sorte p risla forme üu trou dans lequel eflevivàit
queue, était de O” ,82, sa'fcircOhférencè de fi™,67', son *j>oitfs ■ dè;'5^280. Sa fctJSiî ^é^érasnf*
remarquable, car son ventre était vermillûriné commexêlul 'de ^'OçdÊfe^afi.ë'Yalier. Oii 'c'qnfsffeva c%
curieux poisson dans un étang, et plus' d’un an après il se portait'enoqre‘très-bJan. »
TANCHE. — La Tanche fréquente ifeg^^^os!!@ j \ que
les étangs aÔK*riiq^§:i'Elle aime toutes les pâtes où'Lon.Amèlé.du..goudron.
Le meilleur temps pour la gèdièr estjonaaffl'lAsIm'ws Celte
pêché se fait près de terre et demande que roajflfi&dq temps émtemps de-petîtes
boulettes d’amorces , cSP^cfr pbfssbû‘'e1it T^jïB’ÇreiilP ét'i pare'ssWx '’à/^Ôpi1fé. -
Quelquefois, .en,été, la Tanche s’élancera tout AcaupTmrs de l’eau-pour hagôÆl©s
insectes au vol, ou.faire tomber une mouché,
Quand^lé' temps est réouvert, et qu’il tombe une petite pluib dgaBeLqîest «
moment où dans les étangs la Tanche se promène aufondp^Péau et mardhien.
Hors cela,; elle .est peu gloutonne, et- dans certaines eaux, ne mbrâ,pÈ^.dû tout
La'Tanche s’èqgoùrdità demi^ians la , eaux tranquille^.q.i®I|£fr é-
quente de^préféredfee elle se nourrit, emùmeTes Carpes e t -h'a'bile-\ olj^ieis ,â\ e eri
èllesgimais, plus heureuse que sesyoislnes, elle est à l’abri d e p o i s sons
dp proie,'mais hâtons-nous d’ajouter pas à l’abri dè celles jBBBdè.f|çoio.
Quoi qu’il en sbif; des observations jsédèiktes floStjwSwBBes confirmer ce*|iait;-
avaneê depuis l’antiquité, que le BreGhét* l’Anguillb, la Perche ne moicà.ént pgsur.
la Tanche. Jatnaiq on ne prend une seule-Tancbù, groæe^qîl petite, dont le R |||t
ou lesnageéires portent les atteintes du glouton, tandis qu’à chaquéfMifârït, tous les
poissons de l’étang se montrent amputés ou’ e%lr()piés. jle^Jrèl^i'fé'p&retqe leur
corps A quoi tient cette curieuse immunité ? Certains au^^^l’atteih^Wt à*»viSi*
eositifjnJwndante qühsuintè du corps entier de la Tanche et qui, séHS^ouîtapfi*
sente une odeur et une saveur particulières. Que ce soit là le-motif.de la répulsion
du Brochet, j’en doute “presque, car, sousTëran subitCT^i^îsirniP'nle ragre riès
eaux douces, la Tanche serait atteinte et blessée quoique reVi.tr hée *si 5o a <*h or"t T,
pour le Brochet, insupportable,rmais au ’mpins-.jelje.en porterait les .marques et ce <
phénomène dèvrait se"reproduire. Or, il n’éa est rièn.- :
Quant à moi, j’attribue l’immunité de la Tanche vis-à-tis du Froçtet^’frfTSî
bien simple que l’un éfl’qutré’hahitent, dans lamême eaudel|eOTrolïs rail* à fait
différents et comme séparés par une barrière infranchissable. La Tanche ne quitte
pas les fonds, elle vit sur et dans la vase, et quelquefois plongée dans une. vase si
noire et si fétide qu’on s’étonne qu’une créature animée n’yv soit pas immédiatement
asphyxiée. Le Brochet, au contraire, n’approche jamais cës" lieux-là : il vit
entre deux eaux, ne descend aux grands fonds qu’à demi
l’hiver, et alors il se choisit des endroits propres à le receler, et nçq, à le voir
chasser. Telle est,tiréedës moeurs certaines des deux poissons, la raison de l’immunité
d e l’espèce inoffensîve.
La fflême raison qui sauve la Tanche-dés atteintes duErocbit, k
même temps des attaques de la Perche. Celle-ci vit également plutôt à la surfaoe
ou entre deux eaux qu’au fond ; elle fuit comme le Brochet les fonds vaseux, le
milieu des herbes grasses ; elle ne parcourt que la cime des-joncs submergés, entre
les touffes desquels elle s’embusque pour atteindre les petits poissons de surface.
Et cependant, bizarrerie inexplicable ! le Goujon, ami du fond, est très-recherché
du Brochet et de la Perche. Mais hâtons-nous de rappeler que le. Goujon est un
ami des fonds, il est vrai, mais des fonds sableux, et qu’il ne contracte que rarement
le goût et l’odeur de la vase. *
Enfln5?siJjçg;S;li,éâti^itw^semibl-feÀipeui près possible vis-à-vis du Brécfcet et
ell^ ^ Lli'^ ^ isftfavoùer. tout à'fait eu défaut via-à-yis de l’Anguille.
Eq. effet, l’Anguille est dans le môme milieu que- la. Tanche : ûk même boue les ret
o n s deux, et cependant l’Anguille paraît .cfuhlîer saÀ/voracité naturelle
j ÿ ^ g ^ a ’elle pent attaquer la Tanéhqsdg jour-auisribîen .qpp »;de .nuit.' Est-ce que
visqueux csqtre.visqqeux né sait?....
Kk T#11 d r e ^ ÿ t J ..;Fraohlin, ipebdanglbi.. nuityî-phisieursi lignestamorcées
’É P B te ^ ^ a rd o iis ^ l’. a n d W s ^ ^ l é ^ 8 et- TanchèsV.Gr, quand de
m a tin ^ jv e n a it ^ I j ^ q j ^ ^ i g n é s , ,e^W0uvmTdes|AnguîÜes.etede.jeunes- Bréchets
pris aux hameçons garnis avec les autres poissons, mais non à ceux qui avaient des
iJÿ^^^^MfîiSf.'âs^Bâit^^&idernières'.étaieiïts, au.eé%trâiEe-, aùssLviyes qu’au moment
où on les avait plongées dans la rivière la nuit précédente, tout annonçait qu’elles,
3jHBpeQ^ Tas même été attaquées. Je cite le fait, après en avoij g jteM LM w n id é
l^ x p é rie n i|^ ^ ^ ^ |g (jifa i|^ip'Jtpquyft^^M règle démentie par i|ij|? ïe |ië Exception.
J |aÉ(Sfi^^y-|é ]Qftés. confrèresaen l’art dé-la pécnfe,"ëtjtous m’ont répondu avoir
observé comme m o i, à quel point la Tanche jouissait du droit d’immunité
\ is-à-vis , des attaques que les voraces habitants de l'eau dirigent continuellement
contr<: les autres poissons. »
TANCHE DE MER (PhySis tinca, Cav.). — Maiaooptérygpais subrachieiis. gadoldes.
Ejgqg^inax.
La Tanche de mer se distingue du Merlu barbu parce qu’au lieu JL’aVo^Gfïa l re dorsale haute
et pointue, elle l’a basse et triangulaire, tout à fait semblable à celle de la Lotte. Elle a en même
temps, les rayons des ventrales beaucoup plus 'oeurtsafj^l
t^ilii-Lffifêtei^^-o’sSé'^leiineiIton porte un barbillori, et' le dos-â.nageoires plus longues. La Tanche
de mer a le-corps oblong d’un gris,noirâtre surle dos, et le ventre bleu argenté.
’ Très-commune dans-la-Méditerranée et très rëclierchée pour la débeatesse^de sa chair.
tanch e d e m e r . —ÿ@oy. Labbe vibille.)'Là Tanche-de paer se prend dans
.la- même manière que le Menu barbu, dont elle a les moeurs. '
TANNAGE. Lût tannage des filets a pour b u t de- les empêcher de pourrir.
Pour 1 exécuter, o.n prend une certaine quantité de bon tan de chêne moulu, que
P ^ -p la q e danggune chaudière remplie de la meilleure eau possible, d’eau dé
pluie, SiîKion-..p&ni s’en procurer ; puis on fait houillir%^. fout pendant une couple
d’h&ures; „>
Les filets bien séchés à l’air et parfaitement nettoyés, on les place dans un
baquet et 1 on verse' sur eux la solution de tan encore bouillanle. On pétrit bien lte
fjjiets dans le liquide, -les retournant plusieurs fois\âans la-journée, et on les laisse
tremper pendant trente-six à quarante heürfes,1 au bout desquelles on les retire du
liquide et on les m et à.séehèr. On répète cette opération une fiîis par an.
. Ti’einplôi de plus-^en plus usuel du cachou, importé dans nos.pays, l’a fait appliquer
au tannage des filets marins,' et aujourd’hui presîjfite tous sont Conservés au
moyen de celte matière. Le cachou, étant beaucoup plus riche en tannin que
1 écorce de chêne, tanne bien plus énergiquement les fils et les préserve mieux.
L opération se fait également au moyen de l’eau chaude, saturée de cachou, souvent
mélangé de tan de chêne pour en abaisser un . peu Je prix,
ré; On a également tanné lés filets par l’emploi de certains goudrons que l’on retire
de Ja houille. Le Coal-lar est le plus employé elles pêcheurs se louent, dans
certains cas, de son emploi, malgré la couleur noire qu’il communique aux filets,
et l’odepr pénétrantè dont il l’imprègne;
t a n n a g e d e s l ig n e s . —Le tannage des lignes, surtout pour la pêche en