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 SUv e r e o u .  — Nom marseillais du 
 SY L L IS   TA C H E T É E , 
 SY L V IA T IC U S  iSalmo). —.( Vqy.  'IjRUip  commune.) 
 SYM P H Y S E , — ffa wmf. forme da_gi Q C t - ensemble; onLaj®ligue^ea  
 anatomie, Omit ^ n s e a i b T e j i a r a r S s  qu ? T ^ »aan?eii rappoitles.  g& de-- a ^ ^ i t a o n ^ 
 SYNGNATHES  (Syngnathi, LiJ,).*— ffdpmghrenblres^^ 
 i ^  m  ? S ^ I ? d u  ?^^d'împiûrtàSSê ifêfi&ès. ‘ <Éïîb u x ' p ’de viiè ’ÏÏè1 w^êcheymoli s  
 passerons  rapidement sur ‘leur  h'ilsto'lfé.^tl^ir-ïe.“priisefite’rit,  en effet,  aucune utilité, /pas même celte  
 d’Esclie,  axigaè.àujj&dtojBrc  anga-UliteÉi^^Mieflt  .extref 
 w s s è d e u  lurm odenHgmqû\savhi; p^lioulièîe.  
 inapj^MTOl^d'aliîü^ 1  nos orMWffijio iirfé s à,Vl^^ôl^DnTên ™ K"temps  que d’autVes'p\ z  
 pècés,  avant ou ?àprèk el fes^ ils Jonucon’Sfacoïnentréte  rebutés. 
 Les TurbotsflH'Yï.vé,  le^ tlitfêM îS ^  fftagle J onffe^joû¥si¥lfiïsè  BèbSâhg^ÎHSs^ï^Sjmerits de  
 SVtign^ffes jaai'leur etaienLietés par iffias^ D^sejia^oibSaieBt instinctivement suptteïtftroeau qui  
 § H S g [   h h S S h^  après^ils  &§.'désignaient p r e s t e m e n t , l g , u r  prtdégoût. 
 îv ^î§S^te%MnférmêWf ’ik^feé«fgf«§fii nombre’ de  Syngnathes'’d’èspèbesJff^iffiMï^eèf |n  Bretagne  
 siîrdini  le!nooeKr&idës  infltvt^^'sehinômBrab^?lors^SJffài^lêferjêiïnë§,  ra ôÀssé s^S la   
 ‘■ptep’bu moyen de ppnters/ou de filetei en toile  d’emballage-serjî'sn^ài ifey-ei du  gueldre qhMeîqlt un  
 Kirinfau ^ttni»to.g|r.tnaB;iares. shifes’^êsbetfrs .-n’y  mêlaient leffraiyd^^ÿe^tfes  espèces.  Iijj^ïales, (jjl  
 surtouMes jeunes dendejux esnèces,  s 
 "   Les caractères genqrigkes de'SyfenMtms  sonrdbmffl^MGps-  iitlon^'^rt^{_convert  sériés  
 de plaques  dures arrangées en lignes parallèles  qui ’donnent au corps  Une forme polyédrique.  La  
 tète est  très-longue,le bec s’ouvre au bout, et en dessus, formant tube.  Lesi’ÿdüM^^æîl.fiiîpISII^  
 poisstemanqaentid^nageqires.v^ralesvUjeiiiSTafis. curieux' appendices soàt,t t ^ M i É ^ g y   
 la reproduction et à la respiration. 
 I.  — Syngnathus  aous, Lin.' —^Lb'ng._ Max.  Om,‘iSTfp 
 Syn.  :  G r é a i  p ip e - f i s h ,  angl.  ' “ 
 Ce‘Svnguàthe  est- un-dés-plus communsv-Chez lui,  leinftldpôîte ufi&poclïe^ü yé®r1r d®8® i   
 quelle la  femelle vient déposer  ses oeufs,  lors  du frai qui  a  lieu en été. Cette  poche  estfermée par  
 deux  lèvres  oblongues  :  c’est  là que  se  fait  l ’incubation  des  petits  qui  y  demeurent  jusqu’à  ce  
 qu’ils aient 0m,02  à (Jm,03  de  long. Le mâle a pour  eux  le plus  grand attachement; il les  fait  sortir  
 de sa poche où  ils  rentrent au moindre  danger.  ' 
 L ’opercule est  couvert de  rayons  rlivergenfs :  tête plate  entré'les  yeux;  corps  lieptangulaire  
 jusqu’à l’anus, avec trois côtes  de chaque côté,  hexangulaire au  delà, le pli  du ventre étant disparu,  
 et enfin quadrangulaire à la  queue.  Caudale en ’éventail, 
 %=4P. 
 P*'  Couleur brun-pâle,  barrée  transversalement debrülf,foncé. 
 II. — Syngnathus Typhle, Lin. —‘j/ong.-mâxi -<s= 0™j351 
 Syn-  : Deép^ridSëd pipe^fish,  angl.  - - 
 ’ fliilii ïttiMJ^jgfliTiferiniîit'iinôdfr wn tiïbe/imcctfl beadêoup plus  épais. lijpquri-afitbî^ji^TOiq-iifnn  
 jeune  de l’ucus.  La queue  estplus pointue, d’anale  petite. 
 K g g p .  1*=^ 15. A-=^ 4. 
 HL — Syngnathus æquoreus, Lia,  r-   Long, mai.  jMa&ift.  : 
 Syn. :  ifl&jfforWfpipë^fàli,  ângL' 
 Ce'Syngnathe1 n’ârni péetdraîe;  ni' ventrale,  ni  anale,  ni -caud.al/^id'iiôbhe1 ventrale r  il  n’a-  
 qu’une  dorsale  pour  toute  nageoire.  Ressemble  beaucoup,  du reste,  à  l’açaf dont.nn àuraiftc’ouipë  
 vif la  queue avant la caudale. 
 D =  40.  Couleur jaunâtre  avec une ligne pâle  sur chaque joint des plaques. • 
 IY .—  Syngnathus ophidion, Blofeh.  — Serpétltdemer.  -2-Long. max.  = 6 ” ,35. 
 -  Syn.  :  Sftâkèpipe^ftsti, an gi. 
 r-v-%^-igepp,;#'iiSî»^^%sâ:if®iaipbiÉiaee|ip/,ptà«-vonde'®tfplûé'grête:^|^d^fl^«tiW!Pi^M;  
 pointe  fine;  un peu aplatie à ^extrémité. D =  3fi.iTétô  â tqjjeimpyen.tLes mâleq n’oni; pas.dejpôche  
 anale ni  fes femeÏÏês noiïjdus, mais les 'premiers possèdent  des espèces de  coupes  creusées  sur ^   
 côtes de Jabdomen, semblables  à la  poche  de ljfftjr doôt  on  auraf^enleve les membrahêi férmâfltès.  
 C}ès't là que la  femelle  dépose ses oefcfSfwWois'il'âo'ôt,  un dans  chaque  cellule.. 
 ,  y. — Syngnathus lumbrrcifornis,  fmgüfXA-  Long. masji%= 0»,1S.. 
 Syn-  : The -Wgrm  pipe-fk~h, ,angl.  . 
 '  T A B L E ^ p « ^ B ^ P L O I   D ^ E S G H E |^ ,   Wê 
 .  Le  plus.  le  précédent, attachés  sous  son  abmuse 
 ®B»^nEreaaeo§^]®i'eouf 6 ^tîe Sbe^l^^p^cédéiili^ rëlèVé0- n’a qiÿune dorsale  
 ^IJaLh- lC- j j j f   iia’XL'■.de_inJa  âiünulaiins  fines et brunes : couleur 
 -olivafrSjSRxnioffi?  muiqrfes^r^* 
 SY S T ÈM E  N E R V E U X . —  L’instmct des p o so n s  parait êtie moinsm^ggloppé  qqç celui  
 cLg^cjUtie-»  vûiij^^.:)f.'davcdvdêJali‘c!àn*1 i^t'peilté iélTti^ment aixlinlmiirfiïl“(f^pV3,-ot emm gÉWv 
 ce^eau, SM'^êkîf^cSsleijl 
 d lè,tMs^est-réd.uit-àLuna_gKandé^j^Blmité(,C.pas-de,r,eplls,  cas.d&Ièimîo.tLvoî.nfionti,  q b ]   
 nomt)‘-e  ^IP’idg i^ifflagÀ^rii^P.tiate.lisgfis. cftrxespondant,aûx  sens  stric te rn ém .-n S ^ ^ ] 
 "  MaftBt.tghJ. a.BPt3yéfl  r-  ?Hf l ' à ? - i|i *<-r fflM^^d’autre .part.’ ] 
 c'il  ej(MS q|tt'e.di®o,^ltion  grande  vitalité 
 certains  de^ces ^ i^au^^TO^,pS™rm/dnffiillânêSW  système gÿi'g^onnaire, ^ « )êu t -I  
 ^ ® P ^ Ttr ’dh^eôpsi Aùss?lamlïtMicfîoh*(iù  çterv§&,'|  
 ^^prramEB.Qû’gims; H  tawnliie;te| f t r «as. Vv?CT]^mQlïSftiri^nt:  l ant^’wfeh1i.*^i«r  
 j^ t.g l’andmqm.bfe  (Rentre’’eùx; un éréthisme  n û‘i't 7 i J 1 r  w iïejjo rt Iongîomps*7 t*ïî'iii  f P 
 IjSflBi* r®|i^^^P^Àïftb3ie®®iPk miurtïrot®BTwfi^i paip.itr njT  ........... • 
 Ci'*’! 
 Encéphale 
 NaWOTonaJgtf^bAéiic^§l^^5^ 6 !)le wvear^^^fgyfrm „ («'t*organe ■ôÀ- vu-oû 'de>«'iN et^lL:  
 d hémis'phéres  ou- de  gânglidhs olfactif^;  -^ 'è 
 optiques?—t e; masse’impaire;  r'epïé^nfe Lé’cervelet^  rfy moelte épjpièré dont’lk 
 "gï'0.ss eut" éspoeruàrq^Be-r- ; 
 c  Laîfl^üre  le‘cerceau d’ungtf^gléoij^ ^ m waelafamilledÉAéàntihbutérVMpfi«' 
 :  :■âenlem'ejDtles"|^)grfôiis Je  la  ninôlb'' é p u ^ r ^ i iR î ^ ^ i i 
 |pj,bs marqu^^^æ^ïxi'q;  ifiabse  ganglionnaire’ oll^W^* ï^ ^ 4 ié  ôidimenb- d’hemi-  «_M-  ” 
 B ^ (,1>!1ÿ ^ ^ lf f l i ^ f ^ ' ,'‘l'1P^~’ltl^<1^ s';^^^~?m%ss~eyÔptîqu‘^ÎLa;droi'te,,qiS^ébibu-  
 ^ - | 6’  inférieurs ^  massé  impai’re^&jif'és'é&tâ'&t1 le I  ^ 
 ^Rveléf;#^-d.v.pair^deïganglio’nsciîêr’iSm6Mê%ilonÿ^è^'^S^^Velle'ép5iirpr(e . ' > : ^ ^   7  
 ^alSSBi^<î.11’ *;ao'Jî?’  4 peiyprès nulle'sur. le^corps,  sauf ^oUs^Labdoïnen,  résidé  -  ? 
 da^ït^TBwaPÇn? Sw^afnüeb et’stfu^ent'miàiies d’appentoM;.aptw'j  n  
 ipples  friab le -de  8  à 6.  .  '  '  i f 
 bu  L|  gow%t  très-imparfajl,’ f&lffiffi'&'exl souYèïiTosseuse ‘èl immobile et  Ies-dents  • ■T’ig; ?8’?D'  
 •nWerveStdpas à- fâ^mastic'attua\ mais -seulement  à  retenir  la j|» ie , dans  fe-cÉo* de  ,^cépha]e  
 '  1 '-Fconsid:êralion',çpie;la’ grosseur.'  t ’apjîareil'de ToIfacKon  “nTrlg e;  
 Bide^tM-TOdeux cavffilsc^^éesîà  la partie  antérieure dé1 la  tête>cfotcrpissées-d'tae membrane  
 Pituitaiï^oe^glfc^ée s’ai diffère surtout de  l’organe analogue des;animgux terrestres* énf ce  qu’il ne  
 communiÆe®pàs.a,vqc.Pàmère-bo'uehe,  et n’est; pas  traversé-ptikle  fluide dissolvant'dés  particules  
 ’dalqi'ante^ftaô3tquiillfèn.‘*aOi.t,*lespoissons7yeroorveht les odeurs Je très-loin;  et-comme  elles  ne peu-  
 ^tie'uiïAv'vntP'îqa’en  ckssfflatîonf dans'ïèah,  on  est  plutôt eJ droit-de  les  appeler saveurs  et de  
 »igfdéreJle seusiaqui»'nous-'oècàip^tdlflîrfé. nn'appareil'de dégustation. 
 T 
 TABLEAU  DE  L’EMPLOI  DES  ESCHES  p a r espèces et p a r  saisons  
 '(\oy.  Emploi  des'ésch’es'par espèces' et par saisons^