Le petit temps d’arrêt recommandé après le-mouvement ea avast esik :néees-
saire p®ur q«e le pêebeur sente, au trépidement de la canne., qu’il maccroehé quelque
poisson : car la prise d’une'Ablette, laquelle, par le fait, est éloignée d’à;peu
près 10 mètres- du pêcheur, se^sent-parfaitement.
Ce qui -se? passe. dans c é fepêebe ê* | très-lacde à expliquer. Le eoùrant empofîê
aiÇToin 'eFâùr une mêjûlï|bfîfe î e ^ f ^ ^ ^ ^ l 'é ü ^ d f c i i r a g e
jette de minute én minute dans l’eau à la même pla.ee ; or, les Ablettes qui rencontrent
ce filou précieux de friandisés, s’ÿ rassemblent, frappent de droite &
gaüdM vëë qkïlètû* ~semble%?thëilleùïv fétttbirfenf vers
la source d’où dérivent toutes ces bonnes choses, et arrivent à la ligne garnie de
ses' asticots se promenant dans l’eau par un mouvement qui fa'ît pataîtïé^cefe-ei
■edè’ôre plus -vifs et pltfs appétissants. Dans1- cdttë dccOTrekûéf 1
inassouvie son avidité, elle s’élance confiante dans la rapidité d'ë-sès nageoires, elle
a raison, elle atteint l’asticot, — mais le brusque mouvement de traction l’enferre ;
— elle a eujtort, 'elle est prise,...’, et son*attaque, que î ^ s t i cW ^ E T à ligne fait
parvenir immédiatement Viu pêcheur aùmStfcfe "à celui-ci ïe éutebSs.
Il faut alors relever la canne ; la ligne arrive ainsi sente dans la main, on dé-
cftfche-'M AMettes prises, Cad, s’il^É h a-eu u û pùù-dans'
sontBgÉùiib, un^eni^dés^Sÿiicèts ù t’dù^ëW^i^rewe? ^
Si l’on se-place' sur une pointe de berge, un mur de jetée, on fait la même
pêche devant soi, et alors on ferre en-retirant brusquement la main Çtf arlfôre,
eltoSé } t e jette fes-amorces- toujefuïs4devant'soi, si PèjPffit gpre
flans l’eau pour gagner le fil du courant. On dit quelle petit remou occasionné par
les jambes du pêcheur forme’ encore un frémissement de plus dans l’eau, Jp-pb
'VôKfeê'Ià’ remonte des ABîéttêl qui affilent, f â'jûtfé) e t agiJSP.
Si l’eau court parallèlement à la jetée ou à la rive sur laquelle .le pêcheur
s® place, il faut qu’il Lienne sa canne perpendiculairement au qoU^fi®e'pi°ii
dan'sTè même ' sêni' que 'lâ ligne, dans le -sens du êfetiranï't' au ïièfPff’ùn Mouvement
de balancier dans le bras, il ramène sa ligne en ferrant à chaque. fois
par un|cqup piquant de’côt(%-(^iqy{. RoüLEB^p.èf>ù'éfA]^)^A eé;tteîij^îiJêp ibest bon de
y'a’jsft.oUp cqmmodément^B H tmivÿ oÀ Jm s »An«bateau.ij sans-. èmê. etCcoi&me elle
dure longtemps, ^ll^(|gvi^ptwqn métier fatigarni.'' Témoin ceux ,qui entrent dans
l’eau pour la pratiquer : cés pêcheurs-là gagnent leur vie à récolter la matière bril-
lçfflte®sj-^lc’L,te'. et la fa tag i^ n ’entre paji^»p^pUjiiqîilcul..’Poqrjde pêcheur amateur,
la là Ligue est bien quelque chose, et nous lui recommandons un pliant, un
panier assez fort, ou un siège quelconque, fut-ce une pierre ou une motte de gazon.
FOUFRE. -pN om maDmatBtedufJ ?Æ ^ /3 (a^ e è .mq t^ -iriiji
FOUGÈRE. ^ |A , B ^ ^ to fn qm m e ainsi Y&iSchmn.. .i.|ro:c.*Q(imot a jp
FOULE (Pêche à la), - r (Yoy. Pied [Pêche à]. )
FOURCADE, - r Filet employéùapsdeù‘ arrondissement ^ ritim e (Toulon),
fo^Hde la même mngière que le gangupà-pn ,q%de.ffx bateaux, mais tramé qti
nttgHBjj’yn tourniquet on vireveaux. L& ildret.dn 19 novêmbre;d859 fixfÀ plus
petitêlm aille de la queue,auMBâte^ à Om,0 1$, e^/^î^é,;_.îla longueur-’totale ;des;deqx.
aifimçinl^iu .plus grand diamètre de l a . r dora-nt-.,?48màtres-riGello'
dlla 'f^p ne destinée ;à, soutenir l’ouverture-n’excédera pas'&mèfe&fe
Pêch&%à partir de 3 mètres' d^prqfeqd^ll^^ à conditiod^ùe la. ralingue-,. ip fl-
i g-pas^gis {l^^çço^éT.erifiè' ^ ^ tq j'J ^ p g ^ l^ d e s 'p îom b s qui
yftcint^att.mjLes'nùj^dédera pa1- un K ja ^ p p a r mètre de la longueur totale dû.filet
Autorisé d u 1er juin à fin février, et dans les étangs, du 1er octobre au 1er mars.
FOURCHERA CANNE.— rLa pèrjrewiySO?^ wr u î&m'apt i $ n 'ffic&qgdjù?
(l'rwl %uLSf iüot)? ^lùr|pêcÉj^*w0^pia,terr.fn^stê^&^.. Iplmols),
H fi® mbt);<(d | différentefpppëce^.Soit fiott-an^^sort de'fond, ont
toi] ôia-etMùèilyà éviter^ ^m êm e danger. A-.^^ n d r e , eMùtg^-dS é l’impos-
• lireqlesjiigpes»s®u%-ronqtes^ses; A l’eau,, qÇsjest» jf^tement les' èndroits
d’où il serait impossible de la rqtireEi^j
sans notre système.» qui sont les plus
^ la'pànne, parce qu’® |j
sont'M^ùentéS' paq.lq-pqisqon.
,^’est e n tre ;ÿ s touffes d ’herbes et
« r ^ ^ lù ^ s o u s ^M roches avanfian-
les, parmi-les pierres, entre Ies“cépée.s
à grandes:racines, que se -font lf e j
captures;;;Q’es|r là- J
nrsalque n êcbeur. npnsimuni d,ejl
lafoüfchegu ^ ^ ^ est .obligé-de ne J
P# pocher, sinqn d'0 ( surface,
B t^ ^K è ‘ji.7ic sppuypit re tirer ni ses
engins ni même le poisson qu’il aura
w H avôG I eux. -
cahne,
ummm—m eut de la foijcccke à catnie jsdùr^^êver
compose, d ’un fil de fe r;ou de cuivre
gros comme »ne. petite >^umfe4d i o ^ O |
et| ? |^ t°urné » luiM m Prcoiùake- dans la f ig u r e ,e s tjjm o n té - ; dans: un petit
manche en bois, à virole, qui peut entrer à la place du scion (v o y e s mot), sur la
De Canné à pêclte^prdinai-req'^:?
i Pater-noster.
P maintenapîtÿ emploij^ ) ^ } a> antagpg^ d j^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ im p te^ in-sfrn rnp.nt.
tfenons le cas d ’un pater-noster [fxg. 397). BF est la partie verticale, le bouchon