NOEUDS DE PÊCHEUR.
et tiennent très-solidement, pourvu que l’o© BîaaQapa(paë If scouts rasJe^cguds.
La seule précaution à prendre.est quS les'noeuds D e tE Soiéht-parallèles ipouift^en
ç__ s’appliquer l’un sur l’aUti^Wÿ. 736) ; s’ils .étaient sÿm^triipes,
* en récbmrueaeer uaJ, J^envers.qwîMr. le-Jaire parai*
Fig* 730. — Noeud anglais lè le .
. : ' n oe u d s D E g a b l i è r e s . — K est' tfttfpertant''ÿëur un
pêcheur §e savoir faire les noeuds dbnhîNd Jfêsqin d h a q ^ J o ^ îl d’ anjapy, m s I ju ’à
-chaque instant d e la Ipte) _ cette [ ^ S n f e s a n c’g Jm qva unp en
'»jr. 731. — Noeud
upile sur une bauffe.
c* '* ''' ' dehors des choses de la la ligne.
Les -BjOeuds^dù’ câblièr es résol vent 1 e problème
d’attacher une corde plus fine, soli-
ldèmèn|leU|ans ^?<s^eiàl7~^ jr u a ^ ennlii
plus grosse g t courant àt:anigJj&^drtQi:t Kg {a1
Ipbas mince..-."
^ t^ q u l^ ^ d h s i f a i t •‘dêeSîner plusieurs de
.f e u d s :~dont les détails sont faciles à
goeud ci-oisi comprendre. La manière d’appren'dn S
d'attache et de cabuèpe. faire p n noeud, rc’est d e l’essayer :soi-mème
lavée un bout de porde : on le manque plusieurs fois, mais avec un peu de p.ilftnqp
on se crée une manière de réussir que l’on n ’oublie plus.
I Là-figure 731 représente le noeud d’attache A d’une empile, sur ùiie bauffe B. Ce
hjfênd se fait très-facilement en suivant attentivemeutrla figure .
La figure 732 fait voir un autre ïioeiid d’empile C
s f r la bauffe.let en D la manier eu:!’ ’ a L L a ch er la c â •
hlière E à la corde qui doit la maintenir. Le noeud D
nous semble .beaucoup moins solide que-felui F
(Jîg. 733) qui est une e |ÿ |lîe de noeud d’artifi'ciejg H
quel, une fois serré, ne se desserre'pas seul.
La méthode (/îÿ.733)est très-simple,tout le monde
_ F i g . îZ i .
Noeud de l’empile
à boucle.
. 73 £ — Noeud
■oiS#d’empiIe
. b a u f f e , . r
la connaît ro n a une boucle au bout de l’empile F, onpasse celle-ci dans la boucle
autour de la maîtresse corde et on tii e. * M a i s " , il
^>:h ’èst bon que quaud-Tes deux branches du nceud comprc ri ■
nent entre elles un noeud simple fait à 1 a <mrde^maltresse :
ce qui indique qu’elle û e . p e u t elle-même être très-grosse.
On peut également faire un.noeud simple à dr^ï§; e t à gauche.
| , La figure 734 indique un noeud croisé G qui ne-glisse pas,
et la figure 735 u n noeud à corde double A qui cstjtisës-solicle ;
on l’empêche de fuir," et de quitter la bauffe B, en terminant
les deux bouts de l’empile,, réunis p a rm i simple næuq>
i%- JD -est une espèce dc3,ço*dant?i qoegïoeud 4’artificier pour
[serrer la câblière ^ l ’empêcher, de s’échapper. On doit la
choisir ou la faire. dans la forme J e DE {fig. 732).
N OE U D S D ’E M P IL A G E . — (Yoy. EMPILA frfiv)
n oe u d s d e p ê c h e u r , — a YoÂpuqbûQre "des noeuds
qui ont leur utilité journalière ç t ^ ’il faut savoir :
j —; Noeud croisé"
d’artificier _ pour les câ-
blières.
Les figures 736 et 737 représentent le même noeud vu par devanfeDS et par
derrière CR. Il sert à attacher une boucle CD d’empile ^ l ’extrémité d’une ligne
fixe SR, car nous savons que pour, la t|ê ch e ordinaire on peut se servir de la
NOEUDS’ DE PÉCHEUR, 543
demi-clef. (Yoy. ce mot.) Ces noeuds sont des noeuds fixes : on les emploie pour ral-
f|ifWb^empiles'".â/feamêç<5U9 au moyen 3e*icorâelettesfà^ soie filée, pour con-
sttiaéî^Wfcjrens:, lespater-ùostqr, ïès grelots?'my$f$
- La figure 738 représente l’attache d’une empile métallique B comme'celles
des lignés à fe® é eh e t jo a r J 't e a u ^ d b |l ^ J t ja plupart
B éé
Üe-’mepi noeuds^fetoht très- ■
faèifeârehtf-e^feui-v^nt attentivement l a ^ ÿ in l4 mdi»
q u é ô ^ ^ # te f l''d â ^ lM ^% o is prémxè®lfigûres.
%|®és ’f i g u r e s 740 et 741 iffll^uenl leflhéud de
Il ‘sert ft n
réunir toutes les parties lé s lignes de erin et d’autres
rnsTOeV; 4 iiï® fî% a i • fait' fedbnd detoUsdest. nteüdsd
que doit sav o ir faire le pêcheur’à l a ^ ^ - peur m H H R P
lui, il tant qu un noeud soit non-seulement solide et boucIe «l'empile à l'extrémité <»«te
à^^^Éen-t, mm,^? ete-dirê*' puisse 'jâmais
glisser e,t në' laisser dans la main du pêcheur qu’une moitié de la ligne et la
gaule, tandis que 1 e poisson emporterait l’autre avec l’hameçon. Il faut, de plus
cf ^ | f s noeuds ne laissent pas dépasser de bouts qui tendraient à
accrocher la ligne et à la mé|iÉià chaque instant. Un seul noeud
répond à tout' cela et,nous a semblé — bien des fois un chef-
d’oeivre de siinflicîté et dé perfection.-
"prend les beux extrémités de fil à réunir A
3 B,'EeLon- les place comme dans la figure 739, c’est-à-dire em-
piétamt l’une sur l’autre d e0m,0 7 à 0m,08. Maintenant, prenant les j
deux fils à la fois de la main gauche en B, on fait avec les deux
autres bouts A, C une boucle dans laquelle on passe deux fois les
deux bouts A et C ensemble, ce qui donne la figure 740. En un B
mot, c’est un noeud simple dans lequel on passe une seconde-fois. Ceci fait on
serre le noeud N {fig. 741), en tirant sur les quatre bouts â la fois et bien également
| et il devient R de la - figure : c'est-à-dire un petit ^
rouieau mince et en fuseau {fig. 742). On coupe |ësi
deux bouts dépassant assez ras ; TIe noeud est parfait,
H faut ici faire quelques remarques : si les
Fis- J * ï. i - Attache
. flfeée empile métallique
â -ïextré-
mfté d'une ligne
fixe.
/rt0r. 740V -ré_ Noeud lâche.
deux extrémités que l’on attache sont de grosseur
très-différente;’ comme un margotin de 12 crins et "
™brin de J.eren.ee, il faut apporter la plus grande ' Fi°' ^ ~ Noeud serré-
attentien à la manière dont le noeud est fait, et surtout serré, pour être sûr cru’il ne
ghssera-jfas.i : • - ■ H
En second lieu, le noeud n’est bien fait qu’à la condition que quand il sera
serré, aucune des spires- n’em- •
pi|t§fa suîll’autre.. • 1
Le noeud n’offre que d'inconvénient
d’être obligé de faite passer
Fig, 742. — Noeud du pêcheur fait
toute la ficelle. G dans le noeud N, et si cette ficelle a plusieurs mètres de long
?°r ,e un bouchon, du plomb et des hameçons, ce n’est pas toujours une chose
16) . 13S1’ cIuand on veut rattacher une ligne’cassée dans son milieu, vaut-il beau-
p mieux se servir du noeud û m g ê m , f s e mot,) Y