
 
		NOYEE. 
 N O U R R IT U R E   D E S   V E R S   D E   T E R R E .  — -Nous, avons trowvé ’dais délivre  
 de  Th.  Barker écrit ;en ârj.gtais-^çriebï,  ÿ.ueïfUds^recettes?éwi'euses,?{fêa^®!itres  
 celle  qui* suit.-;  :■ 
 Aiprès avu^OTeoômmandé  4b <&îWiçrcfwaioB. «te vers de 'tenjB'soçgÇB ‘à noeud,  
 comme l e 1 meitl eur  pour la.piohÇ" âvedde ver ‘caniTglfefyify.- 4 ‘cAaes){  de 
 mettr^da&sièin pot de -terre vernissé,  Si^i? udèîCouéhê^d@fB®'tfe§'6*bienr fraîche el  
 ''fë^plus'-èqrte possible. Là,  lés vers commencent ipaJr tûaigrk/:VÜ;;sVg^4rl',leS!i.our-  
 rir alors pour leur dernier de la fomedet pour qu^l^^i^tëu^Mh'^temps àplâu. 
 Afin dè les rendre  vigoureux: et; ? g ra n d it' notre -vieil auteur, ' il - fauter endre  
 jun iaune d’oeuf, huit ou dix  cuilleÉé^'du'^èsàpsjdiîilait  fra^R-pÉtel^ jtapçaçfeite-  
 ihént ehserntfe dans-un bol et"chauffer légèrement l‘emélange jusqu’èste fu e  vous  
 le.voyiëzcâiller. Otezràlors du feu etlajssez--sefroidir^^)ifsque ÿepïDële.ngepstwoid»  
 preneSintune'Quillen^e.-et la mettez,  goutte par goutte,j^Ktaÿnhottese'H'daps lH |d | 
 . chaque'^dutte étant à_peu,près .dj^Jgpoîlsem: d’u|gg^|ji poisrîeij^ümn’^ z ^ n p is s e   
 deux  feip p arl|emai^Pfet été,  une  fois en 5 l4 j^T e ^ pQ lP '# ^S ffl^«w pP !pfe H   
 moyen, vos, versgrOs et bien portan^Jpendant^iTïÇ'.,d&?SP!S‘ année. 
 N O V E M B R E .  CAEÉNDRI^jR©$|EÈ$HElïR  A  LA  LIGNE'.):;  ‘ 
 N O Y E R .— (Y o y / CONNECTION DBS  C ANN B8«)afci 
 LeNovec,  en  sa'.qjualité'de  bois d o u i^ ^ ^ ^ flc a xM e ^ e r t’ à  faire V W §   
 cannes lésfplus.î.eeberebés.  se.poliî:i'aiâïmi^lÇffi|nf,^îên'n'uiiJf/è(-,lu; dg. 
 le revêtir  d’u ^ e fn is ^ fu i  augmente  l ^ m p ^ e t  e n f ^ ^ p l  tèmps j ^ ^ ^ fé i ’une  
 canneifaite avec  soin.  Je'sais-bien  quëCëigjlIMe^si^lâniétp^id^^i^l^^jiaâfe | | |   
 pêcheurs;qm’Sregar.dbnt Ja  rusticité des> appfaj^pewrrde^üi^larantie WlgÈMileR  
 de eelui qui les'empldie. 
 m   permets.d’être  d’un'avis i tout'à  — 
 comme à lâchasse-..^ çe n’est pas le plus luxueux aÿ g £ ^ lr’q u i ^ ^ S ^ l ^ .t R a p porte  
 le plus de gibier, mais cem’estpas u n e ^ M ÿ p o u ï g ^ r ^ S ^ ^ ^ ^ s e  le  
 mieux monté ne doive jÇorcétneKt l’ejmporter^sur  l’autf(‘^^^p'3SSn3ïï,^^n1l1ti''.iK'  
 faire  étâMge de:luxe,^nôus‘rècdmfflW4«Asf àbx T^chlu^ s oisneu£ùWge^mMah  
 pécl'ffp ÏCTirsoutils qui lés p o|% aJi les^mbellir autan£fl.ue npg§| | | ,n o nA » tfe 'eils  
 dq-leur solyJRé ni  de leurn^oem'^itéi, mais d&nsiJj^ffed’assurer  âg ^^p&enter,  
 s’il;seipeut, l’p n e  e t l’autre. 
 G’festhiüsique tout è®t tfeè,êmmaddant Iffeitt^IpfSjW^ér, du  
 bou  nous ile proscrivons pas ecîûi du simple R o s e a i i ^ b i e j e J a U ' ^ "  
 commandons presque partout,  quand on.youdra p^ssZd^er.um ^ ^ | a ^ c f e  sBde,  
 légère  et résistante. jÀinsLnous  mrohs .toujours  au piff&eu^;^d%a^àdèl-nùnt&r  
 vos' càîines à doublesmi^êjsrde  cuivre^et à épaulemeRt^S’-êètilatàeliltiîïnontufe sol 
 i d e , temps, nous  lui  dirons  :  YefsSissëz  au 'v'e'rnis^mir  f i t |  vos  
 viroles dé cuivré 1 ® %   brillant  :  au bord  de  l’eau  trop 'ir ^ e r   nuit,  trop  mrler  
 cuitL.»/S)yez muet et invisible :  passez comme l ’ombre  et<^jft§n®^--- 
 Le Noyer présente im défaut, e ’ est' son poids g aussi ne le, Hggem'mandons-nooS  
 que  pour le  bas  de  la çafnrfë*:'  il porter^  la  lance d’âcier qui gërt’à flxerp falstru •  
 nieïit ebterhejWle-moxiiineÇFespoir,  lâ  rd^duffô’ suprême duÿj^hèùr ew'ahger.  
 Ce pied de  iigae  sera fait  en bois  de coeur,  bnis.de  fil,  sang noeuds :  gm%-y-fnira  
 au tampon après  l’avoir poli,  et,  par  son aspect veiné,  il rappellera auvehasseur k   
 crosse  de Son fusibde prédilection,  crosse de pêche ou  crosse de  ebasse,  l’un vaut  
 l’autre, e t toutèsJleux"sônt ehères au campagnard qui sait  s’en sè'rvir. 
 N O Y E R   B L A N C   D ’A M É R IQ U E . — .(y M 'H icROrI ; ) ' 
 M# Y E R IëbMJ'é'P OIS S 0 N. 347 
 NOYER UN POISSON. —j^ôrsdu’onfenAehe';avec  attention,,  il  faut toujours  
 lïgjji é ,a '? 4 i^ «^ d ’é'l'’bameçoiii surtout, soient-les. plus  
 avant-tout,  de les^^jfstraire  aux regards  
 défiant^^p#ig|^un peu'gros. Mais|^iTO^^^|^I^igne estfine, plus Uvest 
 Si  l’on voulait r&Jd^êf|^e>semtoi^Wi%:Qtfeiyi^^jjaprès afê-k  ferré,  le poids  
 dMnMss°T?^l‘jæ|g^l&tlAl*étda'n^f|jipaii,la Jç9*a,ieiiiit^itlfecat5?tout rompre; dI:fautjdon^-  
 sbjgâtd’er, R f  m o n ] e n r '  lafeanne  ^SffetittfélépfSilnïant unedigne1 droite  
 à K,^^fi®^4pêchèTOWicar^^lÿ^?spul:ei,position‘ dans  laquelle  
 l’éltatTO^.de ÜP^ u p e,  du'1  njjIlC; '  çcousse  du 
 piiS^Hffi®Ç,jntrd  de 'deuX'ejiMfer’l’une.,  outque la 
 lia n ^ ^ ^ j^m u .m ^ J .a  btemire,s’i a r a n d a . n i econ,  sort^fepcîvg.souvent, 
 P*aà‘d’h-atfieQj0T^iÿïi'S-aïTaôliei^rnais une partie  
 il'dj^^^mp'lrc dp  rMimih  ceIuiï^EMéJb»P‘*1  pa-Minom^perdu., 
 lUrnffif®. le  1er d^hamuicJ^ê^cai-se* niais'( et-aAniî^Hn^i^donoin^jpa^, mnint,  
 î.  ( fuelqT^i^P^a 
 ^ll^^imffitrtantpès qu’um ga^jgoîÿoin est açcracfcéÿ<dc se hâter des'i&^  
 lTOl ih»1canneM^pl§ S éig'netv^as-aube’ mouvement  agiras,  puis  dfetmemer la  
 d^îl^uÿuniab^e-d’au tûoisi&lâS0^souvent .même il y  
 uftrer ce’sffiôUSOTeht■et-M^M^,eB^yp§«nft'.'dflnsa^e^p0 sition-,.pres-  
 ffiiMiy ‘îim ' "'cien  oppos'e/'M^rè, tente  sou  élasticité aüixfs^aq^iàssesïjet da;dé-  
 f  au  lieu  de^*^^p^,sür un pumt^é^mant/is’anéaïÿit ‘à faire déi 
 cr^teaa  canne une gfflasîmnlus pUjinateis pgpnpneé^. B 
 ^Tiiptf-eji.ü-1j d l i a k q n s   ici-;qu^^^qgJasàne  simple, mon  munie  d’un  
 'ïhrQ K ^ ^ ii VUii?é.et'®E^fe. manoeuvre change,imais elle.rejsdent toujours,  comme  
 dernieTyafe^^^®|Ie^que'iù0$is ehsayoïag. de'dABri^ei;^,! 
 i'Î^^^Bè'vement-v'^É'êa} de ht canne" a> '^©yàéupeu.' à .peoe le .paissop  à se  rappro-  
 ^ ^ K Ë ê c h e^ ^ ^ p t alofs ’q^u’à fleur.d’eau,.il  ruse, il^se débat,  il joue.sa vie-aveJ4  
 uife''£i>rd^^®juifë,adresse qui dépendent de-sofe âge^etpar conséquent  
 î à  Goup iî'pe rcalnié,' mais^.erest' pour Mrecoa^uencer^ses sauts  
 a-^^Meip'^^^^^^fe^fence. IM!e tait'pas -vaincu, il  était seulement fatigué,!  c'était  
 uü^&iLdech ercha i tp o .pgf e^dé fendre   encore. -  
 iB p t e   »m iè r e   bataièleÿn’hst souvent  pas  décisive^, le  seul  moyen  qu'elle'le  
 'hjjiéurtjSIlSfejf1'd^bTtôn-Jse'garder  dé-'Cbangeriteposition  ployantelde  la canne,  si.  
 .1«ïljtos'ldEdlÙt est bien.  ILnë'faut cependantpâg quMier  que  le  poisson,  plçagd  
 ilaïïs^^M'iést beaucoup moins  lourd-que quand il en sera-sorti  :  c’est donc-ici  le  
 > . « L n  ê.pas s’^oigner  de  l^Épuisefle,  quigpàm«B^gfSmm p.t. mmhînôi^ékT  
 ^ M B ^entarh victorieusement pour Je pêcheur. 
 ~  maintenant ; laiÿ|itime fatigu^##fei^e aller a®ïfe fleuves 
 '  C i t e n t  de la noyer, ;cé’ qui ,ëemble une singulière expression,  quand ilis’ar;  
 W d ’un poisson-. N.ÔüSj' nous nous noyons-dahs l’eau, lui, nous allons le noyer  dans  
 1 aifWjértains poissons existent cependant pour lesquels-ce genre de; noyade est im-  
 P°^Me,  leur conformationtlâjidifférente  do celle  des  autres, —  leur' permettant  
 un asSèzJong séjour hors  d e l ’e'au sans  en  être-diieomnaedés: L’Anguille est d© ;c®  
 n ô ï^ e ;  aussi se monte-t-on-sclidement pour la pêcher,  et,-quandj.elle  est prisée  
 la^?*:t-on d’autorité sur la rive.  [ 
 h- est  temps  de' faire1 sortie'-de féautlai tète- de  îa-proie suspendue à lavlâgne,  
 8fîn quft^liquide et l’air entrent simultanément dans-'sa gueulé forcément  entr’oü