l'hameçon, et yoiçi pourquoi.; lespoissons* suceurs, auxquels on^d^gsse, pisi-
rojttt le ver par 7a pointe qui pm i, mais, une-fois qu’ils le tiendrqnti^l^PWi^Èe-
ront plus; aussi, en tirant à eux, le dard sortira et le ver prendra unepositigi et
ligne dfoite, de l’empile au poisson ; en cet état, le_Barbillonp|$.piqué im|na»
quablement. „ •
En enferrant par cette extréniité le ver rouge,' il vit 1$ g lu ^ ^B em p s pos-
sible^.si on^l’enferre par le petit Bout, qui eu tla jè te ^ o n .^ en çM ^ le f orpanes
mtaiïx, tels que les trachées et le coeur, et lé pauvre, animal m eu r^'|aü co u »S is
vite.
- Cependantcetfe ^ p l u s courte, mais pette agonie plus tourmentée, nlest la s à.
dédaignet-pour là pêche des poissons-chassèurs qui r^jeoheréhent pas u |v e r
rouge non appétissant fce sont la PerChë, l’Anguille, la Lotte. P o ^ e | | ^ g e u r s
toujours en quête dhce-qulils peuvent dévorer,.il faut une pBoieAétillante efbien
vivante. On.obtiéntee résultat en-enferrant le^pauvre ‘lombric par
corps-, faisant une où; deux petites, anses sur rhameçonijet^laissant les&deux Buts
pendants; comme «es poissons ont la gueule large et bien le
tout d’un seul coup-et sans hésitation. Lever,- ainsi placé,, ne-résisterait p&s bienà
la traction énergique, à-la succion, du Barbillon,‘-de ta-Garpecet' tu$i$Mnti.
Pour prendre les petits poissons-appâts, tels quelles-Véxons,<le sîÀ bml^, '«p
coupe en plusieurs morceaux ïesvèrs les plus petite, .et;ompfi3met-une particule
i^ r un hameçon minuscaalm., —— - __ | '
On fait sùbir encore aux malheureux v e rs^ÿ ^ g d ^ r^ tia item e n ^ ien feu e l
pour pêcherm m « x des Anguilles à l’entrée d eg^oSs ou-dâns les eanaux dgcer-
tains marais et étangs salés; Jr’est ce qu’oU.-appeM'e b Vermég. Chupfend u « l® g u e
aiguille enfilée de laine ou de fil, et on eh fait un long chapeleWe-vers-F|pgas, en
les enfilant en^longide la tête à la queue. On loveea^onà cette- corde- d iv e rs sur
I elle-même, -on attache toutes ses anses, ensemble d’un côté, ce qui fQ t^ ^ i^oe q u |f
que l’on jette à l’eau âü bôurd’iméhgnd'Les angtiips?J|^gdent
et s’y prennent par les dents, onalesfettîàve ainsi e%*quantité et
sans que la plus grande partie lâche prise. - - - fi
Pêche dé nuit. Pour mettre ile^vers^OagegjiU'X lignes he'lnuit,
ondes enferre par le. milieu duncoip^^mais'-soli^ep-ent ; ifreste
deux bouts pendants et frétillants qui'éôtplus d e ^ p c e s dRen- J
contrer le poisson. Lés^vers dont- ou .se^ert- éta-ntlffi^^giSs m.très- I
forts, offrent assez de résistance pour ne pas se briser s’ousflâ
. traction des poissons suceurs. Quelques pêcheurs, les HpFerrent
^hépéndant par la queue comme pour la'pêche de'-jôur.p>es.deux
méthodesréussissentbien.
Vers de te rre , te rre a u ou fumier. —» (Voy. VER ROUGE.)
Pour la pêche de l’anguille ondes enfilepussi sur mfe aigu® I
(fig. 646). (Voyez ce mot.)
Vers de tannée. — Excellents pourde poisson dejfond ; P
les.îàit dégorger une heure dans l’eau et on lés i^ ê # re j» i|tt
tête. ' I
Vers de vase. La plus difficile des esches à.mettrepi Hameçon.
F ig . 646. — Aiguille
pour le ver’rouge, de nuit.
Ge petit animal i$g. 647) est homposé; d’une tête vert foncé très-dure,et
d ’un Sac membraneux .extrêmement mince, formant côsps/et rempli d’un «
rouge et limpide ; si;ëml’enferrant on le vide, il ne reste rien ; .il faüt absolumeni