pour l’hiver iïûé'pâte omposée ilb î
froMgé-ét-de -téféberiOiine’.
Chabot dèjj&Êfë
l'iritëîeJ M |5t 'pl'U?
[^^Msjaufçps r’,po(^ijQS
de fond.
XIX. On faatiÜesrBiniles de terre
glaise prisé" sur 4esJjords4de la et-
vrèlse.epH iis imlumc dé son*,-der
ceSotMjiîde chevalÿdepain^,e'crreton
boMli^etVdeïdébris.'ahiniaux de la
cuisine'.'Offi'eoi#eSdfe‘fb#alés parmi
les p ie r r e s .M
.Civelles on 1
, formes," fihguilt
pm i rémontàn*
. foSr--';" '■
^ Lè'iriatln pii
|foSvei|le. 1
'Sw.vent baiLdlou -feu.
XX. Poùr mettre dans Ifes nasses
f i r jm e r , etnployez^déS j-sardines
frabffles'ou pourries, des débris de’ ’
Ïebiïfiseries de poissons, de seiches
•e^cahbiars,, du foie, de la chair de, <
chien de met uAautre animal sem-
8PI)Je, ^enfln des boulettes de* fâ-'.
rftfd^rossrère pétriewecr dés débris'.'
de' sardines , d ’anêhois ou ■
An trespoissons.qu’on prépare'dans
la localité. v
C ru s tacés d e
toute espèce,
congrès,inurè-î
nés-, pagels ,
trigleé , ■ -roum
î
Au relai^Tïe1
hasoP insnpdcfr,'-
relever au Ji>t
Sant-suivatftr -î
AM O R T IS , hhi,Synonyme de Rermtes, H a ï e s , te'; (Voy. c e s m o ts .y j
AM O U T E L L E . m\itLo'cié$anche dans le dépaltotjiant.de l’Aube. (Voy. Jæche
franche.)
AM P L O R A WËTSôm donné â J/jine'h6is aux 'ènyirons de Nfcé. (Voy. Anchois,)
AM U R E S , -jjg Une* i è s deux secoides lignes de pêpip des barques de l’île
D ieu ,■'.pour le ’êcenfmnpÇWoî^-t'» mot.) ■
A N A L E S (Nageoires . — Ces nageoirès placées'près (fe¥a1jué, en arrière de cet organe,
eMirennerit sont J ou i ou; f -wnjiai1 >'r. e f^l-à^âlto.pl^.cé.es dans le plan d’âxe de l’indiyidu/
et varierit^éohsîderâblêment djjjK^rfindei^eSde fofme. Quànd il n’eiï existe qtrjme, elle est
placée iftittéfl.ibieïnMtrd^mère^Pànûè'; quant'ffra^îxîstë'ü’êux, eilefsom placées l’imè devant l’autre,
homme* dàns¥es Mofdès’-fGâdeh) ,*'êf tofflesrlieux aa^anh'èr^a^pWvM.^ '
Il arrivé 'quâqiîefois qué^ll^fiyon 'dé.la* pretnière de* ces TOrçfeôifês’ 'esfypineux : exemple, la
Monne {êadvs morrmiïéf'Lfn
L’usage dé isettfe-nageofre eût d’abaisser le’ centre^d’é giayité des pofsioqs et d’augmenter leur
^albîijfé|éài)^%»tes’ les positions 'données! •^aifil J^ ^ ^eritd))usqu>a la qiiede,‘elle participe à son
moifvëment et augmente sa pmssfàîice’fell'e ai’dïi'éïÆctre aux cnanglïnents de diréètion ae l’animal
en mettant une inêgafièÿplwiÆfrrae!>entre Rmprfftéiï^cffimiM^ee d^n'^te, à la résistance qu’elle
opposé (élo^e 'cltp'lp'ÿanf'de l’.mti e
M^lÿiUlialasftageoîrB finale fait plutôt Rofflee diu® .gouvernail que d’un propulseur,'et, en effet, elle
est le vrai gouvernail des poissons, *
Dans lactation,5 trois points, elle est repliée.
A N A R R H IQ U E L O U P (Anarrhdcus lupus, LinVA^'Aefinfliopt. Uobioïdl’Lodg. m ai R
I à î^Mêtres.
.‘îtSidorpë -allongé'et bomprimé, tête .grosse rt'véitdëfMrâue' ajfetiÿ bouehebgrandejTè-vres1 charnues
principalement su’r-les côtés ; dents iifàdKérant pasHib}né’di^e«lè‘nt-à la 'mâebb'fre;et aux os du palais,
praSs à deswépi|>b^ses^esseuses,'GOniq^ebïtiiîj>bêmi«ph'éii5®iès,'^^elTes^rriênies tiennent fines
pïfjp'fc Mé;sbrfe „de suture et s’èn-'déta^ént'feoilementiJa-'eerihraj snq.oi'fiTej.V^ ¥■
l;Les dente des intermaxilfelBes et célfe* cfu devant de la mâêhoire inférieure font'coffiqiies et
An&rrhiotte loup ’Anarrfncus lunAXmk^i
pointues;,et celles .des,côtés déjà mâchGbeienpMje^ejA^J^^Jin® du vomqr pvasées et attachées
jBij de gros tubercules *hébiis,p|i:érbqiiiesr.jQéulour; généi ale d un bnl^fof(ncllirant sur,! olivâtre ; de
ppM^ j9,($^rtno^in;feeÿ)*mant par-.Jepy rapprochement dejjmgqàfbagdes verticales-air nombre de
neuf à d j t o ^ ^ f c if e 5g p ^ d ^% p e^ ^ égu liè r e s noirâtres se'pqrtqnt/un peu plus obliquement en