saut arriver un remontage de poissOns. Tre pêcheur fait bien de;' sp munir d’un trépied
(fig. 121) ou d’un pliant (fig. 122), pour'rie pas'demeurer debout, le piétinement
étant toujours mauvais, 'j&rce
tend le plus loin“ dans l’eau'êhran-lée p a rla tèrre. S’as-
f seoir sur l’herbe humide, n’est pas tentant ; il faut donc,
quand orrVeùt pêcher à la 'canne “fixe, 'prendre toutes s®
précautions,-et apporter un peu sa maison ave-S'ëoi-,- parce
qu’on ne quittera pliîs la place choisie.
Trois ou quatre lignes et caiines suffisent parfeitê-'
ment à cette pêche et forment déjà, un bagagejtâsez volumineux,
jointes à l’épuîsette et aux ■provision?.“.
Les cannés, sont à moulinet, d’une iingnéuf
priée au cours_d’eau oit l’on pêche-.' Gbin-ihe 'e%st "surtout
à des poissons Solides qu’on ?’atirb?sev O’tfjMchoisira- en
cônséqgSèhceT^'
^ ;ï~S>îl fallait-tenir urî# s à w w m ê à -la main toute la
journée, dans Une ead -dormante,- sans' mouvemh»/$e
— x e sac du pêcheur, fastidieuse besogne, d\utaâtiflfts'que léS
poissons qui habitent ces eaux‘n’ont pas une attaque soudaine, toaîi entraînent
bravement et sans hésitation l’cs'che. qu’ils ont étêloWgtéîE^s'à-attaqûeri fStflfemhe
tient pas sa pàBEae, il faut la poser à terre ceëi ^^Btituê'uæfe
pratique présentant de graves inconvénientsr partie qtie, si-une
carpe ou un barbillon s’est enferré M-mëme*, il néVeUs
pas, il entraînera ligne e t canne, àu milieu de
n’offre pas l’agrément d’une promenade .,<$1: bateau, -quand sou-
*vë'nt ce'secôurahlé véhicule p r i e u r s
Fig. 121. - Trépied. i>entour. En ‘ seoôndrdieu, uûe* partie'€e-îa.C>hi^.fttfi^îdti8fe
l’eau, et, à moins que celle c'anne1 rie'Rnt d’un 'seul moxeeau», ièf
tih le .d ’être démontée, - cette* opêratio'ü, le soir, ne^0®
plus possible, partee-que le- *bd® *ifë$s&Êà' goriflé.
Pour-remédier1 à‘ i^rmconvéndentsiS^^ê
deux petits instruments ci-joints 124), \fu ^lJGp
peut faire eh -fil d&-fèr 'et emporter («encore?-'
plus, mais c’est SiÉfTS'iipgf' couper dans un arbre voisin,
et-sfïl n’y en à- pas? '—;pn_erfî^tOTen''terré 'la-^fdWehfette
'iMg. i S ) en avant du moulinet (fig. 428$, sur IehomcÈe
Fig. 122. — Pliant.
l’eau, vers le premier tiers-de la'Canne à partir “dû bas, et le®W&d§:ëf>, (figi 124)
sur 1 laneë. La canne *f$kkiïr' établie, •; së- tient -i^éyëe ateHÛesSus
de l’éîiuî ë ë qui eiipêchë le scion d’être’ ipédilîé;'-Le poisson
ne peut plus ^entraîner, • êtWpêêheur a la plus grande facilité
eu dépassant, par un petit mouvement, la laïtie de-déSâ&us le
CrôcheL-de saisit la eairfie, au moment opportun. ‘
• Mais le plus grand“ avantage de cette pêche, et eelui
qui en fait vraiment Une spécialité, ■=-i ‘Ô^est la possibilité’ de
mettre à jfôâu un cerf aiïr nombre de lignes et de les surveiller toutes sans
fatigue.
■ T ro is ou quatre cannes sont suffisantes pour ne pas faire ’dè 'cette pêche une
fatigue, si la rivière est un peu poisèonneuse [ Beaucoup de ÿêeheiÊÉ tout à six, jjjs.
dix mê&lV^fedàj dans cerna?,-ils* TemplacenM'^'damjLes-par ides-ligues à grelots, ce
qui remï%d*^^#^é'(mevd:é'eEâ®ÿeet aM^®i(\%ÿï<lG-KEL0TS.)
il faut cfeôîsisr dè'sdiigèües'fbrles; J
426,$ferim?.ien 12 brins,
fig. «127, tlu ^ ^ « ,es*'’lrame<|ons I
tCîifdrcé'S ff'.dee flotte Si'.bien
voyàütdâre€?Tdédicouleuri «échu. |
ttuÜejtd'sr, enfin1' des c'âises
solide? el - iÿ~'ïroMinef(;
h I M L ' e A R '(.fig.1128) esb inàispensabl^ywtet, si Dopt ÿoit pas.JfKr-
dtd '^orfôèn'f*;' '''!>âû'*ti3feLs ' quate’WeMi^iwîve , ïw§Mt%pofeïrtbut îds^-bon ^ cl spî
quan-
H H
On peut simplifier
bagage , a ’emporter, I
qu’toeyfdpr^Mfte,, et- 'im^Miter
‘VaflTÏe;:
^rf^etpCuid, mBtMMkft pierre
_sux_jâM«^oep*#S^ -eet usage: aj
F i g . 126 r — Crin eWf2 brîn
'M d ,A % 7 i —■ Soie forte.
-fljicdhvénient dfât'-tpâs^offMOde -facilités p<m-/Æa-À^Vi^ni: 1 î«{gy' 1 ~Maut faire
un nfeuv^fien^hÿdçqxS^^^êouventftsuffit-pj^^églgé^tll-perdre«,1a :fiaptur&>■
T 1 ojimumteà làveanne*fixé e s tM
'ëP' stÊfeffemMalIl'fe1 Se:elMéfeié'i la rfeune 427 ;
au l f i x ^ i f e e i w a ^ ée en ^SÉenpq. ÙquBle;J
(oiïlne^vu .îu-fiïloinà en l-%br*rBS.-.Â
©m,S0Sde on blet ha--petit’ gra in ’
Fig. 12S.‘ ^ Forte éppisette pour poisson de fonda
p b j # ifiÿ- fâ9)p1p®ê’ ^S ^a emà .- sur
l’avaB^^-ef- au-d‘essi^ lui)i)>3aîÉe|®liye, de-
ploi®,''rî:%)^t' la grosseur varie uvêélt& poids-;
w la liglie^'la force d e .l’eaü, etc., ëti-qui^ I
g ljs s ^ ^ ^ ^ p i’âvàQQêe, ne petit dépasser le-l
d^arrèt/fixé à demeure. Le plomb
é t ô l ^ î ï ’^ t pas destiné h équilibrer là flotte ni- la Jtfffl®,- il descend aupond,-
y mSStient ht ligne, et lai permet cependant- d’être fibre' pomme si- elle frétait
pas rêtehhët ,Eji èffet,- le -mëùvefnent im-
pnimé à communique k " tta- I
■ferSAPolivev à ■ fia flotte, aussi- aisément T a e j
quand5 ori p'êéhà à SPlI^ïïe flotemte:' •
Tout® les Es.cbeà Tè,XbAd‘ sont bohnes I
pqUç he moyen de pêche, en Tes ^as|T?tit jm
poisson qui habite î-le. lieu, «e, qu’on peut
souvent préjuger1 ,paï'wd4étede ',,de'«dd?tfiaè^
C A N N E S P O U R L A P Ê C H E E N M E R .
Fig. 129; le fond pour la ôffiane l i e .
—— Les cannes, qui, serventip.o.i^j'ilàjoemii à ,1a hlipe■ -jéB$m^?,- doivent être plus
grasses etLpteîdtihgU^^®Sî?'éeiïtesïâ^a'®*jM0iiïiemploie pour la-pèche' en eau douce.
En'effet, les-poisMrfi? de p®^MMê*™slî^ffé’î,alemest^te'g!ros,