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 latérales.  Ces  aniraaüxviy eut,'seuls,  dans le sable,  deifUrs, 
 petits poissons  et.'mollusques; presque-tous séjournent près (jes e'ôteset fournissent  
 à  l’homme. une. nournture.salne et agréahle.  Dans  la famille (dès Sélaciens,  oh re-  
 marque en outre des éyentspl&eés  ôli de®i^eàesi:yeuaE»*sÉi*iptt des ouvertures 
 variabies'de forrne,  souvent en croissant,'" par âé^ùé'Iles  I!animal . rajettêâleau qu’il  
 a avalée  et qui a  passé dajfôses  branchies  pour accomplir l'acte rde  la respiration.  
 Chez  cês1  abîma ux,  le  corps  a  la  forme  oUnn. disque"!et'  porte  une quesue'géné-  
 ralement longue'et g rë le ^ e s  yeux ,et les  éveïrts.sont en-dessus sqr le  d®sj.M  à   la  
 face ventrale, omvoitles pariqes^Uiÿu&eb^ien travers etllèfe-ouy&rtut’eS' brancçj aies  
 de formes variées£i|iës#agépipesi4uiSSal',es;Sént souvent rejdtfes^tesqùe;smr làqiâetie,  
 |—Ses prmcipauÿjaoi^aQpÿlats  d es - c0j.es,d e <larFr-ancffirJsqpM:  '• 
 PHeCtPi. i plalessa). *  
 Flet [PL  flesus).  
 Turbot [PL mnximus). 
 Baie  aigle {Raja aqûümaf. I  
 —  bâtis  ( Raja  bk/ü):  '*1  
 -  — '  blanche  [Raja  aléa).  
 bQnelee^(jRay® 
 PtKiüHbHK.CTES.  
 Barbue  (PL  rhumbus).  - 
 iS x K & ffil. votea) V  
 Gairfaïèt1 
 R a i  H H  ciajy'dçà/i, 
 [ —.‘"cllai'dijn  w'jjit 
 k—àj^Çtc.'^S&i-v ~ 
 TargfH/i;  *P zTXi^^,  etc.,,, 
 I Raio. Ax^yhnmuftif.BÙM^o'g u r h in - 
 [r 35^  - ’ 
 r$i 11  ttrwjfriïrf)?1^i . 
 POISSONS RONDS. — On donne|1ceJ-nom-,'parW^fe®S,Ê0iï^ ^ ^ ^P a ^ ^S so n s  
 plats,  à la nrçljeu  i tcY ^n  1 ' 1  '( ‘  1 
 cessent lespoiss'ons prd^efneRcTmts.'Yf" 
 POISSON ROUGE. — ©O®ADE DE LA CHIN^ 
 POISSONS  VÉNÉNEUX. — Notre  pays  ne  renferme,  heureusement,  aucune  espèc •!  
 vénéneuse  à proprement parler, mais  nous  sommes  heureux d’emprunter  à l ’exéeMiettt Mémoire  de  
 M. A.  Duméril quelques  considérations  sur  certaines espèces  (pii  peuvent  devenir accidentellemi nt  
 dangereuses.  Dans la plupart des cas on doitcroire que l’intoxication peut  ctre atlribuée  a® .genre  de  
 nourriture  dont les paissons  ont  fait usage.  (Yoy.  Arbres et^ÉfiETAD^jÿROeftfS^^îUYREP^^Spoi»  
 sonneries  poissons.) C’est, au surplus', dansfa safsùn du frai”, (jne-l’i'n trht‘(l?u inijdàn^i^i^' ■>  dp  
 espèces  inoffensives en tout  autre temps. 
 ,  ‘  B’après Risso.  le Congre  donnerait à Nice  la  dyssenterie  au  moment de  la  ponle.  Le doch i r  
 Franque  a  constate  l’effet  d’empoisonnement  causé à  quatre  personnes  par  les  oeufs  de  Barbeau.  
 Ceux du Brochet  sont également,  sinon  dangereux,  au  moins fortement purgatifs,  el p:0jaa>cert;iiiiscs-  
 tomacs  plus que  pour  d'autres  11  en  est'de  même  de  ceux de la Lotte  de rivière. 
 Le même Risso  défend à Nice  de  manger  le  Télragonurc  conspata,  doni  la chair  est malsaine  
 d’après  ses propres  expériences. 
 La  Bonite  (Thymnus pelàmys) peut  causer de grands  désordres  dans  les  voies  digestives,  quand  
 elle  n’est  pas  Eppîê  presque  immédiatement après  sa  sortie de  l’eau.  Le  Thon  luitjniêwê:produit  
 quelquefois lès mêmes  accidents“par retard dé  consommation. 'Il  est vrai  que la proimpii th-de. de  la  
 fermentation  putride dans les  climats  chauds  suffit seule  à expliquer ces  phénomènes fÜQrBidés. 
 POISSON VIF A L’HAMEÇON.^®f|y.WlF.;H 
 POISSONS VOLANTS. — (.Voy. Dactyloftère VQMîYP ’<5^)50ÈEt1;)1 : 
 POITRINE JpijfLa poitrine  est, chez les poissonsj la  cavité diKnitée prïnéipale'mênt p r  ies  
 vertèbres, le sternum, lafçiajiçGÙlé  et  les  omoplates ; la.capaciïe  de  la  poitrine  est,  beaucoup moins  
 grande  chez  ces animaux que  la cavité, abdominale. 
 p o ix  d e  c o r d o n n ie r .  —' On donne  le nom  général  de poicù  à’ ^njjieujs  
 substances résineuses ou bitumijîeiises, La, poix bjancheou jaune, qui,n’est pas utilisée  
 pour .la confection des appareils de pêche, est de'la térébeptbinej solidiftfepar  
 divers procédés. 
 \j&poix noire ou  poix de cordonnier est çelle dont Iç pêcheur enduit  toqs  é®s 
 POLTRON. 653 
 filsud»empilage- et de ligaturëvfG'’est-tout simplementdu goudron soUdifié'par l’éva-  
 p'oration solaire ou artiflxééUevjOn la prépare en faisant bouillir les résidus et filtres  
 qui^ervent à préparer, lajérébenthine e.t autres produits résineux : cette combustion  
 serait .dans un four  et,J,e§J;qrod$i|!§ sont amenés  par un tuyau  dans  de l’eau où ils  
 se séparent en ^©oonch® huileuse qui surnage et une couche  solide qui  gagne  le  
 fond&at qui est la poix rumen 
 POLICE DE LA PÊCHE MARITIME. — Décret du 10 mai  1862,  art.  12 : 
 ' rJgLes préfets maritimes déterminent par des  arrêtés,- toutes les mesures de po-  
 li|e |||o rd re   ët  de  fUéèàütioitts  propres  à empêcher  tous  accidents,  dommages,  
 avarMf colUîsïUhs, et c. et  à garantit aux marins îê  libre exerëice de  la pêche-. »  
 ârt.. 13.  '«  Tous les arMt&è P fflïii p f  16S  îhàfitiffi©» en matière  de  pê-  
 oheM'tiére sônt ébUfdis  à oferebatiOh iU ffiiffiitfë SW If marine, et des colonies. »  
 ■fièîis l’imposSibilitl dé t^gléifi'ëiitêi? i p  divérSéi plétsëSj soumises à des Usages  
 var^fll raitës  dâfil des lâfiâMtëf et  tu   iüiti'éU Ûe  eîféonstâdces différentes,  on a  dû  
 remettre  aux preflts  màiitimes  placés  ëilr les liëtfiq  le  poÜVoir  de fixer par  des  
 n ie-llft  Npbiajêb fe-  i égffes  de  policé ht  U'ordrS ptopfeâ  à  efiïpêcher, les  acci-  
 d e n S l’es  eollisiensj les ëSpiétéments, hfc. C'es arrêtééi  àü surplus5 he  font  guère  
 q® sftnctîdnrifet d ’éneiens reglements  existant  de. tetripS  îihftléffldfial  et que  sou-  
 É t l l  ffêchéfirs htlt failë  eüx-dhêtefes déni lé® propre intérêt, mais auxquels TeX^'  
 périSféS p h t  à{5po¥jfëf aUtliéS ‘MôdiâiâttoBSi 
 td à  çonuitishs de la ’p c h e  qui  se ffâtiqUe/êi téüfttoh Sê bâtêàhx ou  d’indivi-  
 « i^ i&nt suivlht lés feetlMl. 6fi s’fiXhd'fe'étàR.  gfllêS  g'êniFâlisânt,  I  Contrarier  
 hé5B )6S S 1(é«*,W,s  bf^i&48é,locales qui  peuyknt fttre parfaitement  motitëès;  on  
 pourrait même occasionner aux pêcheurs des dépenses qui ne seraient pas justifiées  
 T^pérmet  donc' 'désormais  aux  préfète  maritimes  de  
 prendre  dans .chaque,arrondissement,  suivant  les  usages  des  lieux,  des  mesures  
 qui s o iK ^ ^ f f l ^ ^ n l i i ^ i s ^ p a r   l'â rîr'3 ,^ 1  uè  laïoi du 9 janvier 18S52.; 
 POLICE DÈS FILETS EN MER.— Il est mordit à tous pêcheurs d’amarrer ou  
 de tenir leurs  baleaux sur les filets, bouées ou. toute autre partie de l’attirail de pêche  
 d’un autre pêcheur. Il leur est également  défendu  de  crocher'  soulever  ou visiter,  
 sous  quelque prétexte que ce soit, les filets  et engins qui ne leur appartiennent pas. 
 Il  est interdit aux pêcheurs de  placer une  embarcation sans  équipage  sur  un  
 li'etFèesipêéhÇfquelconque, pour’ garderæe-lieu d’une marée à l’autre. 
 Les pêcheurs-aux folles-  tt-amaux et autres filets dormants sont tenus de placer  
 des bouées sur leurs  filets,'afin que  les  bâtiments  naviguant dans ces parages puis-  
 séhfïles  éviter; 
 POLICE DES LIGNES EN MEr | | |  Tout bateau  pêchant aux cordes doit  se  
 tenir  sur ses  lignes,  soit  en mouillant,  soit  en  mettant  en panne,  suivant  que la  
 marée l'exige,  v 
 Lorsqu’un bateau péchant aux cordes  croise  ses  lignes avec  celles  d’une autre  
 embarcation, lé  patron qui les  lève,  ne doit pas les couper,  à moins  de  force  majeure, 
   et, dans  ce cas, la corde  coupée est immédiatement  renouée.  Si la  pêche  a  
 lien de nuit,  les  baleaux indiquent leur position  eu  allumant,  de  temps  à  autre,  
 un feu jusqu’à  ce qu’ils mettent à la voile. 
 POLLACK. f-jÇVoy.  LlSüli;^ 
 POLTRON. — On  appelle ailQsi-les crabes qui changent de carapace et qui se  
 cadtent,  alors què leur armure  n’est pas  encore solidifiée.  (Yoy.  Crabes.)  C’est  le  
 moment où ils sônt le plus recherchés pour, la pêche.