SCION. — j©^ner«4mâiaîft^aaESffè®^®. sciQ®j||t une
p®^É ;iûtiéfêSSS*ite mais qui ne demande gnèïfe’d’autffe qualitésique d^WêtBe >pas
top-lourde : 4ans la canne '&lswmèuelïe, c’est la partlela plus éæeutàe'H'è^âiasà^c&f-
fteile à faire g»R àSNI mK ?a. samæM^smiÏM æeqid.emits’ qui la menaee|% llwèon scidrï
est d ’u n p rix jneskmable^dt, malheureus^ïrleot, less,s^Qjçi,gine 'deviennent exeelegsts
q^e parfj^agej ët cie^’t~par--lèt qu’ils-pgrfcSeat.> dSette pajftièuée la canne est le dîéw
séspoir du^JÔche’uF-q'îii^^^^^i^inent prend’ de^jspiïis?ferèsajteliflés de eâax qu’il
a, oeaiÉgfeçqpp n’oublie -pas de faire des'prQoeioes'jp^.'nfto jama^ manques.
w fn parsientà. eonstruij^ ^ bqRs^sgions <ave«fc un grand. nombre-, do ^toyar/d’-es -
sencè£^s-dilférente^t:cettfi|^tièEe'Uaus!.3a;.ieM|ij:é;assezdm-poetantie puisque
nous av^às donüérunipprt Jfucle-nuBphàcua'de’Æessdwiùs} æSHiqste l’^nmtejagppiigge
ajapréJSpSBeoigparec l4^*g|&§* et4^s,^fa^s.d%ri]^aeun.ï'M§usliApéter*«iài»0|
qu’on fa it ~firm.fi. épine noire, épine blxmcké, hambour eormùiUer smr
guin, liias froseatt natûj^l, Jroëng, bois deé- J4e&, ^gewévner-> coudrier jïbaleme] fusaïn>
néflier, pommier mumgè, etG. , , j'râUitî 'd '•Tr?üit'.'r ■ ' 1»;J*
‘JPlusiet^èàlSfeg- font rompre lës->sei'®nsï:pc^peut!$tre' ‘d^bord les^otds -d’un
poisson trpu..yoliüniMt% mais le plus pouwent cd t^ r td e î^ ^ ten ts et-ié® ehoes.
L à pointe du selon sp prend èntje ,le§ brapp^s'^d’ , un>^ ^ s ^ ^ st donné
à la canne pou® vaincre la résistanees-sdu vent^d>ang_ fe ‘pêobeUi-lânoW, ouâpo^r
faire parveni^laç^ael^ à un^ f e taace insobfe,- là ïfe. #ofeiitfàû1^^^Pi^ser
un pol^orr.imnus1.rp..? 1. ,G’est lep l t o rqui èn pâtit.
- n.tfln’çrai-pêcheur-ré^âïfe immédiatement ^^Bi^âdi§@h*dcit(^ flgpiMÉpïl pratique.
une eniure de la man ^ ’ suivante^ au jgB&éga d’tm ^ B^,i|ii^ ^ A # A #Æÿ^l
taille enJiiseaû très-allongé tes demi êr&émitésabrisée^ÿjel^apj^ ^ y .l’uife &w
l’autre, puis au moyen de bonne-sôje poiSsée*’1— dont i ^ ^ ^ f it e
profebm dans-soft eârmeï' de pêche,—» f a it u n e js (^ p jïîg a ttire l|à ^ ]^ l^ ^ jàërjâés
réunies._S^parnit§les. provisions il possède u^pfâapde
poix.dfeï^âonni^il en enduira séparément l^'cSêpr^ss^ftmesj^Sï^li^Benf;,,
citte]poi\ vaut de la colle, et les cmpOche de glisser »l’une
réparés ainsi sont quelqimfoismétileurs, ïn^feujqtfrâTJtest 'bons' qu?^ ^ ^ lîl est
utile que la -ligature rempnte à i ou 2' eentiiafetres sür chsquè mor,èeaumti&dessus
dés bées de Fèntuéd. *’ • '>*■' * | ' *•" - ' ...
Ou fait d’excelîente^ions au moyen 'du bambou-iedupéjpfefdQjfa?;et arrondi
«àimdàcb*®agBette-; seulement,! (femme ces pelâtes ^baguettes' idrtrf que la longue®
d’un eàteé^nceud, 11-îbilt»%éüéiF # a tre bout à boütpar H^entures, 'pCflar corn»
struire umswprdedcmgaeur mdroaire.
Un scion de t mètre pour la pêehe-à la mouche porte.ordinairemefit six
anneaux et ge termiüe par -le septième qui en forme l’esdrémité. Cfet anneau se
fait en tordant sur un clou un peu fort un bout de fïï d’jÊrehal -eu'de c u iffe ^ c ^ t
de la grosseur d’une épingle.. Quand les deux extrémités sont” bieri cordéesTune
sur rautré, ‘on jés aplatit sous ud marteau, et Ton dait, au bout dijjg|ûnb pn petit,
méplat du côté-où Ton veut lier jn queue de Tannèau. Lebsfout egffmaintqim
place par une longue et solide ligature en soie poissée, vernie le mieux possible et
imbibée de vernis gras.
La distance dés anneaux entre eux sur la canné n’a pas une énorme importance,
pourvu qu’elle ne dépasse pas Om,âb. à 0“,40; mais leur!,espacement Sur le
scion a des effets plus directs sur les manoeuvres du pêcheur.,: ,,
Si les anneaux sont très rapprochés, surtout vers lapmnte, on pourra faire bien
^^^#%®temfintapasseBla^^»teï-'d’^ f]e ^ iéffl^H'^è*Sfe^,Brai'élîês des ârtÆ’ësfon la re-
.tiro âW u si^ sém e n # ^ sP F u n le fil fait dés anses d’autant
d’un' au$e^|*(|4 (si-1w ou deiix
df'.^pigne n ’obéira pas au i^ p ie n au moulinet,
- S ifW g i^ y ia su ls in » d’un Aeamp^g«ta^'^mte!s’a r> ê teH )w ^ et coml^
p h a ttp e d‘^ r r 0 f l! i ^ » iP \n bM ^ ^ ?estfe%ris
^c’ertame.attpptiop. a n n e a u x , p e r m e t t e n t à i ’a®«e’teffltefimle,'<quand
- ^ f e a e .ef&^%niue-ip®B ,une^^qa®Jeonquef<.A'rpasserp’9kd;e^sus’l^W # !d u
-am®a,aefe(quifil#iM'en tirant un '^ itaM é > ’feùâvL’â%p§^ê%o!èfânilus : a rriv é e
%esoin du moil-Kn’etptdü'f cM?sé;
r » commecune^-bonne .préeauJ^on, de
f c r i f l r e ^ ^ ^ S '^ é p a r é s i aéemaùsm.oins deux eoéâes^de bbWyernxsmte mdi-
naire. jgi&faéiait les met^abride^fesSSfiiade Teani, qiû,c#dRiMkfifl®PfÊâÉes du
PQur -TjMm en,-ggtot lap rem i||e quajiié. doit être de
■Æ mamfcJlir l p rès avoir
feU; n**^^ é^;qp^'V^g|g|a Balpine, mais elle offre deux graves inconvl-
9 4 h&^y.coap,.restmîitf’émnloi^Ell4estd(mrde^f^;t. Un défaut &-
«ipl^pour Tejtrémfté d’up l Teau^ce qui p ÿ ^ ^e ^m au v aM ,
gl.&#f l ^ ^ ^ seJ,Jdéforma aijmqids autant que'le;bots. Jëon enÆol reste.limité au
service iU-' g^qj|ojts. ^Ft^soermol..} .*
SCOLÈTE. é ^ < m populqiçe d u Sargue, à-Brest. /J® y .re e m o t )
SCOMBER BONITO. >
SCOMBER COLIAS. — (Voy. Maqderead couas.)
SCOMBER BUCTOR. - ÿ^sj» i o a l "
SCOMBER PE LAM YS . - ^ o y i ^ la«id®a ods «ATÉ*^
SCOMBER SCOMBRUS. - Woj. Maquereau vuugaireO ’
SCOMBER TH Y N N U S . — ^ i ü ÿ î Thon.)
SCOMBER T R A C H U R U S . — .(Vçy. Saurel.)
SCOMBÉROIDES. — 7' famille des icantH'ôElé^ens :^ o ?M o s e ^ ^ e iMmtù‘de de
pmssoDs à petites écaillés, à corps lisse, à cæcums1 uomliieux, souvent réunis en grappe dont la
ÀwgjKMÿÿ#Ü(MR| sont très-vigoureuses. 'lf “
0 c’est llne des familles les plus utiles à l’homme par le goût agréable de ses espèces, par leur vo-
lume, et par leur inépuisable reproduction, qui les ramène périodiquement vers les mêmes parages
<et en fatttlîobfôt-des plus grandes pêches.
P Cetle lamille, dé forme élégante, est composée de'poissons marins et vivant en troupes innora-
brables. * .
12» Lumpris,PoîssojÿLune.
tfc,Èmtrvloii&e.. . -,
14. Kurte. (?)fif|
15. Soryp/i,ène, Dorade.
•iOh la-diws^e%il’!i6 genres, doht un petit nonlbrei'ridtfs ‘’Occupera.
, 1. Scombfi, ' 'Mpç[uèr*ea,u,
T hon,i3erinon,PéIamide.
S. Espadon* ,
' 3. Centrohofa, Pilote,Liche. '
1 Àà ■ kmiMMwim'’ ,["
•6. Noiacanthé.
6. Sériale.
7. Pasteur.
8. Temnodon.
p,. .^ a ç s tr, Saurel, .
7 ut Vomer,
1 i . Zeus, Dorée^ Smgller.
SCORPOENA. — (Vpy, Sroii'MNi!,'^[G-'ëneeTt)*^*'
SCORPOENA PORCUS. ScorHne.)
SCORPOENA SCROPHA. »igfyèyf Grande Scorpène.)
WjsfSM (Scorpoena, 'JfflPIpiji Acanthopt. joues cuirasséesi.