652 POIX DS «G® RDflWIlî-ER.
latérales. Ces aniraaüxviy eut,'seuls, dans le sable, deifUrs,
petits poissons et.'mollusques; presque-tous séjournent près (jes e'ôteset fournissent
à l’homme. une. nournture.salne et agréahle. Dans la famille (dès Sélaciens, oh re-
marque en outre des éyentspl&eés ôli de®i^eàesi:yeuaE»*sÉi*iptt des ouvertures
variabies'de forrne, souvent en croissant,'" par âé^ùé'Iles I!animal . rajettêâleau qu’il
a avalée et qui a passé dajfôses branchies pour accomplir l'acte rde la respiration.
Chez cês1 abîma ux, le corps a la forme oUnn. disque"!et' porte une quesue'géné-
ralement longue'et g rë le ^ e s yeux ,et les éveïrts.sont en-dessus sqr le d®sj.M à la
face ventrale, omvoitles pariqes^Uiÿu&eb^ien travers etllèfe-ouy&rtut’eS' brancçj aies
de formes variées£i|iës#agépipesi4uiSSal',es;Sént souvent rejdtfes^tesqùe;smr làqiâetie,
|—Ses prmcipauÿjaoi^aQpÿlats d es - c0j.es,d e <larFr-ancffirJsqpM: '•
PHeCtPi. i plalessa). *
Flet [PL flesus).
Turbot [PL mnximus).
Baie aigle {Raja aqûümaf. I
— bâtis ( Raja bk/ü): '*1
- — ' blanche [Raja aléa).
bQnelee^(jRay®
PtKiüHbHK.CTES.
Barbue (PL rhumbus). -
iS x K & ffil. votea) V
Gairfaïèt1
R a i H H ciajy'dçà/i,
[ —.‘"cllai'dijn w'jjit
k—àj^Çtc.'^S&i-v ~
TargfH/i; *P zTXi^^, etc.,,,
I Raio. Ax^yhnmuftif.BÙM^o'g u r h in -
[r 35^ - ’
r$i 11 ttrwjfriïrf)?1^i .
POISSONS RONDS. — On donne|1ceJ-nom-,'parW^fe®S,Ê0iï^ ^ ^ ^P a ^ ^S so n s
plats, à la nrçljeu i tcY ^n 1 ' 1 '( ‘ 1
cessent lespoiss'ons prd^efneRcTmts.'Yf"
POISSON ROUGE. — ©O®ADE DE LA CHIN^
POISSONS VÉNÉNEUX. — Notre pays ne renferme, heureusement, aucune espèc •!
vénéneuse à proprement parler, mais nous sommes heureux d’emprunter à l ’exéeMiettt Mémoire de
M. A. Duméril quelques considérations sur certaines espèces (pii peuvent devenir accidentellemi nt
dangereuses. Dans la plupart des cas on doitcroire que l’intoxication peut ctre atlribuée a® .genre de
nourriture dont les paissons ont fait usage. (Yoy. Arbres et^ÉfiETAD^jÿROeftfS^^îUYREP^^Spoi»
sonneries poissons.) C’est, au surplus', dansfa safsùn du frai”, (jne-l’i'n trht‘(l?u inijdàn^i^i^' ■> dp
espèces inoffensives en tout autre temps.
, ‘ B’après Risso. le Congre donnerait à Nice la dyssenterie au moment de la ponle. Le doch i r
Franque a constate l’effet d’empoisonnement causé à quatre personnes par les oeufs de Barbeau.
Ceux du Brochet sont également, sinon dangereux, au moins fortement purgatifs, el p:0jaa>cert;iiiiscs-
tomacs plus que pour d'autres 11 en est'de même de ceux de la Lotte de rivière.
Le même Risso défend à Nice de manger le Télragonurc conspata, doni la chair est malsaine
d’après ses propres expériences.
La Bonite (Thymnus pelàmys) peut causer de grands désordres dans les voies digestives, quand
elle n’est pas Eppîê presque immédiatement après sa sortie de l’eau. Le Thon luitjniêwê:produit
quelquefois lès mêmes accidents“par retard dé consommation. 'Il est vrai que la proimpii th-de. de la
fermentation putride dans les climats chauds suffit seule à expliquer ces phénomènes fÜQrBidés.
POISSON VIF A L’HAMEÇON.^®f|y.WlF.;H
POISSONS VOLANTS. — (.Voy. Dactyloftère VQMîYP ’<5^)50ÈEt1;)1 :
POITRINE JpijfLa poitrine est, chez les poissonsj la cavité diKnitée prïnéipale'mênt p r ies
vertèbres, le sternum, lafçiajiçGÙlé et les omoplates ; la.capaciïe de la poitrine est, beaucoup moins
grande chez ces animaux que la cavité, abdominale.
p o ix d e c o r d o n n ie r . —' On donne le nom général de poicù à’ ^njjieujs
substances résineuses ou bitumijîeiises, La, poix bjancheou jaune, qui,n’est pas utilisée
pour .la confection des appareils de pêche, est de'la térébeptbinej solidiftfepar
divers procédés.
\j&poix noire ou poix de cordonnier est çelle dont Iç pêcheur enduit toqs é®s
POLTRON. 653
filsud»empilage- et de ligaturëvfG'’est-tout simplementdu goudron soUdifié'par l’éva-
p'oration solaire ou artiflxééUevjOn la prépare en faisant bouillir les résidus et filtres
qui^ervent à préparer, lajérébenthine e.t autres produits résineux : cette combustion
serait .dans un four et,J,e§J;qrod$i|!§ sont amenés par un tuyau dans de l’eau où ils
se séparent en ^©oonch® huileuse qui surnage et une couche solide qui gagne le
fond&at qui est la poix rumen
POLICE DE LA PÊCHE MARITIME. — Décret du 10 mai 1862, art. 12 :
' rJgLes préfets maritimes déterminent par des arrêtés,- toutes les mesures de po-
li|e |||o rd re ët de fUéèàütioitts propres à empêcher tous accidents, dommages,
avarMf colUîsïUhs, et c. et à garantit aux marins îê libre exerëice de la pêche-. »
ârt.. 13. '« Tous les arMt&è P fflïii p f 16S îhàfitiffi©» en matière de pê-
oheM'tiére sônt ébUfdis à oferebatiOh iU ffiiffiitfë SW If marine, et des colonies. »
■fièîis l’imposSibilitl dé t^gléifi'ëiitêi? i p divérSéi plétsëSj soumises à des Usages
var^fll raitës dâfil des lâfiâMtëf et tu iüiti'éU Ûe eîféonstâdces différentes, on a dû
remettre aux preflts màiitimes placés ëilr les liëtfiq le poÜVoir de fixer par des
n ie-llft Npbiajêb fe- i égffes de policé ht U'ordrS ptopfeâ à efiïpêcher, les acci-
d e n S l’es eollisiensj les ëSpiétéments, hfc. C'es arrêtééi àü surplus5 he font guère
q® sftnctîdnrifet d ’éneiens reglements existant de. tetripS îihftléffldfial et que sou-
É t l l ffêchéfirs htlt failë eüx-dhêtefes déni lé® propre intérêt, mais auxquels TeX^'
périSféS p h t à{5po¥jfëf aUtliéS ‘MôdiâiâttoBSi
td à çonuitishs de la ’p c h e qui se ffâtiqUe/êi téüfttoh Sê bâtêàhx ou d’indivi-
« i^ i&nt suivlht lés feetlMl. 6fi s’fiXhd'fe'étàR. gfllêS g'êniFâlisânt, I Contrarier
hé5B )6S S 1(é«*,W,s bf^i&48é,locales qui peuyknt fttre parfaitement motitëès; on
pourrait même occasionner aux pêcheurs des dépenses qui ne seraient pas justifiées
T^pérmet donc' 'désormais aux préfète maritimes de
prendre dans .chaque,arrondissement, suivant les usages des lieux, des mesures
qui s o iK ^ ^ f f l ^ ^ n l i i ^ i s ^ p a r l'â rîr'3 ,^ 1 uè laïoi du 9 janvier 18S52.;
POLICE DÈS FILETS EN MER.— Il est mordit à tous pêcheurs d’amarrer ou
de tenir leurs baleaux sur les filets, bouées ou. toute autre partie de l’attirail de pêche
d’un autre pêcheur. Il leur est également défendu de crocher' soulever ou visiter,
sous quelque prétexte que ce soit, les filets et engins qui ne leur appartiennent pas.
Il est interdit aux pêcheurs de placer une embarcation sans équipage sur un
li'etFèesipêéhÇfquelconque, pour’ garderæe-lieu d’une marée à l’autre.
Les pêcheurs-aux folles- tt-amaux et autres filets dormants sont tenus de placer
des bouées sur leurs filets,'afin que les bâtiments naviguant dans ces parages puis-
séhfïles éviter;
POLICE DES LIGNES EN MEr | | | Tout bateau pêchant aux cordes doit se
tenir sur ses lignes, soit en mouillant, soit en mettant en panne, suivant que la
marée l'exige, v
Lorsqu’un bateau péchant aux cordes croise ses lignes avec celles d’une autre
embarcation, lé patron qui les lève, ne doit pas les couper, à moins de force majeure,
et, dans ce cas, la corde coupée est immédiatement renouée. Si la pêche a
lien de nuit, les baleaux indiquent leur position eu allumant, de temps à autre,
un feu jusqu’à ce qu’ils mettent à la voile.
POLLACK. f-jÇVoy. LlSüli;^
POLTRON. — On appelle ailQsi-les crabes qui changent de carapace et qui se
cadtent, alors què leur armure n’est pas encore solidifiée. (Yoy. Crabes.) C’est le
moment où ils sônt le plus recherchés pour, la pêche.