
 
		de plusieurs poches ét_servant à  renfermer les  différents petits. ohjelgç  
 le  mobilier dusac  à  jîêche.  La Troussç e^-qrdinairement  fait,e  en peauj ;  
 les hameçons des lignes- ne  s lf accrochent pas  et que  Thum|ditéJ;a^É^te|,>^^^i  
 facilement. Nous, avons, eongtrpitdeâi nôtres  enètoààèt cirée  et nope*rnousen trouvons  
 li^s«h|ens à  e#i|#tion que la loile qirée soit bonne,  flexible, »g^ntpq^esant&i cequi  
 ne serencontre pastôujoUsé.^ U 
 ' Nëys avons^scindé  la Trousse  du pêcheur  entrois partie^La  plusjgrandqefl  
 demeurée celle qui contient le plioirà ligne, décrit au mot fflio ir. L^mconde. forme  
 une double poche dans laquelle  est rangée notre collection dé %yes*de. différente  
 espèces  e t  dont quelques-unes,  les  anglaises  pieuses,  pér^egernple,  sont .fragiles.  
 La troisième-p®f|^teMè II p o rte feu ille .des avancées, dont nous avons donné l%dpsr  
 criptioaà ce mot. 
 La Trousse du  pêcheur ài la ligne  doit  toujours  contenir une petite  pierre  à  
 aigüîâèr ïéSibameçônij OKé  limé douce pour le même usage* unejou  deux aigùtllfjjj  
 à enferrer î i  poissonvif, un OttdêuxdegCtt^eoirs cte grandemSfdifferentes, de petits  
 ciseautj du fil# , dé la soie cirés et poissés tout prêts, de la ficelle da-lia^utd.^^iej  
 un  ïnôfêeau de  feuille de plomb,  Ûn  taffetas  d*Àng-leterre,  une petlteipiace. jÆ te ■  
 dite Bec-Corbin, un  couteau ou deux à'défioeher-les lignes>r'un;icpüteau igèll çp®-  
 pant ou un fort-canif^ etc.,  etc. 
 ,u^t|R.êfti^érati<Mi,,  fort incomplète  malgré^.  |^igujeÿr,. .effraye  au  premier  
 coup..d[ceïl le pêcheur-mpyien, mars  tout  cela. se „case dans •urypcùii esp^ç^et,  au  
 bout de  quelque temps*-de, service, la Trousse du pêcheur-, gn^^^üÿ^çontienUbien  
 d’aiitres-chosesqui trouvent leur emploi et dont souvent  il^^^ÇfàÉ.'efEfaiEpsgé7"'  
 de dire-la piPVenance et le but.JLe.sac du pêcheur est  comme celui. d j ^ ^ à ^ ^ À e   
 boîte à la  malice dont les ressources. un sont connues que-de m  maître 1... 
 T R O U S S E   [P ê ch e   d e l ’A n g u il le  à  la ], — ;Cette  pêche est  simplèmenJcijeEp .à  
 la  Vermée (voy. cé mot),  dont le nom change suivant  tefeJfenxi lyimffuillra^i^ craignant  
 pas l’eau salée ou du. moins l’eau saumâtre, se prend  toutiausgijfejen*da:p l’§s*  
 ports,  comme ADieppé,  dans les angles  du port h flot,  -^ q u e   dans les petites  
 ri'rtlrésrdes environs où à la retenue du Pollet. 
 Les pêeheursà la trousse déposentlêiirs Anguilles à mesurequ-jals.lçs prennent  
 dans  un vieux  parapluie  retourné  le manche en l’air  et p^p^^gglaîcutuent,  4e  
 bout opposé  figé dans  la terre (m.  s.  de Savigny}.  Dans,ce  pays,  on  pêche  
 guillq de nuit aux j e u x   (voy., ce mot) amorcés de vers  de lerre -h  tête noire,  de  Gne^  
 v e tte s,  d e   C rabe  mou  ou  p o ltron .  Pendant  le  jour on la pêche b$lér3fçoy,$se,  ,.et  un  
 pêcheur en prend ainsi  80 par jour ; enfin,  deLonne heure le matin  et tardée-soir,  
 la  ligne  de  fond avec  flotte, ligne  traînante  amorcée  de. capeleuses, ou gwaveMes.  
 et mieux d’ün v e r  d e  ierr%rpu achéei Lafiserheaucoup mordre.  On emploie* aussi  la  
 ligne à soutenir.  (Voy. cè mot).; 
 t r u b l e   et T R U B L E A U »—".Poche, de'filet montée  à la circonférence' d’un  
 cerclé de bois ou de fer auquel  est  attaché un manche  plus  ou  moins  long. 0 roÿ.  
 T rouble.) 
 T R U E L L E . — (Voy.  DoRgË,fLÙÎ 
 t r u e t t e .  —   Nom  provençal  cfue  les. Marseillais  donnent  à  la  Do rée.  
 (Voy.  ce ihot.) — Nom gascon de la  T ruite.  (Voÿ.ce mot.) 
 T R U IT E   [Genre]  (Trutta,  Risa.). —  Malacopt. abd.  sàlmones. 
 Distinguer la Truite du Saumon, et récfjproquement,  est plus  facile d’hn trait, à vue, et par l’habitude, 
  qu’au moyen dé sigues bien franchement distinctifs. Il en est des genres de cette grande famMle 
 mi  u  i bun^vIi| uii|^ h Li  i  ,mU a J t j des  caractères 
 a 11 tt't fijîi iq1 j ûvgjj® 
 'J* tes  frnlre»,  L aux ilià hoiresj 
 ma's  auX'Palati^^t A ifflluïïjlfiro j^Wr1, î taiT^gfnmKfo inon  ‘tandis qu’ils 
 ^irOitônT^ëgrp  S obthnflu«a)?5^[B‘,'.''TTuitT s 
 Truite E '1 r uite deirS in t 
 çf1 l'euî" taihp|®]u^'igî!|l;^ès  dents toig-  I  
 jjbenl  <  îcio* 
 caract^ilde'Hdànkéiïïï^Lfrcli'/J  
 ^  <u di'-tèfp*b['ù i .'p?i\i-te * cli'*?mFW’I  J   I 
 y.alè'ùtqjopr KsVdl^figubrrttpspdM'és^aîiiiionfitei^®?] 
 “ la coàs.çMSpoupse^ârerjjfsr; e^pMâlsJntre elloi. f&udjcj}!,! I  
 r^'i'às  'di^ohè  le1-  il*dfuit 
 f.Æ®®^Wci'èîice  nja. pidîtot  eTrc'dn^ËS'ù'icIleiL.pi11  prp-  I  
 i-nonp%u'r'I4> Ui>  tnrr fuen  liaiic liee  dp-  tsJjiVès  it’j  
 J^afs'TOÜié'té'è.  Nôtoé ^MS‘^présfejira^™kJdcntitî^|| 
 Vffi£nërteïi&e%ÿprè'8i3BiE#teard, SSrai'sfLles  
 ''WWB! f> ieux»i$vwiflf BltBii Mlil /  ■ -1  lÉ‘Pii niBf  v~TlraB■ iB^ Truite MimfffEpH 
 rcgifettoij^tineait  ..coTifonauJ.in*®KvuirJn.iiL,, 
 ncùs  a, .l’onkH'Wf^   iniae(^wM^ffiî'fë?Çfi«'‘nl6e''ai0c" la  truite, ''du muni e j |m ^ ^ !^ ^ touiè.?’ilittg  
 ■- 
 Il eon^^B'Mpî&ii'éïte’r'PKai dorlirspri1 -c'n *0 do-, déiri^^vinift) j&nri' ■!*qi^;5'(î&iîirri(hcajdidpi,è«ict cs--  
 so il^ fé’û^, Tà*‘  : ■ 
 p^niï;'o_îê;;^m^c  trom'erà*  
 yWf t ' i S i p è f c n ^ p ;   ('lu/  la  Trs®^™ 
 P K 't   Ttipnîr?  plus éarfçj 
 «OTjP'''(' Ifp’ï'lf'^Sîn trà orj,  où^tb^fe* les pTëCÈs 1  
 1 pfesëiiteW cffeH  
 ftîî te- ( ourtmii' ouMra^wiïif. 7$ 
 T R U IT E   A R G E N T É E  H H y   
 ^ . è lle ■bru?ktMBji^ fo| au  lac'.ù & Conr  
 ■ B'i<Tuet;fej|)iit  djlfe  ]^h,insta/r.jif ds - 
 pgîjïî^il'C1.  phivrcelH'pciiés,  n’.t  
 ^  é té ’ lrôiAl^@!îftlnmij pur  âu®i)® ' p êfagafec^ 
 ' Tête de  Saumon\ 
   raré~^ ^ S  M. 
 ex,pIorg,te,tïr; ^ ^ ’étahlissem.ent^i. Huningue,  dapsîùnë1^ S | ^   l'jui'in'çvçn  
 -ait  cependant jteouvé  une  fem elle  ayant d es oeufs. Ges  clans, l’o ^ ù e , 
 avaieUt  à  peine lteig^^^icçè^eeu^ "de  la .Ga^pÇ  oo m* enun e t, T  rJL uitc (‘taft 
 h)en mmésp? ^cjMrtacuMi^^l; seiait-il pafeçxtr'aorc^ ÿ ir e que,ichK^'Æj^.û'(ïsbîîtàt  
 cèj|^^BES|.P^tits,  différant autant, en  q/el^ cl^ceux  clc^ ^l¥m>ltss{Tj uite jnfeùiue-.  
 I^a^ ^ pitipp.  de.'Ia  Truifc(e   argentée  ne  seraiLcilc ÿ a s  ,c®fo  d’im ^ m   
 *Truibe-Commune deviendrait  s té rile ?'Ou  enjcorè^usseraùi-ce  unfcruH  clp  dp.yrç]qppiî-  
 m©M particulier* qUitçjidrïiit à ü'nè‘ aflèpâiie  des  e s i t l a m o l s ?   
 ration gé'perJê” du  poisson?  Toutes  ces  q u é â r ^ ^ ^ q p ^ ïïsq l’î’à'  j)ré;ent  sans  ré-  
 -.^pq^se,  etjffite^h- est.r.édui-t à dMmrer  de  ne  potiratea/^re/lüjré  dans  lio s^m x /u n é   
 espèce  si  remarquable,  tant .poùr  la   qualité, de >acliainOTU-p^lr Jii, ^ cm lm ir  .dp  
 sa robe.  '■ 
 Cê^éhdant  on  trouve,  dans  leurs 'éaiix îia ta^P ^fes Truitesargèimic^ ^ mes  
 , Silber For elle  —  de  .toutes  les  td lle s  . g o mment  e x p liq u e i^ ^ l^ 1 î netn e ?' ÎJês ’pê"  
 -cheurs  allemands  donnent  d’ailleurs» u n  ,gmnd  nom bt e,.Æcy ffomsji füj¥ÿ> Trinles,  
 ■suivant  l'endroit  e 8   ilà^Tês  preumehA eit oeuxiNÿügi&i^araissgail^^fectipnners,  En  
 géhélkl,  la co’lbfation  chanfèSuivant  ôés  différenits  miliétfiÙ"%ls -ont  la  Grüiïid F ê-  
 relk-,  on  T ru ite  géjù'èùoeLquij»!çénd  îiiiÇ*^oï?^îitoMu,fcfif&BS,®lïràrara»"^OT^lSiQiieHo ■  
 ses tachés  rouges ressortent à  meryéil®Tls  om,;3av;Sùin:lm^&"^Truitè de roçhe