P R E F A C E
<( lie r a it :superfTu ^©s’étendre beaucoup sur l’utilité du travail qiiè
nous'èntrepreraon^ >>'dâsait;en 1769, Duhagill du Monceau dans Ylnim
inbnde-sait, ajoutd-Ml^que la
pêcbe^èiëïfpe e t lait ■ subsister;%un granfaèiombre d'hémines robustes et
utitoà l'État. »
Trente ans plus tard*-en 17* Laèépède'à-.mptimê une pensée atia-
fe^^^daâlsIé^SfseâWs qui =ouv.re\l©ît'om'e 'I '-dSpon Histm¥e': naturelle des
poissons, quand il a dit, en parlant d è « s anpnàüxet desavantages qufe la
pêche.procure : « Diversité de familles', grand nombre d’espèces;-pro-
dmeu-se fécondité' des'individus, ' facile multiplication sous tous lié
climats, :utilité!variée de'tdutes’les* partie^»dans:quéBr misasse rencon-
trefiotis-nousnet lousrees^tdtreé à l’attention, et .ünei nourriture plus
âbondantepour l’homme, ^m n e réssource moinsîiestructive; desautres
“iissaméea^atroné matière- plus réelaméeüparoljindustyie., et des préparations
plus ’répandues par lé æommeree ? Quels sont les animaux dont
la rechercheiipeut emplofèrî-tant dé bras utiles,, accoutumer-de si bonne
heure à: braver la violènkre’îdps tenipêféi,eprodhdre tant d habiles et in -
trépides navigateurs, eticréerra&nsi pour une grande nation les éléments
de sa force pendant lafguerite etdeisàprospérité pendant la paix ? »-
On pourrait facilement qbtër d’autres témoignages en faveur de l’utilité
dés pêchés! nomsedlement a l’époque actuelle,- mais aux époques les
plus reculéés, car riendexequi a trait à cellteides anciens et du moyen