que -c«s parties comportent et les quattslf variables quelles ajoutent à jijjlla-
meçôn.
De n#s jours, les Hameçons se fabriquent principalement en Allemagne, enAn-
gleterre et .en LranGa; les allemands et .lapjsuisses (ftg. 465)
sgnt à très-bon, marché, mais très-grossiers e t de médiocre
qualité. Les.françaissont aussi bons que,les anglais.(^îÿt.466)
dans les sortes ordinaires et les fines de formes', anciennes,
mais les Anglais seufe cherchent et perfectionnent çhaquje jour
la. tom e -et;l a imatière .dejleurs^Hameçons.^Aussij^inettant
tout, ,cqp.Uÿr-propre-.national dé ,cdté,j^e^opS^nougi dire-que
nous faisons en ‘France tout aussi bien qu’en\ Angleterre,
que -nous serons à.la hauteur de qiqs^ijjns- quand, nous |g
voudrons, mais que nous neje voulons jftafr.tSftife parce que la
èq^jMïimation des Hameçons ifiq&j. enÆrance, est .pett-con-
sidérable et réservée ^.seulement à quelque^g’ê^girs.fàma-
teurs zélés; soit parce que la Brasse':des pêcheurs!d&datecm-
| f
F ig . 466:.
pagne e„t dps,,pêcheurs ; qui vivent die»-cet état
suivie^ fleuves et les Rivières^ %S?pore à
jffojre qu’il y ,a .dfS^ééqnonmLà se re^ ir, p’Ha-
meçons au meilleur marché .pénible ,467
et 468).
En Angleterre,;v‘auTqomtraife*, où,tout p
|n^mde_.pêche, tçùfc|e,, rponde afihàte’Jièlfafomp,-
çons finjs^et <^stm e iU eu re sp so 4 ^ f^ 0 ,6 9 B
^lO^les^pêphqur^-d^q^qfession Par
Fig. 465. —^JËameçon carré I
(suisse), • à < pointe droite ;
forme très-recherchée -pour I
la pêche aux lignes de fond
. sur le lac de Constance. Ces
hameçons . ne reçoivent
, qu'une trempe ’ très-faible
qui leur permet de s’ouyrir
facilement sous la traction
du poisson. Les pêcheurs
prétendent que c'est un avantage
pour les pêchés où le Hameçon
poisson se prend sêuK —§ais ordinaire
conséquent, les fabricants ont intérêt à prpgresser^ace qu’üsÿjnts, eb à ^prohuire
trgs-bien, ( ce qu’ils, essayent toujours. c]ÿi vendent .chqu !e[est;yfah; jnads |^ l |} in-
i struments sont très-bons ^ ^ ’qsj^pjL Aon „marchéE t a -
tif, mais certain. j, .
il faut attribuej^cé^diffhi^enees^Aà ^ ^ f'qüe|j^ag de
^B^che, ^ .m a lg ré les pmmensps, {progrès quS^'faife
en France dans ces jp.er-
Lutogs annéqSj^yg^plLeGre,
.chez ijou&j. ■bier^ùjlàÈrière
sur les habitudes des Anglais.
Notre fabrication |6
perfectionnera n-yep notre
k ^æ ^ il^lre en fait dgjpêche.
-Où $0iq&ema)?qn eLque
nous n’avops."garl^ju|qujà
ce moment qu’au point de
— Ha--^vue des Hameçons fins, et
1
mS ^ em'er’ i W . ordinaire, en B m bleui,’' servant là., la
fêfitajnéj&vep pêche en .eau?douce : si main-
avaatage. | tennntnqis passon^atiJftHa-
Fig. 468. — Hameçon
commun.
• Pointé défectueuse
| dard
. bombé.
Fig. 467. — Hameçon
à bouclé
; commun (fran-
. çais). §£ 1
Fig. 469. — Hameçon
limerick
i (anglais)1 ' sans
... palette, n° i. •
Fatg. 470. — Ha-
' meçon à gardon
(anglais), mince,
courte-qûeue et
. sansrravMÉngé,j '
dit ShorUshank
Roach M o o k . .
me.çonsîé^tméS,(^p.,471)quis’emploient.po.ur la.pêeb&eump4nn%tréianKtÙS^p|dPre
national peut-,tfeleyer'ia, tête,.éar^ci-tceisont lesÂngl ais qui sontfiiSrtribùttlires. Ncp‘
Hameçons de mer, sont debeaucoup préférables -aux leurs commé tqù®0,Ure, ooMme
forÜte surtoutyM'il paraît PW®fiue
îoîhB^êcheurs. sur Iss cêtest o .JkManche. aâiennent s’appr-ovisioimer chez “S i s .
La fabricâtiom'àcs Hæpîêç0us»ê0mproï).dcii(3!û-seulemént les'Hameçons simples
de tous les numéros, mmj3„pu('prèles ‘{ii^cuh^ oïl nMïè&nsodupleê; parmi ceux-ci,
Fig. 472'. — Bricole ordinaire F i g . 47.J. — Bricole Limerick F i g . 474, gp Br|cole sans
à pommes du même côté. • * 1 à; p illé s f©M%ariéês. I avantage.
]i®ÙQa«»sont^tournés- dm.même,» aufrésr Mpomte^agutonées I
(m M U iu sansava^taj® jjijfe 474) ; ^ï> tj>?,,i^ hame^orp f r i p ^ &ÈÊ. 438
ot /, .‘(awEftjL 1 p«. êm érj.lJp^^dÆd, deux-.to n 3.es.,. avant dMH extrémùé^ à Jifuçle
élastjSe,formant pog ttoaw^fieton {$g„ 476 et 47£!i $ | fe& antres âÿebat^lm ^ ’deux |
b ra ^ ^ S ^ripée&tC/f^ 47 5|1
rilltS^Mi font ÇQparqe IeàvHameÆ^ô^ÿJ&n
F ï g ^ 0 § y ~ 'Émérïlîbn simipiev
mtw-éiic (je numéros. jLn'’<pialr-.]
h(‘,u$-t,que h >!( lit s deanjjJAfuos^ AjbJM
U a a B y i d l ^ b ^ ^ l j ^ v ï g g g p p i n s , d e s ^ é n f l^ s .^ S *l3,igih“Q'-> (|iffélentes et I
nbifMgyt-un ra p p o rt;^ fe Jm âm ê ..e n tre y uR f.d )ri(to ^w ^ ^ a ^ ^ -iin e des |
i c immm' sc*idj)p(intc.l(L ’,imiï»i<-onmâ? n o e ^ ()0a0^1ùiiijre j ù *
000 ; l’une finit l’a^-e -à n° %k$VL£$
chauMCluel tw devraitbi^r iseméiiif'c pH^to<‘îiojv, (l‘uu -?1
étal^ ^ m feu- grès mmuabj^l?e%gèchfte^ y- g ag a e ra i^ ^p i
slalfindje,; eho,s(| i n L ^ ' - U d e . ( l a i j n j # > m é ô ù u ' f J.mt faire cfci® æ s bame-
l'ïfiàmiîîdl.. et jamais surdemimiéio T(l(^leijfe(to(iJop.pf'.’
Quand on emploi ( À * . o o u s . lrl|^l WiDud^tci'i^iîuirS (‘tajp ‘1\ |
nsi, de même ' 1 '
(a pm M S b bjiief()A ceA he,rnie^^à^-î^ù(j|less^r/.
é m en.t enném^pe Iptte ‘tom e -
( ommlfllo iiS 'iij ^oïMq^des ]Janimons
p( épi f e g 4 (.(y'tainQ.difiu,J' •J'^ÊÊjÈÊ1' g ®
g 11 ç. aide. beaul.QUB-.queion'eAeti te (wÆülhsHJ'Lv
Fig. M .
Émérâlon de fom
ancienne, u
mode par si
| peiat volume.
lig ^oe ^ ^ u a n t aux gros, nous lagRnfôléran-^ v .1 Cçpise 'P lî
ftTctp.. et.résisté mieux'ISMcâi.Ùoux. M a is .p ^ ^ ^ ffi pêche am^np,
C efii-’apiiire.éw».' 1 Mnàiurne ôiüiBd^pijhon, floUmLs^ l | oatt^y'H(iuiec()ii^ loudtoat à
peinje^ai^fond ou ne J^1io;m ^ t.pas^dpAtQuL, i^faqh'4^'4° %
l^^^fflQbÇons^qg» ptàélÆfe, >ht; 'parmibux, 469! et--47i))rils
soî|tS|Suifrr) a n i p.i i i'p. n t.ffaelhu’pBU^llMijMMiaùc iiÆ..nf)i^îldcob.TOg^ ^ .i-'ù^
mais ils onfege^^êbfe tempsVlt1 déPiul
“iQuant auxiignés>e*»f^ éô> on coiaclef s pour la imwu du thuIt ou (le.fwnd, il faut
A et' (1 e s . J T WnfiTifyè'* H
Il serait impossible de donner une rgOj-d(‘, louteslesformesd’HameÏM
^ ^ ^ e w^ipcndaut on peut ofavsAi|B^SBL||j^em
^^SHfiï-ÉÇÔNS à^l^^Sil^ïïfelS^SRES'. :
Id. à Palette ordinaires, courte queui m i n c e s , r e n f o r c é s .